En 2017, Fosca va s'asseoir à la droite de Freud et mate encore et toujours n'importe quoi

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J'aime bien les films à sketch, t'as en général à boire et à manger, bref ça te fait la soirée, sauf qu'en allant noter l’œuvre tu te mets à douter. C'est inégal, ça ne pouvait pas l'être autrement avec autant de réalisateurs aux manettes. Tout le faux nanar sur la lune fait sévèrement le café, comme bien d'autres moments, d'ailleurs, néanmoins je ne suis pas convaincu par tout.

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Cette vie rêvée elle met du baume au cœur avec sa fin chaleureuse et certains de ses plans très dépaysants. Seulement on perd assez souvent notre estime pour lui lorsque le scénario joue avec les facilités et les effets redondants. Agréable mais sans un petit plus, un petit plus qui manquait grandement aux premiers moments du film.

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Curieuse expérience qu'Harmonium. D'un côté je le trouve particulièrement bien pensé et orchestré avec des tas et des tas de bonnes idées, quand à d'autres moments je reste dubitatif devant un rythme en dent de scie. Un peu de frisson, un peu de frustration.

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Ce film est incroyable, sérieusement. Van Damme est certes pas le type le plus subtil, on le sait bien (tout comme Kickboxer, hein) mais quelle fougue ! Du début à la fin le loustique est à fond, il vit son film et nous fout une branlée du tonnerre. Ça met de bonne humeur, il en faut pas plus.

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C'est vraiment pas dingue, ce qui est dommage aux vues d'une ouverture loin d'être dégueulasse et des prothèses ''zombiesques'' plutôt réussies. Ce qui va pécher malgré l'expérience de Hooper c'est un fouillis pas possible dans le scénario, à croire qu'en commençant son film il ne savait pas où nous emmener et finissait par dire "foutez du zombie dans les rues de Londres ou les gens vont commencer à se lasser des nichons de Mathilda May''

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On est bien en dessous de sa version d'origine même si le film n'est pas mauvais pour autant. Il peine cependant à relever l'intérêt que peut avoir un remake et ne nous offre pas grand chose de sensationnel. L'ambiance n'est pas vraiment flippante, enfin ce n'est pas ça, on manque clairement d'ampleur et d'ambition.

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Il y avait de quoi prendre du bon temps avec ce titre et ce synopsis, mix entre Les Dents de la mère, King Kong et Anaconda. Le résultat est pas mauvais, loin de là, pour un film de monstre des années 50 c'est quand même très divertissant. On a seulement beaucoup de répétitions et peu d'enjeux mais bon difficile de lui reprocher cela quand on sent très bien que le but n'était pas là. Un classique de l'épouvante tout de même, qui ne fonctionne que très moyennement aujourd'hui.

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Ce qu'il y a de certain avec ce film c'est qu'on a plus aucun doute sur la genèse de Boulevard de la Mort de Tarantino. L'écriture est la même, des nanas qui en ont, des bagnoles qui vrombissent, de la réplique qui tue. Le scénar' ne va pas très loin mais ça ne gâte en rien notre plaisir quand à cette lutte homme/femme dans une société américaine encore bien patriarcale.

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Royal Affair est superbe, aussi visuellement recherché que finement écrit. Aussi dur à encaisser qu'un coup de massue, y'a pas d'autres mots. Les acteurs sont vraiment bons, en particulier Mads qui crève l'écran en nous transmettant avec aisance une myriade d'émotions.

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Il est pas évident à noter celui-là. Non pas parce que le film pourrait en choquer plus d'un (personnellement je trouve que le ton fait tout passer) mais parce qu'il règne une sorte de morosité super contagieuse. Ken Park c'est une expérience, absolument pas jouissive mais importante. Être plongé aussi loin dans les affres, les désirs, les pulsions et les angoisses adolescentes, c'est quelque chose. Et putain, il fallait en avoir pour le sortir ce film.

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Énième visionnage du meilleur film de Woody Allen, un régal comme d'habitude, mais un régal parfois bien salé.

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cf critique

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Niveau chorégraphies c'est du très bon, clairement on en a plein les mirettes. Maintenant on reste devant un film qui est censé de proposer quelque chose en plus et qui se contente de laisser Donnie tout gérer niveau charisme. Un scénario pas terrible mais des combats bien funs.

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J'ai enfin vu ce classique de l'épouvante après tant d'années à tergiverser autour de la fameuse scène du vomi. Et oui, quand on est hémétophobe on prend ses précautions... Je n'ai pas été déçu même si la plupart des moments devenus cultes ne sont pas si exceptionnels et franchement courts. Dommage de ne pas l'avoir vu dans les conditions de l'époque avec une vision moins ''expérimentée'' sur le genre.

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Très bonne surprise pour ce film qui ne devait servir qu'à me divertir. John Dies at the End est un trip presque hallucinatoire qui en a sous le capot et qui ne va pas ou presque pas chercher à faire du remâchage de toutes les productions existantes. Audacieux.

