Découverts en 2017, dans mon panier ou au ciné...

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Canapé - Blu-ray

Ca m'a tellement laissé froid que j'ai coupé au bout de 50mn, malgré un montage inventif. Le premier Pasolini qui me rebute, peut-être que je le terminerai un de ces quatre, mais ça ne me parle vraiment pas.

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Canapé - Blu-ray

Niveau ambiance, c'est la version live de Sky Crawlers ! Côté propos, c'est un peu cousu de fil blanc mais l'interprétation assure et Niccol signe son film le plus intéressant depuis...ouh la...

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Canapé - Blu-ray

J'aurais dû écouter les 20% de mes contacts qui défendaient ce Petit Prince plutôt que les 80% restants. Un film qui a à peu près tout compris au sens du mot adaptation, et réussit partout où l'ami Joe Wright s'est planté avec Pan. Surprenant, très touchant, et surtout réfléchi dans son approche d'un classique intouchable, entre déférence et écarts de conduite.

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Canapé - DVD

Quel dommage que ce film-là ne dure pas trois bonnes heures ! Approche intelligente, émotion non feinte, limpidité du propos, et distance bienvenue vis-à-vis des habitants du quartier où chacun existe à sa manière. Un régal de spectateur allergique à l'abrutissement quotidien des JT, doublé d'un modèle de documentaire social, drôle et attachant.

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Canapé - Blu-ray

Un pitch génial (une jeune femme dont les cheveux ne cessent plus de pousser !) qui débouche sur des idées totalement folles et inédites, bien que Sono Sion explore une nouvelle fois les failles de la cellule familiale. Dommage que Exte souffre d'une narration qui amène son long climax droit vers les rives absurdes et indigestes de Suicide Club, et que le passé de la jeune fille se contente de pauvres flash back éclairés façon Saw II. Une curiosité, unique en son genre mais trop aléatoire.

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Cinéma

Certes le rythme se traîne, volontairement et involontairement. Certes, le nombre de décors limités contraint le film à une structure répétitive. Mais c'est impeccablement bien joué, jamais nanardesque à deux trois détails près (pas un rire dans la salle passées les cinq premières minutes), rempli d'amour pour le cinoche, et si les références sont visibles (ambiance à la Blade Runner, un plan final tout droit sorti de l'intro d'Avatar), Guy-Roger Duvert emballe ça avec un vrai savoir-faire, et installe rien moins qu'un personnage à la Max Payne (cette voix, nom de Dieu !) dans son intrigue finalement retorse. Longuet mais plaisant de bout en bout, un film à encourager.

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Canapé - TV

La première heure est très sympa, la seconde laborieuse et bâclée jusque dans le détail (voir le gag avec les flics, même pas conclu avant de passer à autre chose). Puis hormis quelques élans d'inspiration (le plan en POV depuis la fenêtre, par exemple), la forme est assez peu engageante. J'étais même un peu gêné de voir Ventura et Brel débiter leurs dialogues, cela dit c'est aussi grâce au cast que je suis allé au bout. Tout ça a malheureusement vieilli mais ça reste un million de fois plus regardable que Les Goonies.

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Cinéma

Dur à noter, ça oscille entre 3 et 7 selon les scènes. Un film qui parle aux gosses tout en prenant en compte le fait qu'ils sont des adultes en puissance, c'est trop rare pour ne pas être signalé, mais A monster calls m'a semblé prévisible, assez mécanique et trop long. Noble dans sa démarche et inégal dans sa démonstration, un beau film bancal, qui va de surlignages ennuyeux en élans d'inspiration bienvenus, dans le fond comme dans la forme.

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Cinéma

Excellent générique d'ouverture et premier tiers intrigant. Passé ça, ça tourne à vide et ne mène à peu près nulle part...

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Cinéma

Le biopic parcellaire, vif et plein de solitude d'un génie des cuivres rattrapé par ses démons. Interprétation délicieuse, mise en scène solide et superbe direction artistique. La grande classe. Quel dommage que ça ne dure pas une heure de plus...

