J'y ai joué en 2017 [liste commentée]

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[Arrêté à environ 50h de jeu]

hybride H-VN et Donjon-rpg assez austère aux mécaniques vieillissantes.
L'humour est assez... particulier. Rance, le personnage principal, est sûrement le pire goujat que la terre ait porté, animé par le seul but de se taper le plus de filles possible, d'accord ou pas.
Étonnamment, j'ai tellement lu que l'humour et les scénes H étaient gerbantes que je suis surprise en bien. Effectivement c'est gras, et le H c'est principalement du viol mais-parfois-pas-trop comme les japs savent si bien le faire. C'est, disons... dans la moyenne des clichés hentai de ce "domaine", ni plus ni moins, c'est pas aussi "hardcore" que j'ai pu le lire à droite à gauche, y'a une tonne de VN bien plus crades que ça, mais bref.

Le jeu est très long et forcément répétitif sur le long terme, surtout que ça vire parfois au grindfest. La musique est dans l'ambiance mais elle tourne en rond à un point pas possible, en plus j'ai l'impression que y'en a que 3 dans le jeu, ça devient vite chiant.
Le jeu est porté par ses dialogues (si on y accroche), sa galerie de personnages et son chara design tout en rondeur et en couleur

A réserver à un public averti qui sait dans quoi il met les pieds.

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[Terminé]

Comme toujours avec Kirby, on sait un peu à quoi s'attendre.
Un jeu mignon, joli, avec des chouettes musiques, qui se parcourt avec plaisir, mais trop facile et qui ne laissera pas réellement de souvenirs.
Sans surprise, c'est exactement le cas ici

Par contre il faut vraiment y jouer avec la 3D, car les décors du jeu et le level design sont clairement pensés pour ça. Un des rares jeux ou j'ai laissé la 3D activée avec plaisir, c'est vraiment joli tout plein

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[Arrêté - 15h de jeu]

Shadow Warriors 2 est assez particulier. C'est un FPS mais qui se rapproche beaucoup plus d'un hack'n'slash dans sa construction

Tout d'abord, les niveaux sont générés aléatoirement, ce qui fait qu'on ne peux pas vraiment parler de level-design bien étudié. Ensuite, les mobs aussi sont soumis à cette énorme part d'aléatoire donc on peut très bien tomber sur un groupe de 5 élites et galérer dessus pendant 20 minutes, tout ça pour ne rien looter de plus intéressant que sur un trashmob tout pourri, car le jeu n'a pas de logique de loot, c'est là aussi 100% aléatoire.
Autre chose très étrange, c'est qu'il n'y a pas de limite aux levels, ni aux points de compétences donc par extension pas vraiment de build. (si ce n'est vos armes, mais j'y arrive)
Les armes sont personnalisables via 3 slots dans lequel on peut insérer des loot qui donnent des bonus. Seulement voilà, les loots tombent à foison, si bien qu'au bout de 5 minutes de jeu à peine vous aurez une cinquantaine de bonus équitable dans votre inventaire. Le drop est beaucoup trop abondant, pollue l'inventaire et casse le rythme très frénétique des combats.. d'autant plus que seul une infime partie d'entre eux est vraiment viable

Autre point qui me dérange, à titre personnel cette fois, c'est l'humour. Il parait que je manque de références cinématographiques, ce que je veux bien admettre, que le héros est un deadpool-like.
Mais bon les dialogues se résument souvent à ce genre de choses :

- Hé, va me chercher ça espèce d'enfoiré
- D'accord j'y vais vieille conne
- C'est ça, et fait vite connard

Les dialogues entre le héros et la fille coincée dans sa tête sont particulièrement navrant, par exemple.
Y'a parfois 2-3 petites répliques qui marchent mais on baigne tout de même dans la tiépance la plus totale

Maintenant, l'essence même du jeu, c'est à dire son système de combat, est une énorme réussite. Très nerveux, rapide, pas mal de retour dans les impacts... un perso qui bouge vite, associé à un dash infini, donnent lieu à de savoureuses course poursuites. On tue, on xp, on met des points de compétences, on tue, on xp, encore, toujours, de façon addictive.
Certain aspect bizarre (l'aléatoire, l'absence de build) prennent sens et se rejoignent pour mettre en valeur le système de combat.

