En 2018, j'ai vu (et revu)...

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01.01.2018

Quoi de mieux pour commencer l'année qu'un bon vieux documentaire sur la Corée du Nord ?


L'histoire totalement surréaliste que l'on croirait tout droit sortie d'un film et pourtant vraie d'un réalisateur coréen et son épouse qui, dans les années 70, furent enlevés par les services secrets nord-coréens pour réaliser des films de propagande pour le compte de Kim Jong-Il, grand amateur de cinéma, et de leur évasion après plus de 2 ans au service du dictateur.

Le synopsis se suffit à lui-même, je pense.
Une histoire incroyable appuyée par de nombreuses images d'archives, de témoignages, d'extraits de films, et même d'enregistrements audio d'entretiens avec tonton Kim.

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02.01.2018
(Second visionnage)

Une suite peut-être pas aussi bonne que son ainé, décousue et un peu gâchée par des effets spéciaux ayant mal vieilli, mais tout de même un bon film. L’atmosphère onirique et poisseuse qui faisait la force du premier film est toujours présente, et est même poussée à un niveau supérieur par la dimension infernale et ses visions cauchemardesques et macabres. Sur le plan technique, le film a pris un coup de vieux, que ce soient les matte painting très jolies mais un peu trop voyantes ou les stop motions pas très subtiles. On se consolera avec la bande-son, vraiment chouette, et les idées visuelles foisonnantes du film.

Dommage, la suite de la saga ne sera pas aussi bonne.

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03.01.2018
(3ème visionnage)

C'est quand même dingue de se dire que même si Disney se la pète à mort avec son propre film d'animation sur le conte et son adaptation live aussi utile qu'un frigo sur la banquise, la version de Jean Cocteau les écrase aisément.
Aucune réflexion de vieux con et aucune nostalgie n'aveugle mon jugement, c'est juste qu'objectivement, le film de Cocteau est thématiquement, visuellement, scénaristiquement et musicalement supérieur à toutes les autres adaptations de La Belle et la Bête.

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04.01.2018

Ouah !
J'ai... J'ai rien compris mais c'était plutôt beau.
Un film bizarre, ultra esthétisé, avec un jeu sur les couleurs et les effets visuels assez bluffant, une sorte d'évolution naturelle des codes du Giallo. Un melting-pot de toutes les excentricités de ce sous-genre italien bourré à la caféine et défoncé au crack puis balancé sans ménagements à la tronche du spectateur pour un résultat déroutant, baroque, et même parfois un peu too-much, mais jamais inintéressant. Rien que d'un point de vue graphique (et pour son affiche qui est vraiment jolie), L'ECdLdTC vaut le coup.
Après, d'un point de vu histoire, bah... Y'en a pas... Le film est gavé à ras-bord de symboles et de thématiques en tous genre tournant principalement autour de la figure féminine et de la sexualité, mais pour en tirer une quelconque analyse pertinente, Pfou ! c'est pas demain la veille ! Après je dis pas, analyser ce film permettra sans doute de trouver des grilles de lecture incroyables.
Mais c'est pas fait pour moi :/

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05.01.2018

Très sympathique film d'animation français, qui parlera autant aux enfants (personnages rigolos, humour bon enfant et animaux qui parlent) qu'aux adultes (gros mots, uchronie, thématiques sur la science et le progrès humain qui seraient peut-être incompatibles avec un monde qui recherche la paix,...).
L'animation est soignée, la direction artistique a une vraie patte unique et le doublage est excellent.
A voir !

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05.01.2018

La réinterprétation du mythe de Faust est assez bonne. La morale chrétienne du Bien qui l'emporte sur le Mal, assez courante dans le cinéma du début 20ème, est bien présente et même un brin naïve, mais plutôt appropriée dans le contexte du film. Les performances de Gérard Philipe et Michel Simon sont excellentes, surtout Simon, qui alterne aisément le vieux professeur fou et le diabolique Méphistophélès.
Oui, la morale sur le pouvoir et la fortune qui n'apportent pas le bonheur est niaise et digne d'un Disney, mais encore une fois, dans le cadre d'une adaptation/réinvention de Faust, ça marche plutôt bien.

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05.01.2018

Refn en moins barré, et en (un peu) moins contemplatif.
Une bonne surprise que ce Drive, étrangement désavoué par son réalisateur qui le considère comme un film trop impersonnel.
Le rythme au début du film est très lent. Les scènes de tranche de vie s'enchainent avec élégance, légèreté et bonne camaraderie, quand tout à coup BAM une explosion de violence crue et sanglante dans ta gueule, avec des poursuites en voitures et un Ryan Gosling qui a même pas besoin de parler : Il lève le sourcil de 3µm et BIM, il te transmet direct toutes ses émotions. Tout en retenue pendant un temps, puis le gars se lâche totalement, et tu t'en prends une grande en travers de la tronche ! Il est fort, ce Ryan.
Et la BO est magique ! Peut-être la première fois de ma vie que je rembobine le film juste histoire d'écouter en boucle le générique !

