Classement des tomes d'Umineko no Naku Koro ni

Annotation :

Le meilleur tome, très bien écrit et très bien mis en scène. Il s'y passe tellement de choses que l'on peut difficilement lui reprocher la lenteur de son début.

Annotation :

Impossible de décrocher une fois embarqué dans le flot continu des événements tragiques de ce tome. On l'adore surtout pour l'apparition d'Erika le détective qui nous fait fortement penser à Bernkastel, pas la ville évidemment. Drame et chantage seront au rendez-vous.

Annotation :

Digne d'un vrai roman policier, cet épisode est une excellente introduction à Umineko. Il est exemplaire au niveau de l'ambiance qui s'améliore au fil des meurtres jusqu'à l'atteinte du climax. Le passage avec System 0 est pour moi l'un des moments les plus marquants de ce roman interactif.

Annotation :

Une réplique du premier épisode saupoudrée de magie comme on l'aime. Au menu des morts tout aussi sordides et voilées de mystère tels que la légende de la sorcière dorée Beatrice qui s'offre à l'occasion un costume bleu marine très stylé assorti d'une cravate rouge comme le sang de ses victimes.

Annotation :

Après une première partie bien ennuyeuse (malgré la présence de quelques scènes forçant un peu sur l'émotion) consacrée à l'approfondissement du background d'Ange et de Maria, le jeu que propose ce tome est sûrement le meilleur des arcs question et met en avant la complicité des cousins à travers des épreuves littéralement mortelles.

Annotation :

youhou chabadabada

Annotation :

Une succession d'histoires toutes plus ennuyeuses les unes que les autres. Celle du mastermind a au moins le mérite d'avoir une mise en scène originale, soutenue par une ambiance sonore relativement bonne, de quoi faire passer la pilule de sommeil.
La Tea Party est excellente à couper le souffle par contre, assurément l'un des meilleurs moments d'Umineko si ce n'est le meilleur.

Annotation :

Un tome illogique, ridicule et qui ne se prend pas au sérieux, de quoi ravir les fans d'anime. Les nombreux combats sont longs et dénués d'intérêt. Une purge semblable à son homologue de Higurashi à la différence près qu'il y a parfois de bonnes musiques.