Hypokhâgne, au goulag

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Ça commençait pas si mal en fait, cette année.

Lu en anglais (et pour l'anglais), ça m'a au moins permis de redécouvrir Orwell et d'aborder la rentrée avec le sourire (vous inquiétez pas, ils me l'ont déjà enlevé).

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Lu pour l'histoire, une excellente synthèse du XIXème siècle qui délaisse le listage des dates importantes pour ne retenir que les thématiques qui marquèrent cette époque nécrosée.

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Lu pour le français, le premier d'un longue liste qui me fait déjà flipper. Syncopé avec la perfection due à son temps et son auteur, c'est suffisamment intéressant pour se lire en une seule fois.

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Lu pour les sciences économiques et sociales, c'est une excellente synthèse des bases de l'économie qui se lit plutôt facilement, compte tenu de son contenu assez indigeste. On va parfois dans les détails, mais le machin est suffisamment intelligent pour ne pas trop s'y attarder.

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Lecture personnelle, c'est en vérité une énième relecture. Puisqu'il faut prendre des références d'un peu partout, autant piocher dans ce qui me plaît. Toujours un plaisir à redécouvrir, Gatsby correspond au véritable dernier nabab de Fitzgerald, et délivre un message de compréhension qui devient de plus en plus juste à chaque lecture.

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Lecture personnelle, mais quasiment indispensable ici.

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Lecture personnelle, un des exemples les plus faciles à aborder du surréalisme et de l'existentialisme.

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Lecture personnelle, c'est dommage, je ne déteste pas les comédies du 18ème siècle pourtant. Puisant dans un bordel assez lourd de quiproquos, on donne l'impression de briser les conventions avec le concept servant-maître alors qu'on finit par marier les nobles entre eux et les domestiques aussi.

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Lecture personnelle, j'avais oublié à quel point c'était déprimant. Monstrueux de réalisme dans sa manière de traiter quelque chose qui ne l'est pas, la question morale est toujours aussi douloureuse.

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Lecture personnelle, mon conte philosophique préféré (il faut dire qu'on ne doit pas compter sur la concurrence). Tout le monde aime Candide. Il faut cependant éviter à tout prix de le caser dans un concours tant les examinateurs en ont marre de lui.

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Lu pour le français, une lecture obligatoire de 500 pages qui ne m'inspirait qu'ennui et déprime.

Finalement, je crois que j'aime bien.

:'(

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Lu pour le français (j'adore cette matière), dans la même lignée qu'avec Britannicus sur la conquête du pouvoir. Sauf qu'ici, en lieu et place d'étudier le monstre Néron, on étudie le mal. La traduction de Pierre Jean Jouve est assez bonne, mais ça reste quand même bien plus classe de le lire en anglais.

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Lecture personnelle pour réviser le français, c'est toujours un plaisir de lire ou relire une pièce de Molière. On reste dans le comique habituel et c'est vraiment du théâtre basique, mais j'ai un DS là-dessus dans moins d'une semaine et j'ai la flemme de m'attaquer à quelque chose que je ne connais pas.

EDIT : Le DS est passé. Mon Dieu, quelle catastrophe...

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Lecture personnelle pour réviser le français, dans le même but qui était d'avoir une petite base pour le théâtre. J'insiste sur le mot "petit", les lectures de lycée ne sont clairement pas l'idéal pour développer des arguments ici. Il n'empêche que ça avait pour intérêt d'être rapide.

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Lecture personnelle pour réviser le français, sûrement la pièce que j'avais le plus détesté de ma scolarité (c'est bien simple, je ne l'avais pas lue). Et même maintenant, je trouve encore ça chiant en ayant aimé Britannicus.

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C'est assez court pour un ouvrage du genre, je le recommande franchement.

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Lecture personelle, une relecture rapide plutôt. Je me souvenais avoir détesté le livre au lycée, et c'est quasiment toujours aussi vrai. Il y a quelques bons passages (le nettoyage de maison en famille ou les scènes avec l'amant), mais ça reste globalement une belle purge.

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Lecture personnelle, lu en anglais. Je ne sais plus précisément à quel moment je lai fini, abandonnant dans les derniers chapitres pour relancer le film. Un classique de la dystopie, mais quasiment impossible à caser dans une épreuve non anglophone.

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Lu pour le français, avec une difficulté inhérente aux œuvres du bonhomme. Mais je dois être honnête, on reçoit une sacrée claque à la fin. L'histoire (qui se passe sur une semaine seulement) est franchement impressionnante avec tous ses personnages diamétralement opposés dans cette belle famille de cinglés. La surprise est cependant venue du tragique.

La fin avec Silvère et Miette était cool.

:'(

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Lecture personnelle dans le but de m'aider à reprendre Zola. Je ne comprenais strictement rien au cycle Rougon-Macquart la première fois, et c'est devenu beaucoup plus intéressant en replaçant l'histoire et son protagoniste dans son contexte. Je commence sincèrement à admirer le travail de l'auteur par rapport à cette idée géniale de retranscrire la vie d'une famille sous le second empire.

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Lu pour le français. Bah non, désolé Racine, mais je me suis fait franchement chier. C'est pas cool, j'ai perdu une heure à cause de tes conneries.

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Lecture personnelle conseillée par ma prof de français, et qui confirme mon affection pour Ionesco tout en me donnant l'occasion de le placer sans parler de la "pièce-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom" (Rhinocéros).

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Lecture personnelle couplée à un profond besoin de parfaire (de combler le vide de) mes connaissances en philosophie. J'ai bien fait de le rusher vers la fin où j'y étais encore pour le mois prochain.

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Lecture personelle, surtout pour sa première partie qui fait honteusement le charme du bouquin. C'est tellement dommage de mettre une image du film de Kubrick en couverture alors que le livre a ses propres atouts. Il vaut la peine d'être lu en plus du visionnage, et ce simple fait est déjà énorme.

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Lecture personnelle, puisque c'est la fin des vacances alors je rush ce que je peux pitié tuez-moi.

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Lecture personnelle, que j'ai tout doucement relu le long des vacances. Sans être mémorable (parce qu'on apprend à détester Platon assez tôt ici), c'était surtout pour compléter les lectures de Socrate.

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Lecture personnelle FORTEMENT conseillée par ma prof de français. Il faut vraiment s'y plonger pour voir le véritable intérêt, mais une fois qu'on saisit un peu mieux la découpe du receuil, ça devient vraiment très beau.
(Lu le long des vacances également.)