De tomes en tomes [Lectures BD-Mangas-Comics 2020]

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2 Janvier 2020.

● Ce que j'ai appris dans ce tome :

- C'est le bordel dans la tête d'Aikawa. Ses souvenirs se mélangent, notamment avec ceux de Caïman.
- Les diables sont très acidus et gourmets.
- Une bière peut sauver des vies.

● Ce que je n'ai pas compris dans ce tome :

- Pourquoi les humains ont-ils construit une ville autour de Hole, le pire endroit pour s'installer ?
- Pourquoi Dokuga n'as-t-il pas laissé En et son mal de crâne dans le monde des mages afin d'avoir le champs libre ?

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3 Janvier 2020

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3 Janvier 2020.

Ce tome etait vraiment excellent ! On se demande comment Hayashida fait pour que tout les éléments de l'histoire concorde parfaitement entre eux. Les solutions amené pour résoudre les différentes intrigues sont toutes logiques et cohérentes, c'est dingue !

Le point que je ne m'explique pas, c'est comment Nikaido a-t-elle pu ressusciter Caiman qui n'est même pas un mage (donc pas de diablotin) a partir de sa tête dans formol, alors qu'elle ne possède pas de magie de la vie. Quand bien même elle était devenu un diable, ça me paraît un peu exagéré qu'elle soit capable d'un tel exploit.

PS : Caïman a de nouveau des petits troubles de la mémoire étant donné qu'il ne se souvient plus avoir voulu devenir mage à l'époque, même après avoir récupéré la memoire de Ai et Aikawa.

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4 Janvier 2020.

Dorohedoro se conclu donc avec ce 23e volume (bye bye Holinou). Ce manga fût vraiment excellent du début à la fin avec un scénario maîtrisé de bout en bout, pléthores de personnages tous plus attachants les uns que les autres, des tones d'idées inventives et originales sorties du chapeau de Hayashida rendant l'ennui pendant la lecture, impossible !
De plus Dorohedoro fait partie des rares œuvres a proposer un système de voyage temporel qui se tient et ne fait pas l'erreur de tomber dans le paradoxe temporel, et ça, chapeau !
Assurément un must !

PS : Je veut un Spin-off sur Chidaruma humain :)

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4 Janvier 2020.

Sympathique, ça fait sourire de temps en temps mais sans plus. Je ne prendrais pas le tome 2.

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5 Janvier 2020.

Alors, il aurait du mourir soit d'asphyxie, soit de douleur, même si son don à plus l'air de tenir de l'immortalité que de la régénération vu qu'il reste en vie même après une balle dans sa tête décapitée.
Ensuite pourquoi son corps continue de flamber même quand il se régénère entièrement uniquement à partir de tête qui elle ne crame pas entièrement ?
D'ailleurs ça aussi c'est débile, s'il a pu réussir a faire en sorte que sa tête ne crame plus grâce a son don de régénération (ce qui n'as aucun sens) pourquoi ne peut-il pas le faire pour tout son corps ?
C'est pas très et pas très cohérent tout ça...

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5 Janvier 2020.

C'est assez osef, il ne se passe pas grand chose et c'est un peu mou et les personnages ainsi que leurs réactions sont mal écrites je trouve (surtout le mère de Elin). Et de ce que j'ai lu des résumés des tomes suivants, ça n'a pas l'air de s'arranger...
Je m'arrête donc là.

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6 Janvier 2020

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6 Janvier 2020.

Sympathique mais sans plus, la fin du second volume est un peut poussive a mon sens et ne marche pas vraiment...
Je m'arrête la avec cette série.

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8 Janvier 2020

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8 Janvier 2020

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8 Janvier 2020

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8 Janvier 2020.

J'avais lu le tome 4 il y a longtemps et j'avais pas trop la motivation pour reprendre, mais j'avais le tome 5 qui traînant depuis un moment alors je l'ai lu. Et je n'ai au final pas tellement plus envie de continuer plus loin...
Pourtant c'est un manga de sport pas mauvais du tout, plutôt sympathique a lire et les personnages sont plutôt attachants. Mais j'ai bcp d'autres œuvres a lire donc je n'irais pas plus loin.

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9 Janvier 2020.