'Faudrait maintenant que je trouve le courage de visionner The Neon Demon, moi.

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12.01.2018

Typiquement le genre de film policier qui te fait te sentir con lorsque le mystère est résolu : Tellement de détails évidents, tellement d'informations que tu oublies. Un film qui te fais dire que tu es un attardé, et que Hercules Poirot (interprété par un très bon Albert Finney), Sidney Lumet (12 hommes en colère <3) et surtout Agatha Christie, sont de parfaits illusionnistes manipulateurs.

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17.01.2018

Film d'horreur animalier aussi quelconque dans le genre que peu palpitant. Pas complétement nul, pas non plus bon.
Ça se regarde, ça s'oublie.

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18.01.2018

Étrangement supérieur au premier film (l'exploit n'étant cela-dit pas vraiment difficile), alors qu'ironiquement, il est encore plus long à démarrer que ce dernier. Mais là où le premier film nous offrait un anaconda sans jamais essayer de le dissimuler pour renforcer la menace, le 2 essaye de faire l'inverse, et de jouer sur les lumières pour rendre les serpents plus mystérieux (et pour cacher les FXs moches, aussi). De plus, contrairement au premier film, on a UN personnage attachant : Le capitaine du bateau, dont le coté badass survivant sur-exagéré semble avoir été écrit pour compenser la nullité de tous les autres personnages, d'ailleurs, la meilleure scène du film, c'est clairement quand il se bat contre un crocodile (oui, les anacondas sont si peu présents à l'écran qu'un croco arrive à leur voler la vedette...).
Un petit film d'aventure pas glorieux, mais divertissant.

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20.01.2018

Superbe drame, parsemé de petits moments de comédie grinçants et très efficaces. Une œuvre non-manichéenne, où les personnages, hormis celui de Woody Harrelson qui est vraiment un bon gars, ne sont jamais tout blanc ou tout noir, juste humains, et bêtes.

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22.01.2018

Vu sur Youtube, dans une qualité plus que bancale.
Court-métrage réalisé par notre ami à tous Guillermo à l'époque où il était encore étudiant en cinéma. Et bien qu'assez cheap et grotesque, on sent déjà les prémices de ce qui deviendra la patte du réalisateur : le rapport aux monstres, au mysticisme, une certaine volonté de se moquer de la bêtise humaine en montrant les créatures fantastiques comme plus humaines que les humains. Et il y a un vrai travail sur la couleur et les lumières qui n'est pas sans rappeler Argento.
Un petit hommage au cinéma d'horreur italien pas extraordinaire, mais sympa.

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22.01.2018

Je ne suis pas vraiment familier du cinéma hongkongais, mais il faut avouer que ce film porte bien son nom : Une balle cinématographique qui te pénètre la tête et déglingue tout à l’intérieur.
Un drame poignant sur fond de guerre du Vietnam et de gunfights endiablés. L'histoire d'une amitié brisée par la violence et l’égoïsme.
Aussi beau que cruel, aussi poétique que violent.
A voir.

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23.01.2018

Comment mélanger histoire de fantômes et film de sabre chinois.
L'exercice est un peu maladroit et frise par moments le ridicule, mais ça a le mérite de nous offrir un film atypique. Une romance surnaturelle très sympathique avec des scènes de combats magiques un brin grand-guignolesques mais cool à regarder.

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24.01.2018

Début de mon marathon Del Toro avant la sortie de La Forme de l'Eau.
Très belle réinterprétation du mythe du vampirisme avec ce mécanisme qui offre l’éternité à celui qui en amorce les rouages.
L'immortalité doit-elle passer avant l'humanité ?
Doit-on craindre la mort tant que l'on a l'amour ?
Un film au scènario assez simple, au petit budget évident, mais qui dégage une vraie poésie, une sincérité propre au cinéma de Guillermo.

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25.01.2018
(Second visionnage)

Premiers pas de Del Toro sur le territoire américain. Premiers pas un peu bancales.
Un survival assez classique, reprenant pas mal de codes du genre : Les scientifiques qui jouent à Dieu, les vilaines bébêtes qui sont une menace pour l'humanité et même que l'on doit tous les détruire, le combat contre le "boss" en fin de film façon Aliens (le mécha en moins),... On ajoutera des effets numériques pas franchement convaincants, et qui font plutôt tâche avec les effets pratiques assez bien faits des insectes mutants, et un scènario globalement prévisible car suivant le schéma habituel de tous les films du même genre.
Après, est-ce que c'est un mauvais film ? Non.
Mais c'est celui que l'on oubliera le plus vite dans la filmo de Guillermo.

