Il est bon, mon générique, il est bon !!!

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James Bond... Je pense qu'un spécialiste pourrait faire un bouquin rien que sur les génériques, tous très réussis, mais pour moi Goldfinger est le plus beau, sans parler de Shirley Bassey.

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J'ai pas trop d'idée pour le générique... Ben on va faire un dessin animé sans aucun rapport avec l'intrigue ! Ah si y en a un : le héros recherche un bijou appelé la "Panthère rose" alors on va dessiner les facéties d'une panthère rose.

Beaucoup diront que les génériques sont meilleurs que les films, en tout cas le personnage est devenu mythique, et que dire de la musique de Mancini !

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Ici Fincher développe un élément de l'enquête : ce que fait John Doe dans sa piaule quand il est tout seul : il rédige ses cahiers, supprime ses empreintes digitales, raconte ses crimes... C'est comme le film et les protagonistes : torturé, sombre, oppressant.

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Raconter le film dans le générique, drôle d'idée !
C'est graphique, marrant, limpide, avec une superbe musique. On est à l'opposé de Seven.

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On est là pour voir des aliens méchants envahir la planète, donc forcément la première bestiole qui se pointe à l'écran est suspecte : une libellule qui se ballade dans le désert pendant tout le générique, évite des voitures, passe devant la Lune... et s'écrase comme une chiure sur un pare-brise.
On s'est faits avoir et comme Michel dans Youpi Matin, "un brin d'humour ne fait jamais de mal"

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Une révolution ! Quelques mots bleus dans le silence, puis le cri de cuivres suraigus, et un "STAR WARS" plein champ, puis qui s'éloigne et un texte qui défile vers l'infini du cosmos. Mais pas un seul nom d'acteur, aucune mention de l'équipe technique, pas même du directeur ou du producteur, le film, rien que le film, l'immensité de l'espace.

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Comme pour Seven, une petite histoire complémentaire au film, cette fois la fabrication d'une balle de fusil dans une usine de Russie, puis son transport plus ou moins clandestin jusqu'à son chargement dans un AK-47 et la fin de son parcours dans le front d'un gamin en Afrique. Le tout en vue "subjective".
Ca met bien dans l'ambiance !

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Hein, quoi, il fait quoi là ce film ?
Ben j'ai bien aimé le générique, qui raconte l'histoire d'amour du jeune couple, on voit le développement de leur relation, leurs petits rituels, leurs antagonismes, leur vie quotidienne, sans un mot.
Un très bon point pour ce film.

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Un diaporama, hommage aux génériques des années 20, dans lequel les noms de toute l'équipe défilent et on entend les réactions du public (huée pour Jack Lemmon, ovation pour Tony Curtis). Bel hommage, comme le reste du film, au cinéma du début XXè siècle.

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Refaire 50 ans d'histoire, placer le contexte, les personnages, monter toute une uchronie dans un générique de quelques minutes, sans aucune parole (quelques titres de journaux), bel exploit !

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Comment placer le personnage et l'intrigue à travers une bande dessinée, quand on fait l'adaptation d'une bande dessinée...
A noter, la bonne idée de faire un rappel des faits dans les génériques des épisodes 2 et 3 !

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Le dîner qu'on ne verra jamais, très bien dessiné et animé, avec l'excellente chanson de Brassens.

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Immense hommage aux films de martiens des années 50, à l'image du reste du film, avec la sublime musique d'Elfman

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Magnifique animation sur les monstres des placards, avec une super bonne musique, jouant avec les textes, et qui a le bon goût de ne pas être long.
Merci The French Phenom et Battalpower

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Reprise du thème des photomatons, avec la musique de Tiersen, forcément...

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La musique de Morricone, des portraits serrés et des images de la Guerre de Secession, virées en couleurs primaires, des noms "flingués" en plein écran. Simple mais très, très efficace !
Merci à Battalpower

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Le ballet des ravitaillements en vol des bombardiers B-52, "valse lente [...], qui fait du vol de gros avions une danse gracieuse et érotique" (Damien Deshayes, cinezik.org)

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Travelling arrière, de la Terre au système solaire, puis à la Voie Lactée, puis aux amas de galaxies, finissant par sortir de l'oeil de la jeune Ellie... Du Zemeckis tout craché !

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Saul Bass... Commentaire par l'article de Slate :
"un générique qui [présente] le personnage principal du film, à savoir l’hôtel Overlook. Les noms des acteurs et principaux techniciens défilent à l’écran (comme pour un générique de fin, un choix très atypique pour un commencement de film) tandis que l’on découvre en plan aérien la route qui mène les personnages vers le lieu d’isolement qui sert de décor à Shining (seule leur petite voiture jaune est visible). Les vertes montagnes sont remplacées progressivement par les premières neiges, symbolisant la lente mais irrésistible ascension vers la folie de Jack Torrance (Jack Nicholson). Le générique pose ainsi d’emblée l’atmosphère anxiogène et la solitude qui attendent les héros au bout de la route, tout en mettant en scène une séquence scénaristique importante (l’arrivée des personnages dans l’hôtel). Cette inclusion du récit dans le corps même du générique donnera naissance quelques années plus tard au pré-générique, sorte de prologue censé capter l’attention du public dès les premiers instants."

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L'avènement de Saul Bass.
"Stylisé, géométrique et parfaitement en adéquation avec la thématique du métrage, ce premier travail intrigue Hollywood et les plus grands réalisateurs, vont alors s’arracher sa collaboration, aux rangs desquels on trouve Hitchcock et Kubrick."

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Le premier générique de Saul Bass pour Hitchcock
"Gros plans sur une bouche féminine puis sur un regard apeuré, spirales infernales symbolisant le fameux vertige dont le héros est atteint, tout fait sens dans ces deux minutes, comme un condensé de ce qui suivra dans le film."

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Saul BAss toujours, encore pour Hitchcock : "ce qui reste sans doute le générique le plus marquant de la filmographie hitchcockienne: La Mort aux trousses. Des lignes verticales et horizontales se croisent et dessinent un quadrillage purement abstrait. Mais bien vite la surface ainsi découpée se mue en façade de building vitrée où on entrevoit un ballet de taxis jaunes. Suivent des plans de rues bondées, des entrées de métro où se bousculent des hordes de travailleurs jusqu’aux bus refusant un ultime passager, Alfred Hitchcock himself.
Cette mise en bouche souligne l’urbanisme moderne qui noie les individus, leur anonymat intrinsèque, leur quasi-perte d’identité, problématique centrale de La Mort aux trousses où un publicitaire lambda est pris pour un espion à éliminer. Jeu sur les apparences, sur le rôle qu’on joue tous socialement, le film et le générique sont ainsi parfaitement au diapason."

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Merci Wlaad

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Merci Wlaad

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Un survol de capharnaüm où apparaissent les noms des acteurs et de l'équipe technique, avec quelques bonnes idées (miroirs)

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Rien de révolutionnaire mais mettre le CV sportif et martial des différents acteurs, j'aime bien !

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les noms sur des étiquettes sur des fournitures de bureau. ça pourrait être banal mais on alterne entre ces noms dans un silence total et Gilles Gabriel qui chante dans sa voiture.

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Générique défilant à l'envers.

Merci Aurea

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L'objet du film est de faire un film de super-héros en se moquant des films de super-héros. Donc quoi de mieux que de lister dans le générique : "un beau gosse", "une bonasse", "un méchant tordu", "écrit par des types géniaux", "réalisé par un connard surpayé"