Dramas coréens remarquables

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Une histoire anti-suicide qui tient en haleine de bout en bout et qui fait cohabiter mille visages connus.

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Ou comment devenir un monstre en en côtoyant un.

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Un drama qui expérimente, d'abord par son choix de narration, ensuite par ses images. Il y a de la nudité, il y a de la violence, il y a des femmes.

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Histoire d'un amour tragique sur fond de guerre qui captive par la richesse de son récit et ses multiples personnages sympathiques.

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Drama sur la violence scolaire, sujet à la mode pour les années 2022-2023, tout en nerfs et bastons, dont l'effet cathartique est indéniable.

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Si le trio formé par les acteurs principaux brille de mille feux, les seconds rôles sont également impressionnants. C'est un drama tire-larmes, qui a pour sujets majeurs la fin de vie et le nouveau départ — mais peut-être sont-ce là deux expressions synonymes.

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Drama qui s'annonçait discret car diffusé sur une nouvelle chaîne (ENA) mais qui a suscité un engouement inattendu à l'international, d'abord grâce à l'actrice principale dont l'interprétation d'une autiste est déjà devenue une référence, ensuite grâce à la touche de romance idéalisée (point qui m'a personnellement dérangée), enfin grâce à l'ensemble du casting, excellent.
Mais voilà, dès l'épisode 10, je me suis ennuyée parce que, même si les affaires sont variées, cela reste un drama judiciaire, suivant donc un schéma répétitif. Pire que tout, il vire dans l'extra-dramatique dans les derniers épisodes (cœur brisé, maladie, etc.).

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Avec ses airs de fantasy chinoise, quoique plus chic, « Alchemy of Souls » propose un univers complet et fascinant, peuplé de personnages attachants.

Drama en plusieurs parties.

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Même si la singularité du dessin du webtoon n'a pas contaminé son adaptation télévisée, l'histoire est suffisamment jolie pour trouver sa place dans cette liste, d'autant plus que les dramas musicaux teintés de réalisme magique ne sont pas si nombreux... (C'est le seul à ce jour.)

Pour ceux qui se questionnent sur le sens de leur existence et qui aiment les papillons.

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Une galerie de portraits merveilleusement humains qui remet le concept de l'existence au centre de tout.

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Malgré son format, court, ce drama trouve le temps d'aborder des sujets graves grâce à ses deux personnages principaux. À l'heure actuelle, probablement une des meilleures romances homosexuelles du pays.

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Un drama fort sur les répercussions du harcèlement scolaire, non seulement sur les jeunes victimes, mais aussi sur leur version adulte. Les acteurs sont très bons, là encore qu'il s'agisse des adultes ou des enfants.
Il est simplement regrettable que les agissements des policiers soient si peu crédibles, et ce, jusqu'au bout.

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De la masse des mini-dramas coréens se dégage celui-ci, suffisamment bien réalisé pour soutenir avec efficacité son histoire, bateau mais romantique. Les multiples différences entre les deux personnages (que ce soit au niveau du caractère ou de l'apparence physique) sont émoustillantes.

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En soi, c'est une série de zombies qui n'a rien d'extraordinaire, mais comme c'est coréen et que ça suit le succès de « Squid Game » (voir plus bas), eh bien, ça fait du bruit.

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Le drama s'inspire de crimes en série ayant réellement eu lieu en Corée du Sud dans les années 2000. Le jeu des acteurs (policiers comme tueurs) et le charme rétro de ce drama le rendent incontournable.

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Toute la misère de la vie est montrée dans ce drama-là, destiné à ceux qui ont la larme facile. Si le scénario peut sembler bancal (il l'est), les personnages sont réussis.

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Ceux qui ont déjà vu un film de gangsters coréen ne seront pas surpris par le dénouement, mais il y a suffisamment d'action pour leur plaire. Est-ce que je parle de moi à la troisième personne du pluriel ? Oui. (En plus, il y a Ahn Bo-Hyun... hihi.)