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Un classique de chez classique et on comprend bien pourquoi. Elle fait plaisir cette époque où Burton avait cette patte totalement décalée et, ma foi, peu académique.

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Si Polansky a fait son Carnage avec qualité et perfectibilité, le Prénom le dépasse d'un tête dans le genre scène d'appartement tournant au cauchemar. On rit, pour ainsi dire, du début à la fin, non pas d'un rire, résultat d'un effet humoristique, mais d'un rire qui vous saisit dans l'incisif. J'adore.

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S'il est nettement meilleur, à mon sens, que le premier opus, Conjuring reste symptomatique d'une mouvance que je trouve assez détestable ; un schéma très linéaire et prévisible avec ses successions de phases nocturnes où la tension va monter petit à petit, silence, et ça pète de partout. L'introduction est pourtant super efficace, sauf que ça devient très vite redondant... C'est dur de prendre son pied avec le même effet pendant deux heures. James Wan devrait travailler sur des courts plutôt que de rendre ultra calibré un genre qui est censé repousser les limites de notre incrédulité de spectateur. C'est pas horrible (dans tous les sens du terme) mais franchement pas génial.

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Dans l'ensemble on ne peut pas dire que c'est un bon film, non, il n'y a aucune réa', aucun style, peu d'émotions et pourtant ce n'est pas mauvais. Le sujet abordé a quelques pertinences et n'est pas dénué, de ce fait, d'intérêt. Moyen mais assez surprenant sur certains points.

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C'est impossible de noter ce film tant il serait compliqué de juger qualitativement des films de 1895. C'est quand même un coup de coeur pour ma part, tant on se retrouve face à une expérience des plus plaisantes où le cinéma retourne à ses origines entre drôleries, contemplations et curiosités. 108 films en un et autant de bons comme de moins bons regards sur le 7e art.

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D'un bout à l'autre Mc Tiernan t'envoie une sauce phénoménale, sérieusement. Et si les trois quarts du film peuvent perdre le spectateur en mal d'adrénaline constante, faute à une chasse pourtant jouissive, c'est surtout dans sa fin que Predator montre toute sa valeure avec un combat d'une beauté et d'une maîtrise...

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Parait-il qu'il existe une histoire entre deux défilés de nanas à poil...

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Petit film d'horreur sympa, frisant le nanadesque mais sans la folie que ce terme rapporte souvent. Hormis certaines scènes avec les jouets tueurs, on s'ennuie assez, le scénario n'étant absolument pas à la hauteur pour sauver le projet qui compte pourtant plusieurs suites.

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Suicide Club est une expérience très prenante, faute à un Sono Sion toujours dans l'inattendu. Le suicide et ses problématiques sont bien évoquées et réalistes même s'il subsiste après le film, une sensation incompréhension totale.

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Ce n'est pas tant que Jackie soit réellement mauvais mais il subsiste dans son visionnage une morosité constante et inégalement prenante faisant de l'expérience quelque chose de moyennement aboutie. Natalie Portman y est excellente mais on se retrouve plus devant un film sur son rapport avec JFK (et sa mort) que véritablement sur elle même. C'est dommage.

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Le dernier Verhoeven est sacrément efficace dans son rapport avec la morale. Ici, point de schéma ultra classique que tout à chacun nous sommes capables de prévoir à l'avance. Non ici, le récit est réaliste, tout comme les émotions ont leurs profondeurs et leurs étrangetés.

(ah et puis voir Isabelle Hupert parler de Styx c'est collector).

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Dans ce film on retiendra surtout les maquillages très organiques ainsi que cette vision d'un enfer ésotérique, comme un tableau d'Escher. Le reste est tout simplement trop cafouillis pour transcender.

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Cette claque, mon dieu. Y'a pas à dire, Park Chan Wook excelle dans la mise en scène nuancée, souvent glauque, d'un univers toujours original. Sans dépasser Oldboy dans sa trilogie de la vengeance, SFMV est lourd comme une masse et s'abat sans pincettes sur le crâne des spectateurs. J'aime énormément ce sentiment presque nihiliste qu'on ressent à presque chaque générique de fin dans ses films.

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Il y a beaucoup de bonnes choses dans cette histoire, à commencer par des acteurs de talent. Le sujet est fort, le mariage forcé, l'avortement, ça parle. L'orchestration est pourtant en demi teinte avec une fin qui ne me plait que très peu.

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J'ai souvent lu que ce film était surestimé, je ne comprends pas pourquoi tant il ne me semble pas porter en lui une quelconque volonté de grandeur. Bon, de mémoire, il doit pas y en avoir 40000 des films de monstres Coréens, surtout de connus, maintenant, l'expérience m'a paru agréable à regarder avec quelques grands moments forts me donnant encore et toujours plus d'explorer ce cinéma, décidément très surprenant.