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29.01.2018

Après une pause de 4 ans, Guillermo revient au cinéma espagnol. Pour notre plus grand bonheur.
Il nous revient avec un drame fantastique, une sorte de Crimson Peak avant l'heure (non, sans rire, le design du fantôme du film a clairement inspiré ceux des esprits de cet autre film de Del Toro) sur fond de Guerre d'Espagne. D'ailleurs, le gars pourrait débarquer demain et déclarer que Crimson Peak, l’Échine du Diable et Le Labyrinthe de Pan se passent dans le même univers, je le croirais sans problèmes !
Un film où l'innocence de l'enfance se confronte à la cruauté du monde des adultes. Où la guerre exacerbe les traits les plus sombres de l'être humain. Où le fantôme n'est même pas la vraie menace : Les hommes sont suffisamment méchants pour tenir le rôle de monstres.

Avec El Espinazo del diablo, Del Toro pose les bases de son Labyrinthe de Pan et commence déjà à s'imposer comme un grand réalisateur.

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30.01.2018
(Troisième Visionnage)

Bon, on va pas se mentir, Blade 1 n'a pas un scènario très fin ni des effets spéciaux ayant bien vieilli (sauf peut-être les vampires qui se transforment en spectres ailés vers la fin, ça c'était plutôt joli). Le méchant n'est pas très charismatique, le montage est parfois épileptique pour rien et le climax est assez décevant.
Pour autant, c'est pas forcement gênant. Une seule raison à ça : Blade.
Wesley Snipes donne une vraie carrure au personnage, une vraie badassitude. Snipes déborde d'énergie dans le rôle, rendant assez fade la performance de sa partenaire N'Bushe Wright. Blade est cool, Blade est badass, Blade est tranchant comme un rasoir.
Et c'est cool !

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30.01.2018
(Troisième visionnage)

Suite du sympa mais perfectible Blade et nouvelle incursion de Guillermo en territoire américain.
Et autant dire que l'on sent la présence du gus derrière la caméra !
Rien que d'un point de vue lumière, le film écrase le premier film. Il y a un vrai travail sur les couleurs, surtout sur le rouge, dans le métrage, et un jeu de clair-obscur très approprié au contexte.
Les effets spéciaux ont par ailleurs très bien vieilli, notamment les trucage de la bouche des Reapers, qui ont vraiment un coté très organique. Après, il utilise les CGI dans les phases de combat pour retranscrire des mouvements totalement irréalistes, et on les voit facilement. Fort heureusement, ça n’empêche pas de rentrer dans les scènes de baston, donc ça passe.
Et on voit ce qui a motivé Del Toro à faire ce film : L'histoire d'un monstre qui est détesté même des monstres. Une créature cauchemardesque à laquelle notre réalisateur va apporter une touche humaine, une histoire digne d'une créature de Frankenstein vampirique. C'est touchant et cruel à la fois.
Et Blade est toujours aussi badass !

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31.01.2018
(Second visionnage)

Quand Del Toro rencontre Mignola. Deux auteurs aux univers et aux influences assez proches, qui se complètent parfaitement.
Avant, le Guillermo, il était gentillet, hein, mais maintenant qu'il a du budget et une base solide, il se déchaine complétement, et c'est trop stylé !
En vrac, on a : un demi-démon soupe-au-lait et asocial; un amphibien télépathe, une pyrokinésiste dépressive; un méga-sorcier zombie; un zombie ninja steampunk; un démon-grenouille-serpent qui ressuscite; un mausolée antique rempli de pièges;... Bref, Del Toro se fait plaisir, et ça se sent.
Après, on peut critiquer la place du personnage de Myers, qui semble juste avoir été rajouté dans le scènario par la production histoire que le public s'identifie à un personnage humain au milieu de tous ces freaks, mais j'avoue qu'il est utile pour le spectateur ne connaissant rien à l'univers de Hellboy pour pouvoir mieux s'y plonger.
Pas le meilleur film de Guillermo, mais quand même un très bon film.

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04.02.2018
(54ème visionnage)

Toujours aussi intense, violent et spectaculaire qu'au premier visionnage.
Un film d'action et d'arts martiaux à nul autre pareil, où tout respire la maitrise et la classe, des chorégraphies des combats à la sublime musique, en passant par l'inventivité incroyable de la mise en scène.
Trop sous-estimés, The Raid 1 et 2 (et aussi le 3 ?) sont pourtant les porte-étendards du cinéma d'action nouvelle génération : Brutal, violent, sublime et millimétré.

