En 2021 ... les jv, j'y vais.. (non atte

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Journal de bord, entrée n°5:

Alors celui-là pousse la bêtise propre à cette série très très loin sur sa fin. Les fins dans les Yakuza sont toujours assez jouissives et ont la tendance à nous laisser sur un souvenir suffisamment agréable pour nous donner l'impression que le jeu est meilleur qu'il ne l'est réellement.

Ce quatrième épisode est celui qui, pour le moment, possède la rupture la plus violente de ce côté là. Vraiment, le final est brillant. Ça commence avec une feinte bien naze comme la résolution de Yakuza 3, sur un toit avec des révélations et des trahisons et tout. Hilarante la scène, un bon vieux hmm watcha say des familles (le snl s'en est visiblement inspiré : https://www.youtube.com/watch?v=vmd1qMN5Yo0).

Alors que la fin véritable, la vraie de vrai, se déroule sur un autre toit sur lequel les quatre protagonistes débarquent tels les back street boys dans un déluge de money-money grotesque qui préfigure clairement l'épisode 0. Et rien que ça, ça fait plaisir.
Bordel, Akiyama échappe de justesse à un hmm watcha say quand une liasse de billet providentielle stoppe une balle qui lui était destinée. Le méchant fait toujours ça, il sort un flingue, car c'est le seul a avoir pensé au caractère pratique d'une telle arme et abat, dans un baroud d'honneur dramatique, un personnage qu'on aime bien. C'est d'un stupide. Yakuza 4 dit: "ouais mais tu sais quoi ? Peut mieux faire" et décide que le gentil usurier sera sauvé par les mille balles qu'il portait dans la poche de sa chemise à deux-milles balles de gentil yakuza. Ça c'était la meilleure séquence audiovisuelle de l'Histoire. Là tu te lèves de ton canap, tu lèves les bras et tu beugles dans un un indicible bonheur le plaisir procuré par cette magnifique action.
Tellement bête.
Je pense avoir déjà atteint l'apothéose de mon année 2021. Je veux dire, que pourrais-je bien attendre après ça ?

Cette fin m'a fait oublié le reste du jeu qui n'était peut-être potentiellement pas au niveau mais qu'est ce que je m'en branle, alors.

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Plus proche d'un spin-off que d'une réelle suite (intéressez vous à The end is nigh pour ça), c'est vraiment solide et ça fait globalement plaisir.
C'est toujours d'une précision folle et les différentes mécaniques sont toujours aussi bien imbriquées les unes aux autres. Il y a la bonne idée d'épurer le tout en en faisant un runner à deux boutons. Ce niveau de maîtrise n'aurait sans doute pas pu être atteint si la meat team se serait mis à faire du McMillen sans McMillen.
Oubliable mais plaisant.

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https://www.senscritique.com/jeuvideo/The_Last_of_Us_Part_II/critique/188154794

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Ça m'aurait fait mal au cul de lâcher 30 ou 40 balles pour ce truc à l'époque.
Au-delà du fait que ce soit extrêmement court, c'est juste un niveau random de mgs avec un arsenal trois ou quatre fois plus faible que ce qu'on a depuis le premier jeu. Donc trois à quatre fois moins de possibilité de gameplay. Genre, on se fait chier.
En plus c'est dur. Parce qu'on dirait un niveau de milieu de jeu qui considère que tu sais jouer, c'était pas beau à voir et j'ai bien mérité mon C à la fin de cette mascarade vidéoludique.

Même en tant que prologue qui met en contexte le vrai jeu, ça sert à rien. Rien qu'à voir le nombre de texte pour mettre en contexte cette mise en contexte, on comprend à quel point c'est une démarche stérile.
C'est le produit le plus inepte que j'ai jamais consommé, mais tout est oublié. Le mal est fait, la douleur fantôme suivra, mais oui.