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Canapé - DVD

C'est agréable de voir un film où les codes sont retournés, où les hétéros semblent plus marginaux que les gays et où on laisse place à des choses peu représentées (la sexualité des vieux, entre autres). Mais en termes cinématographiques, j'ai trouvé ça trop hideux et ronge-tête. Et bon sang, j'ai rarement vu des scènes de sexe aussi plates et peu sensuelles...

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Cinéma

Nettement moins intense et prenant que Whiplash, la faute à un montage trop gourmand (plus de deux heures, c'est un peu long) et une posture d'hommage qui prend le pas sur l'humanité des héros. Dommage, aussi, que Chazelle ait appliqué la même narration qu'à son précédent film, l'absence de personnages secondaires créant un manque là où cet aspect renforçait le côté viscéral de Whiplash.

Intérêt variable donc, du moins dans l'acte central tant le premier et le dernier tiers révèlent un mélo très soigné, parfois touchant et, avouons-le, très agréable. En prime, Chazelle se paye une mise en scène à la fois légère et sophistiquée, où il mélange les époques avec une virtuosité assez folle pour peu qu'on y regarde de près. Bref, c'est pas le film de l'année mais ça respecte son public de bout en bout, et l'intro défonce.

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Cinéma - 2D

La note ne vaut rien tant le projet de mise en scène dépend de parti pris techniques invisibles dans 95% des salles mondiales (tourné en HFR 120 fps et 3D, le film est diffusé en 24 fps 2D chez nous). Il est donc impossible de juger le dernier Ang Lee, et l'avis tient donc au strict scénario, qui m'a variablement intéressé.

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Cinéma

Façon Le Fils de Saul, une approche sensitive d'un sujet difficile, mais Gorge coeur ventre sent bon le court-métrage rallongé et suscite un ennui poli passé 20mn. Reste un vrai projet de réal et quelques scènes puissantes, malheureusement perdues dans un montage qui n'a pas grand chose à raconter. Allez plutôt voir ou revoir Le Sang des bêtes et Cochon qui s'en dédit.

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Cinéma

Il faut un début à tout, voici le premier Scorsese que je n'aime pas ! D'habitude roi des films longs comme le bras qui passent à toute vitesse, Scorsese s'égare dans un script répétitif et une direction d'acteurs monocorde. Bref, mieux vaut revoir l'imparfait mais prenant Kundun plutôt que ce pensum interminable d'où surnagent à peine trois scènes fortes.

Vu son pitch façon Apocalypse Now, la déception est immense.

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Cinéma

Le scénario trébuche régulièrement, mais Verbinski et son chef op Bojan Bazelli parviennent à rendre constamment plaisante cette escapade en suisse, et mêlent avec de vraies envie de cinéma la fiction médicale et le huis clos psychologique. Résultat mitigé mais séance sympathique.

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Cinéma - 3D

J'espérais un petit plaisir coupable qui défouraille comme l'était le précédent opus, je me retrouve avec un B paresseux, monté à la serpette et sans intérêt aucun si ce n'est celui de nous rappeler que même un film court peut nous faire perdre notre temps. Une belle arnaque sans intérêt, à l'image de sa 3D.

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Canapé - TV

Passer deux heures avec Brel est en soi un plaisir, alors via un documentaire TV aussi bien structuré, c'est un régal. Dommage que ça ne dure pas le double, tiens !

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Canapé - PC

Un peu comme si l'émission Tellement Vrai s'était découvert un coeur et un cerveau. Très joli portrait du passage à l'âge adulte, fait de responsabilités naissantes et du besoin de s'accomplir.

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Cinéma

Soigné, touchant et intense, un film de super-héros qui a oublié d'être abrutissant et se réclame davantage de l'âge d'or du western que d'une envie d'être à la mode. En prime, l'influence du jeu The Last of Us a été impeccablement digérée. Malgré quelques maladresses visibles, un modèle du genre.

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Canapé - DVD

Et si je ne mets pas 8, c'est uniquement parce que le doc frustre à ne durer que 78 minutes ! Vivant et drôle, dynamique et informatif, une immersion bienvenue dans le quotidien de Pole Emploi, sans pathos ni angélisme. Régal.

