Faire de son homme un gamer. Possible ?

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Pour la première étape, il fallait du fun, du compétitif et du multi. J'ai ressortit ma vieille PS1 et lancé la galette noire de Worms premier du nom. Les premiers déplacements ont été délicats, le gameplay était pensé pour le couple clavier/souris. L'enthousiasme tardait à venir, je le sentais réticent, dans l'attente de ce petit plus de fun qui pousse à s'enflammer pour de bon. Et le moment de grâce est enfin arrivé. Mon homo sapiens venait de découvrir la banana bombe et sa mémoire effaçait à jamais le concept même de Zuma. La porte était ouverte...
Il aime : Banana Bombe

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Musicien de déformation, je l'orientais rapidement sur Bust a groove, un des ancêtres du jeu musical. Mauvaise idée. Le gameplay trop rigide a eu rapidement raison de ses doigts de pianiste en manque de touche. Quelques bons moments malgré tout, surtout en compagnie de Kitty-N
Il aime : me regarder jouer, de loin, dans une autre pièce...

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Nouvelle étape vers l'homo gamus. Une soirée avec un de ses potes de jazz, tripoteur de cordes à ses moments perdus. Ça parle jazz, Macéo Parker, John Coltrane... je connecte le multi-tap et allume la petite grise avec MMV3. Une heures plus tard, les fou rires se succèdent, les circuits s’enchaînent et j'ai du mal à remporter toutes les courses. Le gameplay jouissif du jeu et son accessibilité immédiate happe les deux compères au-delà de mes espoirs les moins modestes. Plus tard dans la nuit j'adresse une prière fiévreuse à Saint Codemasters.
Il aime : Le stress de la course, les rebondissements dans le classement

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Sur pc, afin de poursuivre l'expérience initiée par le multi de MMV3, j'ai ressorti l’ancêtre Dynablaster, la version micro de Bomberman 2. A l'image de MMV3, le gameplay primaire et l'ambiance bon enfant ont eu raison de nos zygomatiques. A cinq joueurs, 3 aux manettes et 2 sur le clavier, ce jeu mérite amplement sa place sur le podium des meilleures expériences multi. Tout est pensé pour procuré un enthousiasme immédiat, un condensé de fous-rire. Le jeu est bourré d'options, de paramètres qui diversifient la profondeur de gameplay et permet certains rééquilibrages. Cerise sur le gâteau, les joueurs éliminés reste actifs en bordure de map pour pourrir les autres et influer sur la victoire.
Il aime : jouer entre mecs, avec ses copains.

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Ni fan, ni douée pour le genre baston, il reste un genre majeur vidéoludique. Comme beaucoup, c'est avec Street fighter et virtua fighter sur borne arcade que j'ai fait mes armes pour vite m’apercevoir de ma médiocrité. J'ai donc opté pour Marvel vs Capcom 3, pour son accessibilité et ses personnages ancrés dans la culture populaire. Là aussi, plaisir instantané, prise en main immédiate. Les mandales pleuvent, les super attacks sortent sans effort et la débauche d'effets visuels excite le casu. Mon homo sapiens jette son dévolu sur Iron Man et son « Proton Canon !!! ». Il trouve la formule très musicale. Je préfère quant à moi un petit « Weapon X » sur la boite en fer blanc.
Il aime : Proton Canon !!!

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Petit détour par la tactique au tour par tour. Le mode 2 joueurs semble parfait pour l'initiation. Premier gros échec de mon éducation sur homo sapiens. L'univers Games Workshop, les règles évoluées et le manque de rythme auront raison de sa patience.
Il aime : Les commentaires

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J'ai décidé de tricher. Un jeu pour musicos. Avec le clavier, mon pianiste sera en terrain connu. Malgré une track list peu inspirée, le fun est bien présent. Freebird !!!
Il aime : pouvoir ENFIN faire de la musique ensemble