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Le drama fait un tel carton sur Netflix que je suis obligée de venir le mettre ici, bien qu'il ne soit pas plus spectaculaire que les autres séries du même genre. Il y a une belle brochette d'acteurs, c'est sûr, de jolies images, c'est sûr, mais aussi des atermoiements et des incohérences dont le drama aurait pu se passer.

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Je pensais rire, mais j'ai pleuré. Et j'ai pleuré d'avoir pleuré. Yoon Si-Yoon au meilleur de sa forme dans ce drama au sujet pour le moins surprenant.

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Une jolie leçon d'humanité offerte à travers les vies, et les morts, de plusieurs individus qui sont autant d'occasions de demander pardon.

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Les férus d'Histoire apprécieront (re)découvrir l'un des événements les plus marquants des années 80, ici raconté avec force. Quant aux plus sensibles, ils pleureront certainement devant le drame amoureux qui se joue dans ces douze épisodes.

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Quel merdier, quand même. Il se passe tellement de trucs en même temps qu'on se demande ce que les personnages devraient gérer en premier. Dommage que les incohérences soient nombreuses. Ce drama a tout de même sa place ici, parce que le début est bien (et que c'est de l'horreur).

Apparition sauvage du personnage Im Joo-Ho dans les épisodes 2 et 3, tout droit sorti d'un autre drama d'OCN, « Save Me » — qui fait donc la promotion d'une secte.

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La première partie est époustouflante, elle fait questionner la santé mentale de tous les personnages. Ce qui suit cet exploit n'est pas aussi intéressant, mais la fin est correctement ficelée.

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Un remake presque aussi mignon que le drama chinois originel, qui fait la part belle aux jolis sentiments. Il reste que certaines transitions sont étranges : je me suis quelquefois demandé si j'avais raté un épisode.

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Score de folie pour le premier épisode sur cette chaîne câblée (troisième meilleur départ après « Mr. Sunshine » et « Encounter »). Le dernier épisode dépasse les 17 % de part d'audience !

Un drama à la fois drôle et intense, qui permet à Shin Hye-Sun de briller.

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C'est ce que j'appelle un drama grand spectacle. Les dix épisodes m'ont coupé le souffle, soit à cause de leur violence, de leur suspense ou de leur émotion. Bien stimulant !

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Histoire prenante de bout en bout, sans romance, qui joue bien avec la chronologie des événements et les émotions. Les cliffhangers sont particulièrement travaillés. Shin Sung-Rok est, comme d'habitude, époustouflant.

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C'est bien la première fois que je tombe amoureuse d'un acteur... Jusqu'à présent, je me contentais de trouver untel ou untel talentueux, charismatique, charmant... Pour Lee Do-Hyun, c'est différent. Je suis complètement subjuguée.
Drama à épilogues : il faut regarder jusqu'après le générique de fin.

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Un mélodrame prenant, qui évite les circonvolutions inutiles et émeut aisément. La résolution un peu facile n'éclipse pas pour autant le soin porté au scénario quatorze épisodes durant. À réserver aux adeptes du genre tire-larmes.

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Drama parodique plutôt drôle, d'autant plus que c'est inhabituel de voir Choi Jin-Hyuk dans de telles situations et avec un tel air. Le format court (12 épisodes) permet à la série de garder un bon rythme du début à la fin.

Il y a tellement de références dissimulées (ou étalées) et de caméos dans chaque épisode que c'est difficile d'en faire une liste exhaustive :
- Dans le premier épisode, le héros regarde le film « Fast Train to Busan » (référence évidente à « Dernier train pour Busan ») ; il accepte le même petit job que le personnage incarné par Song Kang-Ho dans « Parasite » (plieur de boîtes à pizza) ; le célèbre Yoo Jae-Suk apparaît sur une affiche de film.
- Dans l'épisode 5 : la scène fameuse du drama « Mr. Sunshine » est reprise par le détective Sung-Rok (il cache la moitié basse du visage de Moo-Young) ; multiples parodies de soaps (jouées par des comédiens plutôt connus), dont « Boys Over Flowers ».