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J'ai joué à ce jeu moi ? Complètement occulté ce fait.
Mes souvenirs me disent que c'est sympa, la déco est bonne, les mélodies sont entêtantes, gameplay satisfaisant pour une poignée de sessions jusqu'à ce que ça devienne trop hardcore pour moi et mon absence de skill.

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https://www.senscritique.com/jeuvideo/Outer_Wilds/critique/240697024

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Accompli dans le fringuant Hitman 3, je ne sais donc pas vraiment ce que cela implique en termes de changement par rapport à l'édition de 2016.

Rarement traversé un titre aussi inégal. D'une destination à l'autre, on peut passer d'un bijou d'infiltration aux idées brillantes, à une purge de l'intromission au game feel convenu.
Paris, des paillettes dans les yeux. Sapienza, un soleil vivifiant donc une grotte étouffante. Marrakech, Snake sort de ce corps. Bangkok, le plaisir à votre service, le bonheur à tous les étages. Colorado, du rififi à la NRA. Hokkaido, du cœur à l'ouvrage.

Tout est dans la dénomination "destination" pour signifier niveau.
Dans Hitman, le voyage détient une place de choix. Il faut faire rêver le joueur, le mettre dans des situations qui en jettent un max.
Il est donc tout à fait appréciable de l'éloigner des environnements militaro-militaires dont regorge déjà le jeu-vidéo. Call of, on connaît la soupe, merci. Alors, dès que le jeu s'éloigne de ce contexte insipide, on atterrit de façon immédiate dans des niveaux meilleurs sur à peu près tous leurs aspects.

Cela s'explique simplement. L'infiltration dans Hitman n'est pas celle du jeu d'action qu'on bouffe à toutes les sauces depuis dix piges.
C'est une infiltration de puzzle game qui est tellement plus rafraîchissante et inventive. Ce qui fait qu'assez bêtement, une base militaire sera gardée par des soldats de jeu d'action dont il faut se dissimuler de la façon la plus déjà vue. Les destinations concernées sont vouées à avoir un goût de flotte.
Alors que, disons, dans le cadre d'un dîner mondain nous aurons bien plus la nécessité de se montrer à la vue de tous lorsque nous fomenterons puis accomplirons nos méfaits. Ça change tout et explique le fait que Paris, Bangkok et Hokkaido sont des destinations que j'ai arpenté plus d'une fois, ce qui n'est pas le cas de ces emmerdants Marrakech et Colorado. Eux, je les déteste.

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Z'êtes sûrs que ce truc et Persona, même combat ? Non parce que c'est pas trop la même limonade, hein.
Les ingrédients sont les mêmes, je le vois bien, mais les dosages ne pourraient pas être plus opposés. Il y a une forme de génie, de la part de Atlus, à parvenir à proposer deux expériences aussi radicales, à leurs façons, tout en y mettant à peu près les mêmes choses.

Dans ce SMT IV, tout est dans le world building qui parvient à très bien insuffler une part de *mystère* dès les premières heures au royaume de Mikado puis à Tokyo, et dans une certaine philosophie des combats plutôt vénère.
C'est dans ces derniers que le jeu brille de mille feux. Le système de combat est tout bonnement fabuleux. Habituellement, qui dit j-rpg, dit statistiques avant tout. Alors que celui-là, de j-rpg, bien qu'il soit très franchement hardcore, ne m'a pour autant jamais demandé de grind comme un imbécile. Parce que le boss te one-shot de toute façon à tous les coups, on est pas à un ou deux niveaux près. Là, il faut plutôt y aller se casser les dents une ou deux fois pour tâter le terrain, puis façonner son équipe de démon à la volée en fonction des éléments dont on a besoin pour la rixe qui nous attend. Ce grâce à un système de fusion doté d'un grand nombre d'options pour être sûr de trouver les démons qu'il nous faut pour annihiler ces fichus boss.

C'est tellement bien foutu, satisfaisant et austère. Ce dernier point ne fait pas le poids face aux autres. Je dirais même qu'il les sert à merveille.
Shin Megami Tensei IV est un plat épicé à ne pas mettre entre toutes les bouches, néanmoins savoureux, au bon goût de reviens-y. Pas facile à finir, il nous laisse quelque peu exsangue mais indéniablement fier du travail accompli.