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Du fun, du fun et du fun. Kinect est une pure merveille lorsqu'il s'agit de conjuguer jeu vidéo et convivialité. S'affranchir des périphériques est génial. L'eye toy de Sony avait ouvert la voie mais Microsoft explose le concept. Novateur, excitant et terriblement amusant. Même si on en fait vite le tour, l'expérience unique vaut le détour. A signaler les premières vraies victoires de mon homme. Je me cache derrière le fait que c'est un jeu de midinette et qu'il ne requiert aucune compétence spécifique. La mauvaise foi fait partie de mes spécialités.
Il aime : jouer debout, sans périphérique. Gagner au bowling

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Petite incartade du côté de ce jeu très moyen mais qui propose tout de même un mode coopératif. Vite joué, vite oublié. On s'est un peu emmerdés.
Il aime : les cheveux de Médina

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Même constat avec l'icône Ray man. Murphy n'est pas très intéressant à jouer.
Il aime : la musique

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Pour la première fois, je vais tenter l'expérience du solo chez mon homo sapiens. Grand amateur de SF et de films à haute teneur en flipette, je réinstalle mon vieux Dead Space sur le portable. Gros choc, la greffe prend. Mon jazzeux enchaîne les niveaux et passe même à côté de sa répèt' du vendredi soir pour finir l'aventure. L'ambiance de folie (surtout le son), le gameplay oppresant et la narration ciné auront complètement subjugué mon joueur. Presque 4 ans après, il m'en parle encore comme une sorte de déclic. Parfois la lumière vient des ténèbres... Niark niark niark.
Il aime : Tout !

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Je poursuis dans la veine solo avec le phénomène Minecraft. Constat sans appel : il s’ennuie, ne comprends pas le but du jeu. « Creuser comme une taupe dans des décors de Rubik's cube, comment fais-tu pour y passer des heures ? » Nous ne sommes pas passés loin du divorce ce jour là. Je me suis contentée de mettre quelques gouttes de glue sur la pédale centrale de son piano.
Il aime : avoir du temps libre quand j'y joue...

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Nouvelle tentative de coopération avec le mythe Ico. Je joue Yorda, pour lui laisser découvrir pleinement le jeu et sa puissance poétique à travers le périple du jeune garçon. Bonne pioche, il adhère à l'univers, aux musiques planantes et au gameplay plate-forme /réflexion.
Il aime : la musique, les animations, la fragilité ambiante

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Petit détour vers le point&clic. Ennui. Pas assez de rythme et l'humour ne le touche pas. Abandon après 2 heures de jeu. Cette fois çi, c'est la pédale gauche qui subit mon courroux.

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Je ressort ma vieille PS2. Nouvelle tentative de coopératif. De l'horreur, du rythme, ça devrait passer. Les graphismes ont pris des rides, le gameplay est rigide mais ça passe bien. J'avais encore jamais essayé à 2 et ça tourne plutôt bien.
Il aime : les persos pocorn movie, le bestiaire, la musique

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Le JEU fun par définition. Première incursion dans le monde du FPS. Chacun sur son pc, on collabore, on loot et on rigole. Le Beau Jack je t'aime !!! On se gave tous les dlc. Grosse baffe pour mon loulou, il décommande pour la deuxième fois sa répèt' du vendredi.
Il adore : l'identité graphique très cartoon, le doublage français, le loot et les dialogues crétins. On y joue encore en ce moment. C'est dire.

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Cet été, après Roland Garros. Je cède car je n'aime pas le tennis, sous toutes ses formes. Il veut essayer du tennis vidéoludique. Pour le coup, c'est le premier jeu où il passe plus de temps que moi et nos confrontations tournent évidemment à son avantage. Heureusement, il ne réclame pas de jouer à Fifa ou PES pendant la coupe des footeux... j'aurais été obligée d'engluer la dernière pédale du piano.
Il aime : la profondeur du gameplay et de pouvoir enfin priver Nadal d'un sacre parisien.

