Confessions ( sérielles) ou comment citer Rousseau-qui risque de se retourner dans sa tombe- dans une liste hautement intellectuelle

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Mauvaise coïncidence ( ou destin?), j'ai vu pour la première fois cette série en sortant de l'hôpital. Inutile de préciser que je n'avais pas franchement envie de voir des électrodes peupler mon écran. Impossible de la visionner depuis, même si ce n'est pas une perte tragique, soyons honnête. La musique du générique a le mérite d'être assez entêtante ceci dit.

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On m'a clairement bassiné avec GIRLS, la série féministe et décomplexée incarnant toute une génération. J'ai tenté le pilote, les déblatérations de l'héroïne dans la scène d'ouverture m'ont vite refroidi. Gonflant, voilà c'est dit. Je dois par contre reconnaître le talent d'écriture certain de Lena Dunham même si je n'apprécie pas spécialement le ton adopté.

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Le premier épisode est fun, ça sautille ça chante. L'entraîneuse des pom pom girl est sadique et dingo et s'annonce comme un personnage à suivre, le héros est une espèce de sosie de Justin Timberlake version choriste nunuche. C'est léger, simplet mais distrayant. Et puis au bout de 2 épisodes ( grand maximum), l'intrigue retombe comme un soufflé au fromage surgelé. C'est gavant, indigeste, répétitif. Dommage.

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La série qui m'a fait douté sérieusement de ma capacité de compréhension et de suspicion. Entre les AUTRES, les flashfoward, flashback, les rêves, les conspirations fumeuses j'ai été vite complètement larguée. Et pourtant quelle série, la première saison est tout simplement géniale, puis ça part en cacahuète, le tout clôturé de manière quelque peu grotesque. A quand un spin off sur Benjamin Linus ( de loin le personnage le plus fascinant avec Locke) ?

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Regarder Homeland fut un véritable marathon, j'ai enchaîné les 2 saisons en 2 semaines grand maximum. Puis la saison 3 m'a déçu, s'embourbant dans les clichés et les intrigues inintéressantes ( dont l'histoire de Dana, dispensable). Résultat je me suis endormie à mi parcours. Abandon fort probable.

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Non je n'étais pas complètement défoncée en notant Veronica Mars.
Cette série est vraiment réussie dans le genre et a profondément marqué ma "téléphagie adolescente". La saison 1 est nettement supérieure, sans conteste mais les deux suivantes tiennent largement en haleine, leur fil conducteur compensant les carences des petites enquêtes pas toujours exaltantes de chaque épisode. Musique cool, personnages attachants et une héroïne enfin intelligente avec un bon sens de la répartie, les 8 points sont mérités.

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Ou le fait d'être totalement frustrée d'avoir perdu 41 minutes à regarder cette daube intersidérale riche en boom boom short. Si le sujet vous intéresse regardez plutôt le documentaire "Cheerleader" diffusé sur ARTE, beaucoup plus instructif et représentatif de la réalité.

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La série qu'on met en fond en revenant du bahut mais qui est tellement ridicule qu'on croirait à un sketch. Sérieux c'est quoi ce générique au ralenti avec le panneau de basket, sans oublier les fameuses petites morales et citations "pseudo littéraires" des héros. One Tree Hill, série comique qui s'ignore?

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Bizarrement les mésaventures des pauvres gamins de riche ( hum quel jeu de mots) ont quelque chose de réconfortant. Révèle la pouffe superficielle qui est en toi.

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J'ai en ma possession l'intégralité de la série ( achetée chez NOZ ça amortit cet achat dément)! Hein ?! Bah ouais Malone a trop la classe et un monde où on retrouve une personne en 72h grand maximum en questionnant deux trois personnes c'est tout de même fantastique.

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Oui il y avait quelque chose de plaisant là dedans.

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Objet d'incompréhension ultime: ma très bonne note de Cold Case.
Parce que le générique au ralenti sous la pluie avec musique dramatique est mythique.

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Série qualifiée de pourrissime mais que je ne ratais pourtant jamais aux grandes heures de CANAL J. Et puis j'ai acquis un sens critique :)

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L'une des premières saisons de "fantastique" que j'ai vu mais qui avec le recul s'avère finalement téléphonée et un peu niaise. Débute également le cycle des "gamins possédés particulièrement relous".

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AHA les sagas des chaînes hertziennes, un monument. Poursuivons le cycle "gamins possédés particulièrement relous " avec cette prétendue série mystérieuse hilarante. CHESTER CHESTER. Achevez là par pitié !

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J'ai toujours eu une certaine bienveillance envers Misha Barton, qui enchaîne les navets puissance 10 000 depuis Newport Beach. Peine perdue avec Beautiful Life qui n'a duré que 2 épisodes. Avalanche de clichés sur la mode, le temps de faire une bouche en cul de poule sur stilettos et hophophop circulez y a rien à voir.

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C'est kitschounet et choucrouté à souhait, ça parle de riches encore une fois mais le générique me met de bonne humeur. Sans oublier Brandon.

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Les paroles du générique sont pour une raison inexpliquée éternellement imprimées dans ma mémoire ( très) sélective.

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Ils sont toujours obligés de tirer cette tête de félin constipé en dansant ?

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Comme beaucoup d'adeptes de la série j'ai versé quelques larmes à la fin de cette fantastique série attachante et subtilement écrite.