Ce recueil d'illustrations de Shigeru Mizuki est tout simplement sublime et nous plonge vraiment au cœur de l'imaginaire et du folklore japonais rien que par la force de son dessin. La force des dessins de Mizuki que ce soit dans ses recueils ou dans ses mangas, est qu'il mêle le grossier au réalisme. Dans ses mangas les personnages sont représentés très simplement en opposition aux décors très réalistes et magnifiques. Ce décalage permet d'encore mieux apprécier les dessins que nous avons sous les yeux. Dans ce recueil, on voit pour la 1ere fois des personnages dessinés de manière très réalistes par Mizuki. Il alterne tout du long entre personnages et Yokais tantôt réalistes tantôt grossiers.

Petit bémol concernant l'édition, le choix d'avoir mis l'index des descriptions de Yôkais en toute fin de volume n'est a mon sens pas très pratique. On est obligé de retourner à la fin du volume pour chaque dessins si on veut avoir un petit descriptif et c'est un peu fatiguant a la longue.

Shigeru Mizuki à restauré de part ses travaux et ses histoires l'importance des Yokai et du folklore japonais qui tombait petit à petit dans l'oubli pour les jeunes générations. Et pout ça merci Shigeru Mizuki !

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9 Janvier 2020.

Le style de dessins de Nicolas de Crégy est vraiment magnifique, notamment ses dessins dans la neige. Ce recueil très inspiré des peintres de l'Ukyo-e est dans un autre registre que Yokai de Mizuki. Nicolas de Crégy nous montre les Yôkai dans l'environnement très urbain des de Tokyo et Kyoto et cela rend vraiment bien même si je les préfères représentés dans un environnement plus traditionnel comme au début du recueil ou comme Mizuki à l'époque Edo.
Ce recueil reste néanmoins excellent et les courts poèmes (Haikus) apportent un petit plus (un peu à la manière d'un Taiyô Matsumoto en manga).

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9 Janvier 2020.

Mon 1er Comics ! Un événement s'il en est !

Bêtes de Somme est une superbe bande dessinée, j'ai été charmé aussi bien par l'ambiance, que par les personnages ainsi que leurs dialogues. Tout particulièrement Carl, l'espèce de bouledogue grogon dont les remarques sont très souvent drôle et font souvent mouches.

Les enquêtes qu'ils réalisent à chaque fois sont plutôt intéressantes même si je préfère quand la présence de magie ne se fait pas trop sentir.
Les dessins à l'aquarelle de Jill Thompson sont également magnifiques et colles très bien à l'ambiance que dégage cettz BD.

Dans l'attente du second tome !

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10 Janvier 2020.

Peleliu s'inspire beaucoup de Opération Mort de Shigeru Mizuki, au-delà du cadre historique et géographique.

Tout d'abord, le trait grossier de Kazuyoshi Takeda, notamment en ce qui concerne les personnages, n'est pas sans rappeler celui de Mizuki. Néanmoins, là ou Mizuki jouait entre le trait grossier de ses personnages et celui beaucoup plus détaillé et réaliste des décors, Takeda lui reste dans le même registre de dessins également pour les décors et environnements. Cela est dommage car on ne profite pas vraiment de la beauté de l'île de Peleliu.

On remarque également que la vie quotidienne dans les camps y est décrite (même si on passe plus rapidement aux champs de bataille), on a un personnage principal qui ne souhaite pas mourir et voit donc la guerre différemment que ses supérieurs. On a également le destin tragique d'un ami. Tout ces points semble s'inspirer néanmoins plus des récits de guerres en général que spécifiquement de Opération Mort, mais on y retrouve plus ou moins le même tont.

Ce premier tome m'a beaucoup plut même si cela reste un cran en dessous de Opération Mort pour l'instant. J'ai tout de même bon espoir pour la suite !

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10 Janvier 2020

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10 Janvier 2020

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10 Janvier 2020.

J'avais acheté ce manga sur un coup de tête juste pck la 1ere de couverture m'avais plu. Au final c'est une succession d'histoires courtes dans un univers complètement déjanté sans réel scénario.
Des enfants vont découvrir des choses étranges dans leurs monde très étrange, ou juste ce s'y balader.
Bref c'est un peu particulier j'ai pas vraiment accroché, on dirait un livre pour enfants.

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11 Janvier 2020.

C'est chiannnt. Le scénario c'est le néant, ça se limite a la fille de Vercingétorix (il faut le chuchoter apparemment même si on sait pas pourquoi) se faire la mâle et Asterix et Obélix qui doivent la suivre et la récupérer.