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En ce moment, on s'éclate en coopératif sur LMSH. C'est plutôt instinctif, rigolo, on se prend pas la tête. Un jeu de mutants, idéal pour développer la transformation de l'homo sapiens en homo gamus. Il aime : le côté super pouvoir et le monde ouvert.

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M'ayant vu jouer plusieurs heures sur le dernier opus de Maxis, mon pianiste en peignoir à bêtement lancé une partie où il a modelé un sims à son image. Grand, maigre, brun et beau (oui,il est beau !!!). Il a choisit la profession de musicien ( ces mecs frustrés qui s'assument pas, j'vous jure) et a passé son temps à progresser touche par touche. Il a finalement abandonné après quelques heures : "depuis quand il faut des amis pour progresser dans une carrière de pianiste solo ?"
Mon sim, lui, est célibataire. Il va le rester encore longtemps...

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Après le trip Borderlands 2, on se laisse tenter par ce Pre-Sequel. Même délire, (presque) même gameplay. L'expérience en apensanteur ajoute une nouvelle dimension aux combats qui se verticalisent. L'histoire est moins prenante, les second rôles aussi. Mon homme accroche, mais l'effet de surprise est passé. De mon côté, je trouve le beau Jack moins "saignant" qu'à son habitude. Il ne peut pas y avoir un étalon du cul à chaque fois...

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Tentative d'incursion dans le jeu d'aventure narratif. Les sentiers balisés de l'escapade ravissent mon pianiste qui fait malgré tout la grimace sur les QTE. Plutôt réfractaire aux zombies, mon gamer en herbe apprivoise le jeu avec une certaine envie. Il regrette l'absence d'identité musicale (contrairement à Life is stange qu'il vient de commencer). J'attends la fin de la parte pour pouvoir comparer nos statistiques.

Il aime : Jane, l'attaque surprise du chien
Il aime pas : le côté invincible de Clem.

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Incursion dans l'open world pour mon homme qui revient d'une période de sevrage. La toute fraiche version pc déploie ses atouts pour charmer l'homo gamus qui a plutôt l'habitude de taquiner la xbox. Je ne suis pas sadique, j'ai brancher le pad usb pour l'occasion. L'attrait pour ce bac à sable démesuré agit rapidement sur mon pianiste qui délaisse peu à peu la trame scénaristique trop "rocambolesque" pour se concentrer sur une exploration assidue de la map. Moto, voiture, avion, natation, tout y passe. Après quelques missions, et bien avant d'avoir "débloqué" Trevor, il abandonne, allergique à toute cette violence gratuite... Désespérant.

Il aime : créer sa playlist et écouter du Chopin au volant, les fonds marins.
Il aime pas : la violence verbale omniprésente et banalisée.

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J'ai rebranché l'amiga 500 pour faire découvrir cette petite pépite qu'est Rodland. Les graphismes sont toujours aussi kawai, les musiques bien neuneu et le gameplay fun. A deux, on en a vite fait le tour. C'est rafraichissant et bien reposant comparé aux productions actuelles speedées.

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Une expérience ludique avec des codes empruntés au cinéma et à la littérature SF, il n'en fallait pas plus pour séduire mon pianiste. La difficulté toute relative des énigmes, les phases de plates-forme intelligentes alliés à la profondeur du propos ont brisé les dernières réticences.

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Un Lemmings like de qualité avec une ambiance film noir 50'. La prise en main est aisée et la courbe de difficulté bien dosée. Il a quand même fallut un peu d'aide car la logique du jeu s'acquiert avec la pratique. Ca donne envie de ressortir l'Amiga et l'ancêtre Lemmings.

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Carrément génial en couple. Avec un gameplay basique, la géographie des carte permet de toujours renouveler l'expérience. La sympathie ambiante laisse souvent place à la mauvaise fois car les erreurs d'organisation viennent TOUJOURS du partenaire. J'ai hâte de pouvoir m'y essayer à 3 et 4 joueurs.

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Voyage envoutant. Aucun mot ne peut rendre justice à cette œuvre. Jouez.