J'y ai joué en 2016 (liste commentée)

Annotation :

[En pause]

+ Les possibilités de build

- Environnement au style peu distinct, du coup on a pas trop l'impression de progresser dans l'univers, et peu de repéres
- Les grottes... d'autant plus qu'elles sont trop utilisées

Annotation :

1 mois de jeu

+ le systéme de combat
+ les costumes

- Leveling sur des rails, très facile, schéma répétitif, Surabondance de grottes (petite zone instancié)
- Trop d'endroit instancié de manière incompréhensible (des pans de map, même des maisons de PNJ...)
- Peu d'instances

A reprendre dans quelques màj.

[Màj]

Rejoué aprés de nombreuses mises à jour, toujours pareil

Annotation :

[Terminé]

+ La DA, le design de la ville
+ L'OST
+ La feature même du jeu et les sensations qui en découlent
+ Kat à un joli design mais...

- est assez vide niveau personnalité, a des dialogue assez niais
- La caméra, souvent trop proche, champ visuel assez réduit (rapport au fait que c'est un jeu portable à la base) assez handicapant dans certain passage
- Système de "combat" aérien assez bancal et répétitif, peu d'ennemis différent, tous basé sur le même concept (le gros point faible rouge...)
- Tuer 3 ennemis à coup de pied gravitationnel, c'est rigolo au début. Quand on passe à une trentaine de mob ça devient vite des séquences interminable

Le point commun des déçu et des adorateurs de Gravity Rush, c'est qu'on a tous voulu aimer le jeu, personne n'y a mis de mauvaise volonté. Porté par un concept qui sur le papier laisse plutôt rêveur, l'exécution est pourtant bien plus perfectible. je reste étonnée devant les note hallucinante du jeu à l'époque, surtout quand les test font mention du scénario. C'est propablement la chose qui m'a le plus gênée. J'ai rarement eu autant l'impression qu'un jeu n'avait pas de sens : on ne sait pas ce que le jeu essaye de nous raconter, il n'y a ni début, ni fin, ni sens. Un petit extrait des questions que le joueur serait en droit de se poser devant le générique de fin :

"Qui est kat, d'où elle sort, pourquoi est-elle amnésique, d'où sort le chat et le corbeau, d'où viennent leur pouvoir, comment Raven à pu remonter le sous sol, pourquoi elle a vieilli 30x plus vite que les autres, d'où sortent les créateur, pourquoi la ville flotte, pourquoi des morceaux de ville avaient disparu, pourquoi le maire voulait que Raven ne les retrouvent pas, d'où sortent les Nevis, qui est Alias ?". Et j'en oublie....

Et le jeu ne fournis strictement AUCUN élément de réponse, passe sans cesse du coq à l'âne, et se paye même le luxe de consacrer des chapitre de l'histoire principale à des PNJ random alors qu'il a déjà du mal avec son propre scénar...

Annotation :

[Scénario terminé, Endgame entamé puis stoppé]

mon avis en quelques points :

- "Le grand retour de la faim" qu'ils disaient. Sauf qu'en pratique, ça baisse tellement lentement et on trouve tellement de pomme, que c'est juste une limite illusoire.

- Les donjons sont peu diversifiés, (à l'exception d'une poignée qui changent légèrement) : aucun gimmick particulier, et ils ont tous le même algorithme interne, seul le décors change.

- La difficulté est hyper mal dosé, à cause du systéme de recrutement et surtout de nos 2 pokémons qui lvl up très lentement, ils ont du mal à suivre les hp/dégats des ennemis. On se retrouve donc à prendre un lvl 50 avec nous et à le contrôler pour One shot tout ce qui passe. Et ne venez pas me dire qu'on est "pas obligé" parceque ben si, l'équilibrage du jeu le prend en compte.
Exemple très simple pour le prouver : les dégats/PV infligé par les pokémon sauvage dans les donjon obligatoire (scénaristique, et qui vous imposent de jouer et de diriger le starter) sont très largement moindre que dans les donjons optionnels.