En soi le pitch aurait pu donner qqchose si toute l'histoire ne ce passait pas presque UNIQUEMENT dans le village... Tout comme Obélix je préfère quand les missions se passent à l'étranger, au moins ils voyages, il se passe qqchose...

Bref le reste de la BD c'est des dialogues insipides justes bons à faire des jeux de mots pourris et à faire les pseudos moralisateurs.
Et les deux lieutenants de Vercingétorix qui "parlent comme cha pachque chest plus rigolo", c'est tellement barbant à lire, j'attendais impatiemment d'arriver à la fin.

Sinon l'idée de moderniser la série n'est pas une mauvaise idée, mais encore faut-il savoir s'y prendre sans faire son Jean-Bien-pensance...
En bref, le pire Astérix de Conrad et Ferri.

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12 Janvier 2020.

Très bonne surprise !
De par son thème des Indes, et une histoire racontée à la manière d'un romant d'aventure (normal étant la suite du roman de Francisco de Quevedo) qui n'est pas sans rappeler Robinso Crusoe (notamment le long sous-titre), cette BD avait déjà tout pour me plaire !
Mais en plus de son scénario, de sa narration et de son cadre historique, un des très gros points fort de cette BD, c'est le dessin !
Les dessins de Guarnido sont orgasmique et la colorisation l'est tout autant ! Cela amène une réelle texture aux dessins et sert a merveille le récit.

Je trouve tout de même le plan de Pablos un peu gros et le final aussi ^^ L'exécution du plan a pas du être simple ! J'aurais également préféré un final plus classique des romans d'aventure qu'une fin tel que celle-ci . Cela reste tout de même une superbe aventure !

Voilà donc une belle collaboration entre Alain Ayroles (scénariste de De Cape et de Crocs) et Juanjo Guarnido (Dessinateur de Blacksad).

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14 Janvier 2020.

Bien que Naruto soit mon manga préféré, je n'attendais rien de Samurai 8, qui au final se laisse lire, et c'est sympathique par moment mais sans plus.

Tout d'abord le dessin même si ressemblant à celui de Kishimoto, est bien moins efficace. Akira Okubo a un style de dessin très beau et assez original mais son dessin se prête plus a de l'illustration et de la couleur qu'à du manga en noir et blanc. Le fait qu'il y ait un encrage plutôt faible et très peu de nuances de noir, fait que les planches sont parfois très peu lisibles, notamment dans les scènes d'action qui étaient au contraire, le points fort de Naruto.

Au niveau de l'histoire, pour l'instant difficile de donner un réel avis, tout ce que je peut dire c'est que ça à l'air très complexe et que quand on voit comment Kishi à galérer avec la fin de Naruto qui l'était bien moins, ça n'inspire pas confiance pour la suite. Le système de Samurai et des 3 corps est déjà assez compliqué.

Et j'ai toujours pas compris comment Hachimaru à pu limite One-Shot un Samurai bcp plus fort que lui et avec un faut sabre qui plus est...

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16 Janvier 2020.

Ce que je retiens de ce tome :

-C'est très manichéen.
-Les Samouraïs qui utilisent des flingues ça le fait vraiment pas.
- Bordel Kishimoto arrête avec tes histoires de destin, t'as déjà foiré la fin de Naruto en partie a cause de ça.

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17 Janvier 2020

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17 Janvier 2020

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18 Janvier 2020

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20 Janvier 2020.

Un peu abusé que Karyo Ten puisse intégrer l'école de stratégie juste avec la lettre de Kyoukai, et dans le camp de Ryo en plus...
Soit disant c'est un pion d'exception blablabla, alors qu'elle s'est jamais vraiment illustrée. Même si elle est courageuse, c'est pas une raison suffisante pour l'accepter direct comme ça, a son âge en plus...

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20 Janvier 2020

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20 Janvier 2020.

J'ai lu ces 2 tomes à la suite de l'anime qui était vraiment excellent sur la forme mais beaucoup plus faible sur le fond. La le problème c'est qu'on a pas l'ambiance si spéciale de l'anime, et les dessins sont plutôt joli mais plutôt classiques. Du coup on a pas la forme pour rattraper le scénario qui se casse encore un peu plus le gueule. De plus, le manga nous ramène avec des gosses de 14 piges (collégiens) là ou l'anime était un peu plus adultes (lycéens). Au moins ça se lit vite c'est déjà ça.

Je pense que je vais m’arrêter là...