Gregory Peck, beau et bon à la fois.

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La conversion sans contrainte par le seul rayonnement de la foi, qu'incarne magnifiquement un tout jeune et beau Gregory Peck.

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"En 1941, les nazis avancent sur le front russe. Dans sa fuite, l'Armée Rouge laisse des troupes dans les forêts afin de ralentir l'ennemi. Parmi cette guérilla, un groupe d’une dizaine de patriotes, mené par le capitaine Vladimir (Gregory Peck), est spécialisé dans le sabotage et les embuscades. Au cours d’une de leurs opérations, ils recueillent une jeune danseuse du ballet moscovite (Tamara Toumanova) qui va chambouler la vie du camp et séduire le beau Vladimir…"

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J'avais une bonne raison de ne pas le mettre, en fait : dans ce film, Gregory est beau, certes, mais incarne un "bad boy" !

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"Gregory Peck fait comme toujours un sans faute en fermier malchanceux "

Merci Rawi

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Avocat amoureux mais intègre, il avoue ses faiblesses en public, à la fin du procès.

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Journaliste, il se fait passer pour Juif afin de mieux combattre l'antisémitisme.

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"Gregory Peck délivre une impressionnante prestation dans ce long chemin de croix vers la déchéance.
Arborant son élégance coutumière dans les premiers instants du film, l'acteur se désagrège progressivement dans une attitude compulsive du drogué qu'il est devenu, le regard vitreux et le visage rongé par une barbe.
Rien ne compte plus que le prochain pari, le monde en dehors du casino ne lui renvoie plus qu'une série de chiffre possible à tenter à la roulette comme le montre une remarquable séquence de dialogue avec Ava Gardner où l'on constate que bien qu'animé de bonnes intentions le mal à fait son œuvre."

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Pour l’anecdote, le personnage de Ringo aurait bien existé ; ce fut un cousin éloigné des frères Younger, ces derniers ayant fait partie à un moment de la bande à Jesse James. Ce fut également l’un des survivants du fameux règlement de comptes à OK Corral qui eut lieu contre les frères Earp, Wyatt étant cité à de nombreuses reprises dans le courant de ce film dont Bob Dylan a tiré l’histoire de sa chanson Brownsville Girl.
(Erick Maurel)

Un beau western sobre, presque austère, qui vaut par le jeu d'un Gregory Peck impérial.

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"Dans un camp de chasseurs, au pied du Kilimandjaro, l'aventurier écrivain Harry Street attend de passer de vie à trépas immobilisé par une blessure qui s'est envenimée. Aidé par le whisky et sa femme, Helen, Harry tente de surmonter l'horreur qui lui inspire la crainte de mourir en raté. En attendant d'hypothétiques secours, Harry se remémore son passé."

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Pour l'amour d'une belle Russe: capitaine téméraire et charismatique.

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Journaliste amoureux et intègre, il ne publiera pas de photos compromettantes

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Impeccable, comme toujours, Gregory Peck, peu avare de son charme, nous régale de son sourire et de son jeu dans une comédie très British.

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"Alors qu’il s’apprête à signer pour un nouveau poste, Tom Rath voit sa vie se découdre devant ses yeux. Il est victime de cauchemars relatifs à la guerre, son épouse rêve d’une vie meilleure, la mère de son enfant illégitime demande son aide et un vieil ami réapparaît. Pour Tom Rath, commence une course contre la montre pour recoller les morceaux de sa vie et trouver quelle est sa véritable voie."

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Une autre exception à cette liste : Le personnage à la jambe de bois qu'est Achab (Gregory Peck), habité par la haine, rongé par le ressentiment et dévoré par la vengeance.

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Un capitaine de marine engagé adepte de la non-violence dans les plaines du Texas

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" un homme dont la femme a été violée et tuée est à la recherche de ses meurtriers ; pensant les avoir retrouvés dans la prison d’une petite ville de la frontière mexicaine où ils sont sur le point d’être pendus, il va continuer à les poursuivre après qu’ils ont réussi à s’échapper. Au moment de mettre un terme à sa vengeance, il se rendra compte qu'ils n'étaient pas les coupables de la mort de son épouse. Regrettant de s’être constitué juge, jury et bourreau, il ira se faire pardonner auprès d’un homme d’église mais les villageois l’applaudiront néanmoins pour avoir mis fin aux jours de ces dangereux bandits. On l’aura deviné, le principal intérêt du film (et son principal défaut) repose sur ces ambigüités. Si Henry King a, selon ses dires, voulu réaliser un pamphlet contre le fait de vouloir accomplir sa propre justice, la dernière image met mal à l’aise et semble vouloir anéantir cette noble pensée : alors que le vengeur, regrettant sincèrement son aveuglement, vient chercher le pardon au sein même de la religion, les habitants lui font une véritable ovation à la sortie de l’église, bénissant et légitimant ses actes, lui accordant ainsi sa rédemption. "
(Fiche DVDclassik)

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"Malgré son côté démonstratif et son intrigue sentimentale trop présente entre l'aventurière cassée par la vie (Ava Gardner) et le séduisant commandant courage (Gregory Peck), ce film à thèse anti-bombe atomique a une indéniable force de conviction. Le retour dans San Francisco désert est
saisissant."

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"Pour sauver deux mille militaires anglais, la flotte britannique doit anéantir deux énormes canons que les Allemands ont placés sur l'île de Navarone... Peck et Niven en héros, Dimitri Tiomkin à la musique (épique), Jack Lee Thompson à la réalisation (impersonnelle), tout ça tourne lentement — plus de deux heures ! Assez vieillot, en définitive..."

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L'homme de loi honnête et le pervers absolu : superbe face à face entre Gregory Peck et Robert Mitchum

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Avocat intègre et rigoureux, il défend un Noir injustement accusé de viol

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"Frappé d'amnésie après un choc psychologique, un grand physicien avait trouvé avant sa maladie une formule permettant d'enrayer les effets radioactifs des explosions nucléaires. Pour lui ravir la formule, un de ses collaborateurs s'efforce de le rendre fou en le faisant évoluer dans une atmosphère de cauchemar."

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Le dernier combat de l'éclaireur pour sauver la femme blanche

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"Sam Foley (James Gregory), riche propriétaire terrien, charge une petite frappe psychopathe Bobby Jay Jones (Robert F. Lyons) de prendre en filature Clay Lomax (Gregory Peck), qui vient de purger sept ans de prison pour attaque d’une banque. Lomax revient dans sa ville où il recherche son ancien complice qui l’a trahi en lui tirant dans le dos juste aprèsle braquage. Il n’est autre que Foley." (À Voir, à Lire)

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"Katherine Thorn, épouse d'un diplomate américain, perd son enfant à la naissance. Dévasté, son mari Robert (Gregory Peck) lui dissimule la vérité en adoptant un orphelin né le même jour. Ce faisant, il devient l'instrument d'une malédiction ancestrale: l'avènement du Diable, l'Apocalypse."

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3ème exception et la pire : Gregory Peck incarne le mal absolu dans ce film, à savoir le docteur Josef Mengele.

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Cacher des Juifs : basé sur l'histoire vraie de Hugh O'Flaherty haut dignitaire sous le pontificat de Pie XII