- La difficulté est aussi beaucoup basée sur les objets. en fait, même quasi-exclusivement...
Déjà, pour commencer, l'attaque basique ne tape plus qu'à 5 de dégats, peu importe vos stats et votre lvl. Le jeu ne vous demandera donc non plus de minutieusement gérer vos PP en grattant des dégâts avec une attaque de base, mais plutôt d'empiler les élixir..
Quant au reste, les branches vous permettront de vous sortir de situation improbable, et les résugraine sont de rigueur pour espérer traverser les dégâts adverses en dent de scie
Ha oui et l'inventaire est bien assez grand pour vous laissez prendre tout ça

- Recruter les 720 et quelques pokémon, ça laisse rêveur. Oui mais pour autant, tout les quêtes tournent en rond et surtout, en finir une équivaut à l'assurance d'obtenir un pokémon (voir plusieurs d'un coup), même si le principe de la toile d'araignée est assez addictive, elle est finalement très vaine...
Sans parler des pokémon qu'on recrute uniquement en leur parlant dans la ville...

Bref le truc le plus encourageant du jeu finalement c'est son enrobage, l'univers pokémon qui pousse un peu à avancer, avec une bonne traduction française, et une galerie de personnage qui sans être dingue, est quand même un petit peu attachante
Pris à part, en tant que donjon-rpg, les opus DS sont bien meilleurs.
+ L'OST

Annotation :

[En pause]

Peu joué, et malheureusement pas réussis à accrocher d'un point de vue personnel, donc pas grand chose à en dire. à relancer un jour donc

Annotation :

[Terminé]

beat'em all honnête bien que très très répétitif

Les dialogues sont en revanche bien navrant, petit exemple : y'a un passage ou les filles parlent d'aller "casser des cul en deux", avant que l'une d'elle ne s'exclame que son cul à elle est déjà séparé en deux, et qu'une autre lui explique que oui, on appelle ça les fesses
:/

On tombe aussi complétement dans le genre d'univers ou les hommes ne semblent pas exister (à l'exception toujours d'un, qui est d'ailleurs toujours un vieux pervers) et que donc on se retrouve automatiquement avec des filles lesbiennes-mais-pas-trop, je vous jure que c'est un détail qui a son importance tellement les dialogues tournent autour de qui à envie de toucher les nichons de qui, on peux pas vraiment les appeler lesbienne, on est pas vraiment là dedans. Disons qu'on se retrouve plutôt avec des mecs dans des corps de filles, niveau personnalité.

Annotation :

Project Diva qui change un peu de direction. Ici, adieu aux points pour acheter les modules, et place au mode quest et son systéme de loot de modules.
A la limite ça aurait pu être une "bonne" idée si on conservait ses scores dans ce mode (vous faites un perfect en extrême, il ne sera pas gardé, ce qui donne même pas envie de se sortir les doigts) ou plus simplement si on ne droppait pas de doublon.
J'aurais donc passé 90% de mon temps à jouer avec des modules et des accessoires débiles complétement hors sujet avec les musiques, et parfois même le mauvais Vocaloid, chose que je n'aime pas du tout.
Surtout qu'on se retrouve à devoir re-paramétrer entièrement son module à chaque changement de chanson (même si c'est possible d'enregistrer un preset) si on souhaite scorer correctement tout en ressemblant à quelque chose.

L'autre changement de direction de cet opus c'est l'abandon des story PV au profit des PV "miku danse sur une scéne" extrêmement décevant quand on imagine le potentiel de certaines musiques. On fini par s'y faire mais bon... surtout que le seul intérêt à avoir fait ça est franchement inutile (pouvoir changer le décor ou bien faire des live)

L'autre détail bien chiant, c'est les dialogues à chaque quête débloquée/réussis/nouveaux module droppés, qui font systématiquement sortir du menu des chansons, et donnent lieu à 3 bons écrans de chargement pour y revenir.

Dommage, car la sélection de musiques à d'excellents morceaux, mais le système de customisation et de drop associés aux dialogues et aux chargement ont eu raison de ma patience et ont fini par m'éloigner du jeu.
J'ai donc arrêté d'y joué avant même de pouvoir profiter du mode libre avec les bons modules, celui où on peux scorer, donc.. dommage

Je considéré qu'un bon jeu de rythme doit se suffire à lui même, pas tenter de garder le joueur avec un vieux système qui reviens à du grind.