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Prenez mes bafouilles sur Hitman deuxième premier du nom et il n'est pas difficile d'imaginer en quoi Hitman 3 est d'un bien meilleur cru.

Alors déjà, ils ont bridé bien comme il faut ces fausses bonnes idées que sont les intrigues. Elles apportent toujours des scènes tordantes mais sont trop linéaires pour le bien du bac à sable qu'est avant tout Hitman. Les renseignements sont un excellent compromis qui laissent le joueur plus actif et le jeu prendre toute son envergure.
Je vous le donne en mille, Hitman 3 prend toute son envergure.

Tout est dans les destinations. Ils ont mis le paquet sur les destinations de celui-ci. Toujours quelque peu inégales sauf que la moins bonne du 3 est au niveau des meilleures du 1.
Dartmouth et Berlin sont purement et simplement des chefs-d'œuvre. Ils parviennent, non seulement à nous mettre dans des contextes qui puent le style, mais encore à tordre les mécaniques de cette formule très rodée avec une infinie maîtrise.
Pour dire le niveau d'attente dans lequel nous foutent le manoir à la Agatha Christie et l'entrepôt de gaulois réfractaires, en comparaison, ces beautés de Chongquing puis Mendoza semblent trop classiques, presque décevantes. Alors qu'ils n'ont en aucun cas à rougir tellement ils sont inventifs et beaux et passionnants et merveilleux et que j'aime ce jeu.

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Sans conteste, la friandise la plus douce de l'histoire du jv.
Non franchement fallait pas Nintendo. Vous n'étiez pas obligés, vraiment.
Surtout après le service minimum de 3D-all stars, qui m'allait très bien soit dit en passant.

Furry Bowdha n'a en tout cas rien d'un foutage de gueule. Certes courte, cette aventure de notre bien-aimé plombier, tout en trois dimension, fait très bien honneur à ses aïeuls, si prestigieux qu'ils soient.
Bien qu'il soit un rejeton direct, d'un point de vu technique, de 3D World, c'est bien du côté de Sunshine, le vilain petit canard de la série, qu'il prend ses racines. C'est à dire ni trop linéaire, ni trop porté sur l'exploration.
Les niveaux, si cette appellation a encore un sens étant donné la nature monolithique du jeu, s'adapte à la progression de Mario. De sorte que ce sont des pléthores de courts passages linéaires accessibles dans les quatre coins de la map qui sont à traverser pour récolter les "astres félins". Le tout sans retour à un hub inexistant et de la façon la plus modulable qui soit.

Seule l'utilisation de Bowser qui s'excite en mode Kaiju de temps en temps me semble quelque peu hors-propos.
C'est pas mauvais, certains passages de plateformes profitent bien de cette variable aléatoire. C'est relevé, c'est bien. Mais force est de constater que ça se jouerait très bien sans lui. Alors que le jeu prend quand même son nom, pas celui de Mario, ce qui est une première.

La direction artistique est trop bizarre. C'est comme s'il n'y en avait pas mais qu'on avait mis des oreilles de chats sur tout et n'importe quoi. Les goombas, les arbres, les phares et à peu près tout le reste.
Bowser est classe cependant. Et la palette de couleur rend bien. Et la musique est magnifique, mais c'est pas étonnant. Et voilà quoi.

Annotation :

Fait après Frozen Ape ça fait un peu mal.
Toutes les mêmes qualités, il est à dire des idées qui pleuvent jusqu'à inondation, mais en un peu moins fou.
Et puisque il s'agissait à l'origine d'un jeu wii, le petit écran de la 2ds entraîne pas mal de soucis de lisibilité bien casse-bonbon sur la fin qui n'est déjà pas spécialement ez.

