J'te rappelle, c'est affreux !

Annotation :

L'intégralité du film. Une sensation d'angoisse permanente toujours inégalée dans le genre du yurei eiga à mon sens. Quant à la fameuse Sadako, elle fut traumatisme évident à l'époque, surtout en visionnant ça le nez collé a son écran avec le son au maximum dans le casque.

Annotation :

Je conçois que l'Exorciste puisse laisser assez indifférent aujourd'hui, surtout si on a été maintes et maintes fois spoilé au niveau des scènes clé.

Sur moi toutefois, l'effet fut maximum, tant les manifestations de plus en plus violentes du démon, la défiguration de cette pauvre petite fille (maquillage et trucages exceptionnels) cette oppressante scène d'exorcisme terriblement tendue et plus encore cette voix inoubliable de la possédée (ça marche moins bien en VF) et plus globalement tout le travail sur l'atmosphère relèvent du génie.

Excellente adaptation d'un roman déjà exceptionnel.

Annotation :

Quelques apparitions angoissantes au théâtre (je ne me fais pas à ces "yurei" en blanc aux cheveux qui masquent entièrement le visage, c'est viscéral), mais surtout un climax particulièrement horrible, renforcé par les mouvements inhumains de Sadako (je conseille le making of du film pour en savoir plus sur les ingénieux artifices utilisés).

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La scène du troisième péché. Mon cœur a cessé de battre.

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C'est avec ce film que j'ai découvert la très bonne série des "Ju-On".

Ces bruits. Ces bruits mon dieu... Et ces apparitions fabuleuses. Je possède un chat et la nuit suivant le premier visionnage, je l'ai regardé d'un autre œil.

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CES BRUITS (encore).

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CES BRUITS (toujours). CETTE VIEILLE.

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Le film le moins réussi de la trilogie Ring à mes yeux. Mais l'angoisse pesante est toutefois toujours présente. Et la scène de la "poursuite" dans le puits est un chef-d'oeuvre du genre, difficilement soutenable pour les plus sensibles.

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Une ambiance légère qui devient progressivement angoissante et malsaine au possible, pour finir dans le glauque extrême. "Kili Kili Kili " !

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Si le chef-d’œuvre d'Argento marque plus par son esthétique et sa photographie renversantes et par les compositions de Goblin, il sait encore réserver quelques moments d'angoisse (cette fameuse respiration entendue au moment du coucher...)

Annotation :

Dans Dark Water, de simples infiltrations d'eau parviennent à mettre mal à l'aise. Et quand la violence des manifestations s'embrase, l'angoisse se fait terreur.

(voir ma critique sur ma liste "le meilleur de l'épouvante asiatique).

Annotation :

Une perle mésestimée qui se distingue par l'originalité de son thème et de son cadre, sans oublier une bande son excellente. Parmi les premiers vrais films d'horreurs que j'ai visionné, il a su me terrifier à l'époque lors des apparitions de ce Candyman qui alterne entre hypnotisme et sauvagerie brutale.

Annotation :

Certaines manifestations inattendues de la "chose" ont de quoi faire bondir, et la situation de huit-clos n'aide pas à se sentir à l'aise.

Annotation :

Jacob's Lader, le film qui a inspiré les créateurs de la série "Silent Hill". Ai-je besoin d'en dire plus ? Une plongée dans l'esprit d'un personnage tourmenté au possible, qui met véritablement mal à l'aise.

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Malsain, notamment dans ses dernières scènes.

Annotation :

Une des références du "body horror". A force de visionnages, le chef-d'oeuvre de Cronenberg me fascine plus qu'il ne me fait peur aujourd'hui, mais lors de mon contact avec le film (à 10 ans), la déliquescence tragique de Seth était véritablement terrifiante, bien plus que celle de tous les tueurs masqués ou fantômes réunis. Ma peur des grosses mouches viendrait-elle de ce film ?

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Hypnotique et pessimiste à la manière de nombre de films du réalisateur, Kairo sait angoisser par ses apparitions éthérées en détresse et son sentiment d'oppression en filigrane.

Annotation :

Le terrifiant visage en transe de Sissy Spacek, époustouflante en Carrie, m'a durablement marqué. Dommage que l'apocalypse Akira-esque déclenchée après la rupture de l'esprit de Carrie dans le roman soit atténuée dans le film.

A noter un putain de dernier plan bien fourbe, du jumpscare de premier choix, qui a toujours donné des envies de meurtre à ceux et celles à qui j'ai conseillé ce film parce que je ne les avais pas prévenus.

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Cette apparition glauque dans les dernières scènes de ce "found footage", en pleine obscurité, fout sacrément les jetons.

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La très bonne surprise de ce début de décennie. Ambiance angoissante, apparitions étranges tout justes entrevues qui font leur petit effet (comme souvent, il est plus efficace de suggérer que de trop montrer), et quelques scènes choc.

Annotation :

Le film laisse plutôt stoïque .. jusqu’à cette fin où tout s'emballe.

Annotation :

Des ombres sur des photographies qui instaurent un léger malaise, puis des apparitions de plus en plus angoissantes, des révélations terribles jusqu'à une dernière vision cruelle qui marque durablement.

Annotation :

Le film comporte son lot de scènes marquantes, mais j'ai retenu ce plan sur la nature des écrits de Jack qui nous fait réaliser l'état de déliquescence de son esprit, et l'assurance du chaos à venir.

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Gary Oldman grimé en handicapé horriblement mutilé, où comment un maquillage peut foutre la boule au ventre tout au long d'un film. La brutalité imprévisible d'un Lecter la plupart du temps calme et stoïque surprend également.

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Traumatisme d'enfance pour beaucoup d'entre nous, ce téléfilm ayant été fréquemment rediffusé sur la 6. Adaptation plutôt moyenne, sauvée par une grande prestation de Tim "Frank N Furter" Curry.

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Inquiétant, avec des visions furtives, notamment dans la dernière partie du film, qui foutent les jetons.

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On le sentait venir cet enfoiré de clown... De plus, tout ce qui est en rapport avec les télés dans un film d'horreur me fout la frousse.

Annotation :

De bons gros haut le cœur quand, alors que tout parait calme, une violence d'une rare sauvagerie s'abat sur la pauvre famille. On s'y attend, évidemment, mais son intensité nous prend à la gorge. Vu au ciné, je suis resté tétanisé pendant cinq minutes lors de cette scène.

A noter le générique d'introduction qui met d'emblée mal à l'aise avec ces images d'enfants difformes qui contrastent ingénieusement avec la petite balade country de Webb Pierce.

Annotation :

La scène la plus dérangeante de cette pièce maitresse du cinéma nippon est à mes yeux la vision du "nouveau monde" rêvé par le Metal Fetishist. Un déferlement hallucinatoire d'images trash et de cris glauques.

Annotation :

La scène du bucher, horrible. Depuis tout jeune, j'ai toujours été effrayé par l'idée d'être brulé vif (j'ignore si c'est à cause de l'intro du 1492 de Ridley Scott...).

Du coup une scène aussi graphique m'a perturbé pendant plusieurs jours.