+ Les nouveaux modules
+ La sélection de chansons

+- Les medley auraient pu avoir du potentiel (difficulté, effet "marathon" pas le cas au final) mais c'est juste de la frustration de ne pas avoir les musiques complétes

- Monopole de Miku, quasiment aucune musique pour les autres Vocaloid
- Le nombre de musiques encore plus faible que F et F2.. (30 chansons seulement)
- Les dialogues inutile qui nous sortent des menus
- Costumiser son module avant chaque chanson est décourageant

Annotation :

[Terminé]

Une sorte de synthèse de la série des Souls, un peu plus convenue pour qui aurait fait les précédent et Bloodborne

Annotation :

[Terminé]

Sympa, on se prend vite au jeu et à l'ambiance, malgré le festival de clichés présent aussi bien du côté des personnages que des "techniques" utilisées pour tenter de faire peur au joueur, sans oublier le coup du tueur derrière le tueur

Cependant assez déçue de la direction prise pendant la dernière ligne droite, la plupart des phase faites pour mettre la pression se résument à courir sous une avalanche de QTE pour fuir une menace décevante

Annotation :

+ Joli
+ Collectionner les fringues pour son avatar

- Gameplay qui se résume à appuyer sur l'écran sans subtilité
- et qui n'évolue pas d'un poil entre la 1ére quête et la 60eme mission

Bref un énième gacha-game sans véritable gameplay, ceci dit je n'ai toujours pas atteint le stade ou on commence à sentir réellement l'intérêt d'être chanceux à la loterie ou de payer, mais je ne doute pas qu'il arrivera un jour. Mais pour le coup ça serait presque (presque..) un défaut, tant le fait de s'équiper n'est ni problématique ni motivant

Annotation :

[Terminé]

Remake du premier Ratchet et Clank, et donc avec les mêmes choses que je lui reprochais à l'époque, c'est à dire le fait d'être ni assez plateforme, ni assez action.
Cet aspect sera corrigé (à mon goût) plus tard dans la série, qui s'orientera définitivement vers de l'action/aventure.

Chose un peu bizarre dans ce remake c'est l'intégration des cinématique tirées du film, on sent que c'est un peu bancal tant la coupure est parfois brutale et nous donne l'impression de rater des événements ou de faire une avance rapide sur le scénario.
Détail qui plombe parfois un peu l'immersion...

Annotation :

[Birthright en pause aux 3/4, Conquest terminé]

Scénario aux ras des pâquerettes, dialogues de soutiens bidons.
(Y'a quand même au moins 3 duo dont les dialogues sont basés sur le fait de partager un paquet de bonbon en cachette, et je rappelle que la finalité des dialogues en question est un mariage)
J'ai fini par jouer en lisant à peine les dialogues, et j'avais même la grosse flemme de lancer ceux de soutiens.

J'ai d'abord commencé par Birthright, mais j'ai trouvé le level design des maps un peu trop "linéaire", et globalement il suffit d'envoyer un tank tout droit qui force l'ennemi à avancer dans la zone rouge et ensuite de le gangbang avec le reste de la team. Les ennemis ne bougent pas avant x tours tant qu'on est pas en zone rouge.

J'ai donc bifurqué vers Nohr aux 3/4 de ma partie, et là c'est beaucoup mieux : excellent level design, difficulté motivante, les ennemis attendent pas qu'on joue pour jouer, objectif variés (sauf sur la fin ou ça devient que "capturer") finir une map est gratifiant et on réfléchis vraiment à la construction de sa team

L'ergonomie du jeu est bonne, les menu sont très agréable à parcourir. En revanche j'ai rapidement coupé les animations de combats, la vitesse de base est bien trop basse et c'était chiant de les accélérer/skipper à la main à chaque fois. D'autant plus que les modéles 3D sont comme d'hab avec la 3DS, très brouillon

Annotation :

En quelques points :