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[Terminé]

Si je vous dis "Androïde prostituée qui garde volontairement son apparence très juvénile, hackeuse aux gros seins et fille chat"
vous pourriez être tenté de vous dire qu'on va tomber dans un jeu au mauvais goût le plus total, un énième indé caché derrière son pixel art, qui plus est de la caste du genre de jeu le plus statique du monde.
Et pourtant non. VA-11 Hall-A arrive, avec son écriture humaine et remplie de sincérité, à éviter les clichés et à rendre la totalité des personnages attachants, voir plus. Sans véritable scénario, sinon le fait que Jill révèle peu à peu des sentiments qui la rongent, ni véritable gameplay, autre que le fait de servir des verres plus ou moins alcoolisés pour pousser le client à vider son sac, VA-11 Hall-A c'est le jeu "comfy" qui vous ambiancera pour les quelques soirées où vous le lancerez avec plaisir.

On pourra lui reprocher quelques trait d'humour 4channesque pas toujours très fin, mais celui qui fait la dynamique et l'amitié latente entre les personnages fonctionne à merveille le reste du temps

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[En pause, 3 fins sur 6]

Sans surprise, Steins;Gate 0 est inférieur à son prédécesseur.
Le ton est à priori plus sombre, et pourtant le jeu se permet toujours les même traits d'humour douteux, qui paraissent cette fois vraiment très déplacé (Daru et Suzuha, putain.) De plus, le fait que le récit alterne régulièrement le point de vue du narrateur donne un rythme plutôt haché. On passe d'un personnage à l'autre, d'un lieu à l'autre, parfois d'une époque à l'autre, de moment triste à joyeux, mais d'une façon étrange qui donne moins de liant au récit. L'effet crescendo n'est plus là.

Le premier Steins;Gate évitait de se perdre dans l'effet papillon non crédible en ayant l'intelligence de se limiter à du time leap de quelques heures dans un contexte très fermé. Ce n'est plus le cas de S;G 0 qui essaye de voir plus grand avec du voyage dans le temps qui change parfois d'époque, de contexte, ou même qui se permet des bond de plusieurs mois ou plusieurs années, avec parfois une ellipse résumée en simplement quelques lignes, qu'on a donc du mal à prendre au sérieux.
Et évidemment, on sait déjà sur quelle corde sensible le récit va essayer de tirer, donc il n'y a pas vraiment de surprise scénaristique.
Dommage, car y'a quelques très bon trucs, notamment le personnage de Maho, et ce Voice Acting toujours au top du top, le doublage d'Okabe prend régulièrement aux tripes.

(Un gros plus pour le personnage de Maho et sa relation avec Kurisu. Toutes les deux génies en neurosciences, elles se lient rapidement d'amitié mais même si Kurisu considère Maho comme sa "senpai" intellectuellement parlant, celle ci est peu à peu dévorée par la jalousie envers l'intelligence et la réussite de Kurisu. Un sujet rarement exploité de cette façon, et plutôt bien traité sur ce coup.)

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[En pause, une dizaine d'heure de jeu]

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L'exemple d'un jeu smartphone réussi. exploite le tactile sans emmerder le monde, se joue assez rapidement pour trouver sa place sur le support, drôle, gameplay intéressant et addictif

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Difficile de parler de The Witness, œuvre aux imbrications multiples, et dont la portée s'étend au delà de son média.

