Eclaireur au rapport: ces films sont okay

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Hésité avec le 8

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Une tranche de vie, donc lent et sans vraiment de scénar. Mais rien à redire sur la photographie ou le jeu d'actrices

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Par le prisme du 7e art, la jeunesse Hong Kongaise (cinq réalisateurs pour autant de court-métrages) lance une poignante alarme face à l'emprise chinoise et se fait l'écho artistique de la révolution des parapluies ("manifestations de 2014 s'opposant au gouvernement chinois et à son projet de limiter la portée du suffrage universel pour l'élection du Chef de l'exécutif de Hong Kong en 2017" dixit wiki).

Le film sera nommé meilleur film des 35th Honk Kong Awards, ce qui provoquera l'ire de Pékin (qui ne se privera pas de l'interdire [autant le film que la cérémonie], de censurer les médias en parlant etc..). A défaut de véritablement mériter le prix (et une note ?), l' esthétisme et les symboles font mouche dans cette dystopie spéculative.

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Film moral apparemment tiré d'une histoire folklorique, le ton est juste, les personnages réussis. La musique fait un peu tire-larme mais ça passe, je suis étonné qu'elle soit originale d'ailleurs.

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Ça m'embête de lui mettre si peu au vu du sujet (déclin d'une tradition musicale) mais je vais être honnête, ça sortait un peu trop les violons et ce déclin sur la fin du film est un peu "expédié". C'était rafraichissant le camarade/"rival" pas rancunier tout comme le sifu strict mais pas tortionnaire. Le film se termine quand on se dit qu'il pourrait avoir un 2ème souffle ah et je m'attendais à un truc de dingue pour la chanson en question, un poil déçu.

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Comédie musicale qui ne se prend pas au sérieux, sympa (sans plus) !

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Bon, clairement dans la catégorie "S'ils avaient été moches, il n'y aurait pas eu de film" avec quelques quiproquos agaçants et autres clichés propre au genre sur la fin, mais dans l'ensemble ça allait. Dommage pourtant, la mère célibataire qui trime parce que totalement naïve (et jolie justement...) voilà c'était quand même réussi.

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Alors à première vue (affiche etc..) on dirait un mix entre un drama (personnages tous riches et beaux) et Sex and the City (bourgeoises qui s'ennuient sexuellement, cela-dit je n'ai rien vu de cette licence donc je dis p-e des bêtises ), mais avec un pitch intriguant : je crois en effet n'avoir jamais entendu parler de bordel de gigolos.
Étonnement, le film marche plutôt bien même avec des rebondissements pas toujours bien amenés, des personnages clichés ou aux motifs un peu obscurs.

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L'histoire suit deux amies actrices qui galèrent en tant qu'extra, et leur relation avec un scénariste du même studio.
La première moitié est plutôt réussie avec un ton juste, ensuite... ça tourne en film romantique au rabais. Dommage.

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Un village côtier dans la Chine des années 80, bloqué cependant dans une ruralité ancestrale où les traditions perdurent. Village où les jeunes femmes/filles sont considérées comme de la chair à mariage (arrangé), et c'est ainsi l'histoire de deux amies (je n'étais pas sûr si elles étaient amies proches ou sœurs...) qui verront leur vie bouleversée en deux voies opposées par un patriarcat brutal lorsqu'elles seront en âge de quitter l'enfance. Un village où les femmes sont accablées de tâches et de servitude, et qui sont d'autant plus malmenées quand elles relèvent l'absurdité des traditions, comme cette loi interdisant aux mariés de se voir plus de trois fois en une année si un enfant n'est pas attendu (la logique), et qui condamne uniquement la femme en cas d'inconduite (ou d'infertilité). Cette domination masculine permanente semble trop abusée pour être crédible et pourtant le passé a bien des exemples la posant comme réalité (le présent n'en a également pas terminé avec cette toxicité, bien qu'elle se voit moins grossière).
Le film est quelque peu pénible à regarder tant l'injustice frappe l'adorable Hui-hua (Vivian Chen), mais l'histoire est très bien mise en valeur par la relation affectueuse des deux jeunes femmes ainsi que par les belles images de la Chine rurale. Malgré une temporalité confuse, le récit est prenant dans l'ensemble.

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Le genre de film qui se force à paraitre sensible (coucou le combo piano-violon persistant), ce qui en résulte un aspect un peu nunuche/superficiel et des personnages dont on ne croit jamais vraiment en leurs problèmes/actions. Mais l'île de Taïwan est trop jolie, tout comme la Betelnul Beauty hum

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Les séquences dans la jungle étaient plutôt réussies, les actrices ont dû payer de leur personne