- Chargements rapides, enfin un écran de module accessible rapidement et qui donne envie d'y revenir si besoin
- Menus très chargés, qui demandent de se souvenir de quelques raccourcis, mais qui sont agréables par leur rapidité
- Pouvoir mixer les coiffures
- Une playlist tellement grande qu'on s'y perd régulièrement
- L'obligation de devoir bien jouer sur 2 tableaux, le scoring est en partie indépendant du perfect
- Une monté graduelle de la difficulté des mécanique de jeu selon la notation des musiques (une 8.5 étoiles introduira des combinaison de touches qu'on retrouve plus rarement dans une 8 étoile, et ainsi de suite)
- Le portage Arcade souffre un peu du passage à la manette sur certains points, mais heureusement on à l'avantage des fléches directionnelles pour compenser. Au bout de quelques heures de jeu, on s'est normalement adapté
- Un gros up de difficulté qui fait plaisir par rapport aux opus console, même si pour ma part je dois faire une croix sur la possibilité de passer certaine musiques en extrême un jour (ce qui n'était pas le cas sur F) leur version hard restent intéressante à jouer
- Un moteur 3D qui gère enfin les ombres, la lumière, la physique des cheveux et des vêtements
- Glorious 60fps

Annotation :

[En pause]

Déjà terminé à l'époque sur PS2

Annotation :

[Terminé en normal, pas mal farmé en Hard]

kitsch, moche, bourrin, répétitif.
bref, tellement bien

Annotation :

[Terminé]

Annotation :

[En pause]

Abandonné à la moitié du jeu.
Principalement à cause de certains défaut de conception du jeu qui poussent à des aller retour trop fréquents, associés à des temps de chargement trop nombreux qui ont eu raison de ma patience.
Le reste n'a pas assez relevé le niveau pour contrebalancer.
Bien que je reconnaisse des qualités au jeu, il ne se lâche pas assez sur son thème (On a rarement l'impression de vraiment jouer des idols) et le propos est beaucoup trop édulcoré.

Annotation :

déjà joué en 2015, j'ai redonné sa chance au jeu après 1 an de mise à jour.

level design à chier, jeu absolument pas équilibré (quand tu peux te farçir des vagues de mobs lvl 200 en alt tab alors que t'es lvl 40 y'a un gros problème)
Le coeur du jeu est pourri dès le départ, les mise à jour n'y changerons rien, et les personnages payant n'aideront pas.
Bien loin du premier, celui ci est beaucoup plus tourné vers un esprit mmo-stuff-bash endgame débile qui était présent à mon grand regret dans les 4 dernier DLC de DG1

Annotation :

"Terminé"

Clicker random, mignon mais tellement vain que vous vous questionnerez sûrement sur votre existence à la fin. Rappelez moi pourquoi j'achète encore ce genre de chose ?

Annotation :

Parler d'Umineko à quelqu'un qui ne l'a pas fait et, encore pire, qui ne connait presque rien de celui ci, est un exercice que je trouve tellement difficile pour moi que j'ai dans un premier temps écrit un avis rapide tome par tome. Mais ça ne me convenait pas, j'ai donc effacé et je pense que laisser cette section vide serait le mieux pour nous tous.
Mais d'un autre côté... j'ai vraiment rien à dire sur un jeu que j'ai noté 10+ pour vous convaincre ? Mais alors comment "justifier" cette note ?
Malheureusement dans le cadre de Umineko, comme pour Higurashi, les mots semblent ne pas suffire, ou bien peut être qu'ils restent coincé dans mon esprit.
Et croyez moi, c'est pas facile, tellement j'ai envie de hurler que c'est génial, qu'il faut le lire. Mais je fait maintenant partit de ce groupe de gens qui "écrivent des élucubration de possédés", qui "over-exagérent" qui ne seront jamais compris par personnes d'autres que par leur pairs :'(
C'est peut être mieux comme ça, Umineko est tellement dense, à tellement de niveau de lecture, qu'il est difficile de donner envie sans spoiler au moins un de ces aspects.
Pour les novices total, qui découvrent à la fois les VN et Ryukishi07, soyez quand même prévenu : un VN n'est pas un livre, au niveau de la forme de l'écriture on est pas dans de la littérature. Au niveau de la forme du récit, on est dans de l'imperfection régulière (des longueurs, des répétitions) et les sprites sont "moche" mais avec des expressions faciales qui dégagent un panel de sentiment hallucinant à la lecture.