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08.02.2018
(47ème visionnage)

Moins intense et percutant que le premier à cause d'un scènario bien plus mis en avant (là où le premier surprenait par la simplicité et l'efficacité de l'histoire), Berandal possède malgré tout pas mal de points en plus par rapport à son ainé : Une intrigue mafieuse bien écrite; une mise en scène plus soignée, alternant des séquences posées et élégantes et des scènes de baston haletantes et encore plus violentes que dans le premier; des acteurs impliqués et une musique incroyablement catchy.
Vivement la suite ! Je pries pour une sortie en 2018 !

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08.02.2018
(Second visionnage)

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09.02.2018
(3ème visionnage)

Si l'objectif de Goyer était de détruire tout ce que les 2 premiers films ont construit de Blade, on peut dire que Trinity est un chef-d’œuvre ! (de connerie)
Entendons-nous bien, ce film échoue dans tout ce qu'il entreprend : l'activité de Blade dévoilée au public ? Un quart d'heure, puis on s'en fout; Une équipe pour épauler Blade ? L'un est un guignol, l'autre un caillou inexpressif; Le méchant Dracula ? Bonne idée, mais ni l'écriture du personnage, ni le comédien ne lui donnent une vraie consistance (et puis le monstre en latex rouge digne de Power Rangers.... Voilà quoi, quand t'as eu les super maquillages de Blade 2, ça fait mal au cul...); la BO ? Mix de rap et d’électro... Bof bof;...
Et si encore Wesley Snipes pouvait sauver les meubles, mais même pas, on dirait que même lui s'emmerde d'être là !
Pourquoi je me suis infligé ça alors que je savais que c'était de la merde ? Je sais pas !

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09.02.2018

Un labyrinthe. Un homme sans mémoire. Un policier mélomane. Une chanteuse. Un savant de l'esprit. Des êtres sans âme qui s'en façonnent un semblant. Une ville qui se remodèle à l'infini.

Une fable noire sur la mémoire, l'identité, et surtout sur la liberté au delà des limites du corps et de l'esprit.

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10.02.2018

Bons points : Double JCVD, donc 2 fois plus de bonheur; Le combat contre le méchant costaud chinois, super cool; JC qui joue 2 rôles à la fois, et qui arrive bien à donner de la personnalité à ses personnages.
Mauvais points : Le montage approximatif; Le scènar', qui se résume à une simple vengeance avec des jumeaux; La relation Chad-Alex qui n'est pas bien exploitée; le personnage féminin principal, qui sort avec l'un des jumeaux, mais couche le temps d'une scène avec l'autre en sachant très bien que ce n'est pas son amoureux, un peu limite,...
Reste un film pas prise de tête, efficace dans ce qu'il propose et même plutôt jouissif à certains moments.

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11.02.2018

S'il y a bien un truc qui transpire dans les films de Van Damme que j'ai vu, c'est que ce gars déborde de sincérité et d'envie de bien faire, quand il est dans un film de bagarre, il y est à 200%.
Ça se voit dans Kickboxer, co-écrit par JC, où l'on sent un véritable respect pour les arts martiaux et la culture thaïlandaise, le film n'hésitant pas à plus se concentrer sur l'entrainement physique et spirituel de notre héros que sur les véritables scènes de combat.
Alors oui, il est dommage que cette sincérité s'accompagne d'un scènario de vengeance directement piqué à Bloodsport et d'un montage discutable, mais pour ce que le film a à nous proposer, à savoir de la bagarre et un Van Damme qui fait le grand écart sur du disco, il fait parfaitement le job.

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11.02.2018

Un film de JCVD qui essaye d'avoir un scènario. Et même si celui-ci est assez mélo, manichéen et pas super fin, au moins le film a des scènes de bagarre qui envoient !

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11.02.2018

JCVD en prison. Ok, une prison bourrée d'incohérences et de facilités d'écriture en plus de prisonniers pas si méchants que ça au final, mais au moins y'a des combats sympas.

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11.02.2018

JCVD chez Mad Max. Ce film a pour lui un univers post-apocalyptique assez convaincant, JCVD en guerrier vengeur, un méchant pas super gentil, de la violence, et un flash-back de massacre de famille plutôt bien foutu, en plus d'être assez trash.
Mais à coté, c'est vrai que les dialogues sont pourris, le scènar' tient sur un huitième de timbre, les acteurs sont à l'Ouest et le titre est un peu mensonger, vu qu'il n'y a qu'un seul personnage cyborg dans le film, et (grosse déception) ce n'est pas Van Damme...