Annotation :

J'en ai gros sur la patate là, ok ?!
Ça attendra pour rédiger mes conneries sur le jeu. Peut-être quelque chose de plus conséquent, à tête reposée. Mais pfiou, c'était bien bien bien bien bien.

Annotation :

Quelle inventivité, que c'est marrant, que c'est rafraichissant.
Trop longtemps, je suis passé à côté de cette série. C'était une bien vilaine erreur que je suis heureux d'avoir corrigé.
Maintenant à quand l'épisode switch ?

Epatant qu'avec la quasi-exclusivité du bouton A lors des mini-jeux ça ne tourne pas plus immédiatement en rond que ça n'est ennuyeux.
Les feed-back sont de l'ordre de la perfection alors que dans les faits on appuie sur un seul et même bouton au bon moment. Saaauf que le rythme à choper est d'une précision assez impitoyable, pour rester dedans il vaut mieux bouger son petit popotin. Je ne déconne pas une seconde avec vous, ok ? Je suis en train d'être réel.
Vraiment, tu tiens ta console d'une main, pas forcé de garder l'œil dessus, et tu ouvres grand tes esgourdes, bouges la tête au rythme du son mono de la 2ds, comptes dans ta tête les mesures, 1, 2, 3 puis tu presses aux 4, 5 et 6, tout en claquant ta cuisse de ta main libre par sécurité, ne surtout pas perdre le fil. Ce serait bête de se désaccorder d'une jam pareille.

Annotation :

Morceau royal. Douze dizaines d'heures au compteur pour en voir le bout le plus court.
Vous savez ce que je déteste dans le jeu-vidéo ? C'est les multiples fins totalement arbitraires qui sont sensées s'adapter aux actions du joueur. Elles sont des ficelles grosses comme des maisons qui sous couvert de flexibilité vont rappeler le plus fort qu'elles le peuvent qu'il s'agit bien, en définitive, d'un jeu-vidéo. En quel honneur mes choix n'ont d'importance qu'une fois 95% de l'aventure pliés ? Un boulot titanesque de s'y prendre depuis le début j'imagine, alors qu'à la fin, bon, vas-y que je te balance la bad-ending où tout le monde meurt même si ça n'a pas de cohérence avec les thèmes développés en amont dans le récit. Ça c'est pas une fin, non, c'est un fichu game over. Alors soit vous pensez mieux votre système de jeu, soit vous vous abstenez.

Tout ça pour dire qu'attendant patiemment le fameux nouveau troisième trimestre de ce P5 Royal, je me le vois refusé parce que je n'ai pas fait monter durant les 70 premières heures de jeu mon social link avec je ne sais quel personnage random que j'ai délibérément ignoré pour cause de sale gueule. Rien n'indiquait qu'on allait me couper une bonne partie du contenu du jeu pour cette broutille.
Je pourrais charger une sauvegarde 60 heures plus tôt ou recommencer entièrement cette infinie hiiiiiiistoire pour redresser le tort. On va dire que non.

Sinon, il devrait y avoir d'autres trucs à en dire.
Persona 5 a le malheur de ne pas être Persona 4. La forme a indéniablement bénéficié d'un bon coup de polish, mais le fond est carrément plus bête. Je ne développerai pas plus, à part pour dire qu'on est passé du I'll face myself à la même chose sans la partie dans laquelle I face myself.

8 néanmoins.

maj : c'est reparti pour un tour.. signe que ce jeu est un bel, un magnifique enfoiré.

Annotation :

Fait sobre durant le premier confinement, refait déchiqueté durant ce que certains naïfs appelleraient le troisième confinement.
D'une traite, jusqu'au bout de la nuit. C'était quand même quelque chose, je recommande l'expérience.

Annotation :

P'tite odyssée du big bang dans des délires bien formalistes, bien sexy.
L'idée de faire du film noir une analogie de divers concepts intellos fonctionne à balle. Mais en voilà une bien belle fausse promesse, la majorité du jeu s'écarte de la métaphore tout en se criblant les pieds de balles calibres 50, au moins.
Et d'un point de vue ludique, ça vole pas bien haut. Les quelques puzzles sont même franchement déplaisants.

