In the music room of 2013

Annotation :

Est-il humain? Est-il comme nous? Colin Stetson repousse les limites (encore une fois). Il explore de nouveaux territoires en errant dans son univers musical, restant cohérent pour clôturer sa trilogie de façon magistrale. Rien que le morceau To See More Light m'a jeté par terre! Décidément, ce géant est incapable de décevoir et l'inertie créative ne semble décidément pas son truc. Plein de promesses pour l'avenir.

Annotation :

Après avoir écrit deux ou trois annotations sur cet album, fuck that! C'est magique. Point. Et je kiffe ce titre d'album. Point (bis). On est à la moitié de l'année et rien qu'avec les trois albums que j'attendais le plus (FB, CS et NC&TBS), je suis comblé. Que demander de plus?

Annotation :

Là, Nick et ses potes m'ont pris par surprise. Nettement supérieur à Dig, Lazarus, Dig!!!, cet album revient à cette facette des Bad Seeds que j'affectionne et qui me manquait (surtout après les deux albums "playground" de Grinderman). la force tranquille, comme on dit, avec mise en abyme en bonus! Mention à Jubilee Street et surtout au morceau cloture de l'album: Push the Sky Away. Hâte au concert! Et puis, ça m'a donné envie de replonger dans les 15 albums du groupes du coup!

Annotation :

Tim. Merci.

Annotation :

La magie a pris du temps à opérer... puis l'ensorcellement a été biblique! Un de ceux que j'écoute le plus souvent.

Annotation :

Forest Swords ne déçoit pas et transforme l'essai de son EP. J'ai jamais autant aimé les balades en forêt!

Annotation :

Me fait oublier l'album précédant, et pour ça: merci!

Update: Un des albums qui me procure le plus de plaisir à l'écoute. + soundtrack des vacances, donc grosse valeur ajoutée madeleinesque.

Annotation :

Nicolas Jaar se fait moins lent mais tout aussi envoûtant.

Annotation :

Parce que faut encourager les attardés mentaux un peu géniaux. Kanye livre une sorte d'album somme, un peu foutrac par rapport à son illustre prédécesseur. On y retrouve ce qui a fait recette avant, poussé un peu à l'extrême. Ça continue quand même de me convaincre sans peine, particulièrement dans la première moitié de l'album.

Annotation :

Les heures. Voilà. Ça aurait pu suffire.

Annotation :

Orgie auditive karmagnifique. Le souci, c'est que c'est du son en studio, en live, le rêve devient cauchemar.

Annotation :

Un peu hors-série ici étant donné que c'est un live, mais je le mets quand même, parce que c'est Nick Cave et que je peux faire exception pour lui. Un live d'ailleurs posé, intimiste. Un live intimiste. Frustrant parfois, car court et n'explorant jamais une certaine fureur comme ça aurait pu être le cas avec un Juvenile Street bien senti. C'est un parti pris. Une facette de la musique du groupe tournée vers la tempérance. Il n'y a qu'à écouter Mercy Seat pour se dire qu'il ne faut pas attendre de tempête, mais juste se laisser voguer sur une mer aussi calme que belle.

Annotation :

Ô bonheur! Le EP de fin d'année qui fait plaisir. J'aimerais que ça devienne une habitude.

Annotation :

Fire in the hole!!!!

Annotation :

Une belle claque, comme il faut. [Merci BiFiBi]

Annotation :

Made in France. Ça fait plaisir.

Annotation :

À mes oreilles, le meilleur album du groupe, du moins celui que j'ai le plus de plaisir à écouter. (alors que le groupe a tendance à profondément m'agacer)

Annotation :

Il est probable que je m'emballe (ou peut-être pas), mais vous savez, l'album qui tombe au bon moment, dans les bonnes conditions? Bah voilà. Cet album est tout simplement trop cool.

Annotation :

Cette impression de tomber en chute libre dans un monde mécanique, mais tomber avec cette sensation de planer. [Merci Nushku]

Annotation :

J'avais tellement perdu espoir en Sigur Rós après leur dernier album (Grrr rien que d'y penser) que j'ai accueilli Kveikur sans aucun attente, presque avec réticence, comme un devoir qu'on doit faire, alors, on s'y met vite, comme ça, on pourra aller jouer dehors. Kveikur est l'album qui aurait dû venir plus tôt dans la discographie du groupe, en fait, Valtari n'aurait tout simplement pas dû exister. Il est comme la facette nocturne là où Með suð í eyrum við spilum endalaust était la facette diurne de leur réalité musicale (les autres albums appartenant à un monde onirique qu'on a hélas quitté, et qu'on ne revisite que dans les songes). Kveikur reste du Sigur Rós, le groupe ne se réinvente pas, mais explore d'autres terrains. Il aurait gagné à y mettre davantage d'audace, mais le souvenir de l'album précédant s'estompe déjà (et l'ennuyeux projet solo de Jonsi avec), et ça, c'est déjà un pas en avant.

Annotation :

Je suis le premier surpris de ma note. À la première écoute, j'ai arrêté pendant le 3e morceau.... J'ai retenté, et plus on l'écoute, plus ça passe, on le comprend en quelque sorte. C'est beaucoup mieux que Contra (pas compliqué à mes oreilles), mais surtout c'est probablement ce qu'ils ont fait de mieux (bon, okay, 3 albums, c'est pas grand-chose). Par contre, toujours du mal avec Diane Young et ses baby bay baby baby *sight* mais je vais m'habituer.

Annotation :

Le jazz comme celui-ci, c'est beau.

Annotation :

Puissant. Non, mais rien que ce morceau d'ouverture...

Annotation :

JT revient avec un album moins catchy, mais mieux produit, plus réfléchi, plus mûr, plus sensuel et vient remonter le niveau de ce qui se fait dans le genre. Ça valait la peine de prendre son temps. T'avais 8, je te fous 1 point en moins à cause de la partie 2. T'as merdé J.T.!

Annotation :

C'est comme Julianna Barwick, mais en mieux. On s'y sent comme sur... non, comme dans un nuage au-dessus d'une ville furieuse.

Annotation :

Techno efficace. Mais techno quand même. Redondance frustrante.