Annotation :

[spoil]

Même si je trouve une partie du tome 8 discutable, bien que nécessaire avec le recul, je trouve quand même la conclusion (la normale et la finale) magnifique. L'auteur laisse échapper quelques petits bout de la réalité (qui paradoxalement ouvrent de nouvelles possibilités), puis referme la catbox à tout jamais : Le thème d'Umineko est sain et sauf. Je ne comprend pas pourquoi des gens sont insatisfait de cette fin, nous donner la vérité aurait complétement fait s'écrouler le VN
Ha et Ange. Ange, qui pendant tout le récit avait une vie de merde et la condition la plus proche du "lecteur" et pourtant paraissait tellement antipathique, j'ai réussis à sincèrement apprécier ce perso, surtout avec un aspect de la fin qui m'a tellement parlé de façon personnelle que j'y réfléchis encore..

Annotation :

[En pause]

Un jeu de "rythme" brutal et impitoyable, mais qui côtoie beaucoup trop le Die & Retry pour que j'y prouve le plaisir que je venais chercher (et croyez moi, j'ai rien contre le Die & Retry)

Annotation :

[Terminé + Fait 3/4 des perfect sans forcer et je ne souhaite pas continuer]

Concept efficace et mignon, j'ai trouvé quand même que le jeu était assez facile. Par contre le "scénario", c'était vraiment pas obligé, je vous jure

Rhythm Paradise est de ces jeux qui m'angoissent profondément parcequ'ils me font typiquement ressentir cet effet de "tiens ? C'était mieux dans mes souvenirs, non ? .... non ?"

Annotation :

Terminé

Annotation :

Terminé

Annotation :

Terminé en "soft 100%" (càd juste en oubliant les défis de merde)

Annotation :

[En pause]

Annotation :

[Terminé]

Difficile de résumer tout ce que l'on peut ressentir en jouant à FF15.
Les premières heures sont incroyablement addictives, c'est un jeu qui arrive sans forcer à garder le joueur scotché à sa manette, avec trois fois rien. Par la seule force de son ambiance posée (à défaut d'être épique) et de l'IA de nos compagnons, vraiment vivante. Pris à part, les personnages du groupe sont peu développés et ont peu d'intérêt individuel, mais ils fonctionnent extrêmement bien ensemble, et on s'y attache principalement manette en main.

Puis les limites du jeu commencent à nous apparaitre : Quêtes fedex, dans le sens le plus pur du terme, càd que jamais elles ne vous apprendrons quoique ce soit de plus sur le lore du jeu, et que leur objectif est basique au possible. Heureusement que le quatuor commente chaque déplacement vers celles ci.
Et puis on se rend compte que ce vaste monde n'est peuplé que de station services avec une boutique et un restau...
On comprend aussi que la map affiche des environnement dont on ne verra jamais la couleur.

Puis arrive le scénario. Je n'évoquerais même pas sa qualité, puisque c'est tout simplement impossible. Quand celui ci est impliqué, on a souvent l'impression de jouer à des morceaux de jeu collés ensemble. A certain moment, on se retrouve même à ne même pas savoir où on va ni pourquoi on y va. Noyés au milieu de ça, les dialogues paraissent donc parfois incohérent, comme tirés de scènes qu'on aurait loupées.

Au travers de la seconde partie du jeu, on arrive à ressentir toute la douleur d'un développement chaotique, douleur plus ou moins vive (les auteur du chapitre 13 doivent forcément vivre avec des remords) malgré tout, on sent le potentiel non exploité de cette partie, car je lui ai tout de même trouvée par moment une ambiance "descente aux enfers" appréciable.
On sent clairement l'ambition démesurée, incontrôlable, sans assez de temps, et qui a déjà du couté assez d'argent

Puis la fin du jeu arrive, et on se précipite sur le bouton "continuer" parceque même avec tout les défauts qu'on peux y trouver, FF15 à ce côté attachant, cette envie d'y revenir qui nous quitte rarement. Quand il sait rester simple, c'est un jeu qui arrive à avoir une ambiance qui permet de lui pardonner des défauts qui pourtant nous sautent au visage

(Et de part son passif de développement, c'est un jeu très intéressant à jouer pour qui s'intéresse vraiment au média)