Annotation :

Plus de Shadow Tactics mais avec des cowboys et des cowgirls et du vaudou et des subtiles références au cinoche de Sergio Leone.
Ça mange pas de pain, un jeu parfaitement abouti sur tous ses aspects qui change simplement d'emballage, on a pas toujours besoin de plus.
Et puis c'est sur le gamepass donc bon, déjà payé pour que ce soit gratuit.

Annotation :

Je partage l'avis de tous pour ce jeu.
Au début ça fait très peur, après ça fait peur, puis moins, enfin plus du tout.
Les Baker sont excellents, les pustules atrophiés sont nazes.
Le RE engine n'est visiblement pas là pour déconner.
Et Chris Redfield, quel glow-down.
Voilà, le même avis que tout le monde quoi.

Annotation :

Petite excavation archéologique pour le jeunot que je suis.
C'est vieux, oui oui, mais le plaisir fut bel et bien au rendez-vous.
Malgré les aberrations de design qui jonchent l'aventure, je conseille à tout aficionado de Mother 2 et 3 de s'y essayer. À personne d'autre, en revanche.
Parce qu'on y reconnaît le ton doux-rigolo-nostalgique de la série, la plupart des thèmes musicaux sont présents et la plume d'Itoi est déjà bien affutée.

Annotation :

Les Wesideunt ivol sont décidément des jeux qui s'évadent à toute forme d'unicité. Mais alors, celui-là tient le pompon.
Ça cite RE avec le château Dimitrescu, RE 4 avec le village, des trucs comme Silent Hill avec la baraque à Beneviento, et puis, j'sais pas, Call of Duty quand on fait tout péter avec Chris.
Et comme d'hab ça va du vaguement bon à du très très bon. La big lady est plutôt décevante, elle apparaît probablement plus dans la com que dans le jeu en lui-même et ne vaut globalement pas Jack Baker. Le village est seul a vouloir nous faire peur, il y parvient et c'est une excellente idée d'y mettre des objectifs secondaires. La maison de poupée est un plaisir de tous les instants, a une ambiance fabuleuse et sort des sentiers battus.
La fin, quant à elle, est laborieuse. Une des forces de la nouvelle formule est d'être teubée. Teubée, genre fun. La fin est dans la même lignée, vraiment débile, mais genre premier degré. Bah c'est pas fun le premier degré. Ça fait l'effet de passer de Evil Dead à La ligne verte, tu parles d'une régression.

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https://www.senscritique.com/jeuvideo/Katamari_Damacy/critique/247149207

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Journal de bord, entrée n°6 :

Ça devient une routine. Kiryu à la rescousse du clan Tojo qui traverse une crise tous les 2-3 ans. Yakuza me rappelle que la routine c'est sympa, c'est un cocon, c'est facile et c'est agréable. Ça me rend triste de savoir que la prochaine fois sera un peu la dernière.
M'enfin cette fois-ci j'y suis allé en mode full scénar. Tête la première, pas de karaoké, pas de détour au bar à hôtesse et surtout en mode facile.
Une bien riche idée puisque Yakuza 5 est long, à peu près autant que le 0 et ça m'aurait encore pris des plombes à en voir le bout. En plus on fait face à une intrigue bougrement bien ficelée, à peu près autant que celle du 0 et ça m'a permis de la suivre de la façon qu'elle méritait. Presque au point que j'adhère aux valeurs méritocratiques mielleuses de la série. Tel est le niveau de suspension d'incrédulité qu'est capable d'invoquer Kiryu.

oooh et le chapitre de Haruka est trop bien. Un vrai bol d'air frais craché à la tronche.
Croyez-en vos rêves les amis.