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Cinéma

Drôlissime et percutant de bout en bout, et l'interprétation est jubilatoire comme pas permis. Film de patron, ça.

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Cinéma

Très surpris (et séduit) par l'humour du film, et l'interprétation de Mifune est un régal. Mais cette intrigue en fome de conciliabules a vite eu raison de mon attention. Je suis nettement plus client de Chien enragé, parmi le peu de Kurosawa que j'ai vus pour l'instant.

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Cinéma - 2D - Version Black & Chrome

La note ne vaut que pour la valeur ajoutée du noir et blanc.

Les scènes de foule semblent tout droit d'un film d'Eisenstein ou Loupouchansky dans cette version, tandis que les gros plans sur les visages révèlent une émotion esthétique nouvelle et que certains plans précis sont purement hallucinatoires (les échassiers, notamment). En revanche, on ne distingue plus la pâleur diaphane des Wars Boys, le film perd en brutalité, et surtout, la scène de la tempête est nettement moins impressionnante qu'en couleurs. Reste qu'il s'agit réellement d'un autre film, tant ces changements chromatiques modifient notre lien émotionnel aux images violemment expressives de Miller. Ma préférence va donc à la version en couleurs, mais c'était vraiment intéressant. Et quel plaisir de le revoir en salle...

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Cinéma

Je ne suis décidément pas fan du cinéma de James Gray mais, comme souvent, je lui reconnais de vraies qualités de mise en scène. Drôle d'objet que The Lost of City of Z, voyage en trois temps qui menace à tout moment de virer au trip mystique et radical façon Apocalypse Now mais s'accroche à des réflexes trop scolaires. Un peu ennuyeux et pontifiant sur la longueur, ce beau film d'hommes méritait le déplacement pour sa tenue formelle et la force de son sujet. Chuchotements excessifs mis à part, les comédiens sont à la hauteur de leurs personnages.

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Canapé - DVD

Du film girly rempli d'adolescentes qui fument, s'engueulent, se marrent, se baladent pieds nus et combattent leurs remords.. Une comédie dramatique gentiment destroy, bien écrite et bien jouée, constamment agréable bien qu'un peu trop sage. Fou que ce petit film soit si peu connu.

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Canapé - Blu-ray

Un foirage hallucinant, ridicule, joliment pulp et atrocement laid à la fois, qui s'impose comme le Forced Entry de son époque. Nul mais très rigolo pur peu qu'on soit d'humeur !

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Cinéma

Valette bute sur un rythme trop indécis, des dialogues pas toujours captivants et des personnages tour à tour charismatiques et caricaturaux, jusqu'à un climax plutôt mou. Reste le plaisir de voir un polar rural, chose assez rare en France.

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Canapé - Blu-ray

Pour la claque esthétique, contrat rempli pendant 3h45. Pour le reste, moi qui adore être projeté dans des périodes/pays dont je ne connais rien, je n'ai pas pu m'empêcher de ressentir une profonde indifférence face à Heimat, les comédiens m'ayant pour la plupart laissé de glace.

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Cinéma -10e Festival Hallucinations Collectives

Du Jason Blum prod plus intéressant que d'habitude grâce à une première moitié très intrigante et fun, un cast qui assure et une réal plutôt ludique. Puis vient l'argument narratif central, bien trop facile, une résolution écrite n'importe comment, un discours politique bazardé en une réplique ("Allez savoir !"), et au passage, un personnage de sidekick comique qui représente très précisément les clichés que Get Out prétend démonter.

Ou comment passer de série B ambitieuse à un petit huis clos prétentieux en 1h30. M'enfin, quand un film bâcle aussi consciemment son troisième acte avec des morts stupides et un décor ridicule (deux bougies et hop, ça fait ésotérique), la déception est quand même consommée. C'est toujours plus sympa qu'un Grave, mais vivement que la hype retombe...

Chronique radio disponible ici : https://youtu.be/dA6JiGRzA5M