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Refait
Meilleur Ratchet, y'a pas à chier.
Grosse parodie de reality show à l'américaine dans laquelle les participants se trucident joyeusement. Les cinématiques sont des pubs pour du marchandising des divers personnages du jeu, ou bien des news à la CNN avec un duo de présentateurs qui font leur beurre sur de l'intox grossier. L'antagoniste majeur est une crapule capitaliste, un requin de l'espace arborant une fine moustache façon Walt Disney. C'est rare et donc notable, ce jeu est marrant.
Bien plus action que plateforme ce coup-ci. On est sur de gros niveaux découpés en de multiples courtes, très courtes, épreuves. Des hordes d'ennemis à dézinguer avec des armes moins folles mais plus modulables qu'à l'accoutumé. Des points à sécuriser. Divers véhicules pilotés lors de courses contre la montre ou bêtement dans l'optique de tout faire sauter. Ce genre de trucs quoi.

Insomniac avait voulu faire son Halo on dirait mais a finalement plus préfigurer les derniers DOOM. Ouais, carrément. Fast-tps qui nécessite une gestion des ennemis très similaire à celle des cacodémons et autres tyrans que le Doom-Slayer se coltine. Toute proportion gardée, bien sûr.

Annotation :

Plus nintendo, tu meurs. Impossible de faire plus immédiat, simple, clair, net et précis. Wario Ware, c'est le jv dans son plus simple appareil. Con, rigolo, stimulant et abrutissant.
À mettre entre toutes les mains donc.

Annotation :

Ouais on peut dire ça oué, les megaten, ça me connaît wé.
J'en bouffe un max depuis une pige et ça a bon goût donc on s'arrêtera pas de si tôt. Celui-là, déjà sur switch c'est un bonheur, est probablement un des épisodes majeurs de cette vaste série. La plupart des ingrédients sont là mais c'est qu'il commence à se faire vieux le pépère. Comparé à sa suite il est globalement peu ergonomique, rigide et plus facile. Donc pas moins frustrant. L'Obélisque, franchement, quel enfer. La seule raison pour laquelle on peut se motiver à la grimper c'est pour s'en jeter de son dernier étage.
La morale de cette histoire c'est que Shin Megami Tensei IV est incroyable.
Nocturne a tout de même pour lui son ambiance et son scénario, dépouillés, surréalistes et envoutants. SMT III est somptueux.
Surtout ne boudez pas votre plaisir, bouffez-en un max et vous verrez, tout ira pour le mieux.

Annotation :

Premier Metroid pour moi et c'est con à dire mais il manque quand même pas mal le vania.
J'ai bien aimé mais ça manque d'une certaine profondeur dont disposent ses descendants. L'exploration principalement prend un coup dans l'aile quand elle repose sur le posage de bombe dans tous les coins possibles au cas où qu'il y ait un passage. D'autant que les récompenses ne sont guère plus variées que plus de vie ou plus de missiles.
Ceci dit, Metroid a son ambiance chelou qu'est cool surtout au sein du catalogue bigarré de Nintendo.
Les combats de leur côté sont plutôt cool mais manquent aussi d'un petit quelque chose pour être vraiment intéressants. Un petit dash ou bien une petite parade serait appréciable pour pouvoir éviter les sprites immenses des boss qui sont difficilement esquivables sur le petit écran de la gba. Ce serait en tout cas une meilleure façon de contourner le problème que de faire de Samus un sac à pv qui encaisse trop avant de rendre l'âme.

Annotation :

J'ai repris Hades pour en voir le bout cette fois.
Bien cool de maîtriser le truc et d'enchaîner les évasions. Content d'enfin m'accorder à tous les gamers qui en ont fait le goty 2020. Ouais ok c'est bon, Hades ça tue.

Annotation :

https://www.senscritique.com/jeuvideo/Paradise_Killer/critique/254168116

Annotation :

Un jeu très constant, je dirais. Ça fonctionne toujours assez bien, les idées sont toujours fonctionnelles, l'ambiance et la musique sont sympas.
La coop est plutôt divertissante le temps d'une heure ou deux. Mais voilà quoi, ça va pas plus loin.
Ça c'est de la critique.