Ne vous attendez pas à être récompensé à la manière de n'importe quel autre jeu, on touche là la véritable essence, à la pureté et à la plénitude de la réflexion.
Au plaisir indescriptible de ressentir chaque verrou mental qui saute à chaque compréhension de règle, à chaque puzzle résolu.
Au plaisir de prendre progressivement la mesure de son level design vertigineux où chaque pixel a son rôle, de combler par notre interprétation des thèmes savamment distillés.
Chaque prise de conscience de l'univers du jeu par le joueur est une porte de plus qui s'ouvre... littéralement.

Sous tout ces aspects The Witness est quelque chose que, définitivement, nous ne sommes pas prêt de revoir pour un moment.

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[Terminé]

Comme le premier, beau jeu, avec une belle direction artistique, portée par son OST qui ne l'est pas moins, et des sensations de chute libre vraiment vertigineuses.

Comme le premier, le jeu ne sait toujours pas où il va niveau scénario, surtout qu'il s'exerce cette fois à la critique des classes sociales... pour un résultat manichéen au possible. (finalement à l'image de son héroïne Kat, au joli chara design, aux jolies animations, mais aux dialogues navrants)

Comme le premier, le jeu à un bon concept de départ mais ne sait absolument pas comment en faire un gameplay intéressant. Les phases d'infiltration et de "recherche" sont à se jeter par la fenêtre, et elles constituent la majorité des quêtes annexes.
Toujours pareil également niveau combat, avec une caméra parfois folle. Les 2 nouveaux styles de gravité n'apportent rien, d'ailleurs le jeu en est tellement conscient qu'il en force l'utilisation.

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[En pause]

Je vous promets que je vais faire un effort pour vraiment y jouer un jour, mais Zelda à bel et bien confirmé que j'ai un problème avec les open-world :(

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Par rapport à Cytus, y'a du mieux. Globalement, on joue enfin en rythme. Le système de "lignes" apporte de bons éléments de gameplay, et même de visuel.

Mais malheureusement, on est encore une fois sur un jeu énormément permissif. La fenêtre de validation est très grande. Typiquement, si vous vous trouvez face à 2 notes qu'il faut valider en alternant rapidement droite/gauche, appuyer simultanément au même moment pour les 2 suffira largement à valider. Pareil avec les notes fléchés qui se valident parfois par simple pression.

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[Terminé]

Annotation :

Serveurs Nintendo/10

Pour le reste, ou comment ruiner un jeu avec un simple rééquilibrage. Mario kart 8 sur Wii U était vraiment excellent, et ça vient de quelqu'un qui ne s'intéressait plus aux MK depuis des lustres, après les avoir poncés à une époque.

La version Deluxe apporte le double item. "Oh génial, ça va dynamiser le truc" non, c'est pas comme ça que ça marche, en fait. Ajoutez à ça une distribution des objets différente en fonction des places que la version Wii U et vous revivez l'enfer de MK Wii, des courses absolument chaotiques où le seul moyen de pas se faire bolosser en continu c'est de s'échapper très loin devant les autres en priant.

Annotation :

[En pause]

Un rythme très fortement haché par le spam intensif de sms, le spam intensif de Morgana, le spam intensif du jeu qui t'explique les mécaniques des donjons, le spam intensif du scénario qui essaye de s'assurer que t'as compris ce qui se passe.

Annotation :

J'ai deux passions dans la vie, le pixel-perfect et la mémoire musculaire
alors forcément the End is Nigh, suite "spirituelle" de Super Meat Boy, avait tout pour me plaire.

Je lui ai tout de même largement préféré SMB et ce pour plusieurs raisons : Terminé le plaisir du sprint, du walljump (même si je comprends tout à fait pourquoi, il aurait été stupide de refaire la même chose d'un jeu à l'autre)

Terminé l'ost frénétique qui m'emmenait dans l'univers fabuleux du Flow State. Celle ci reste très bonne et plus adaptée au jeu, en particulier sur les mix 8-16 bits, mais voilà.

Le jeu s'oriente un poil plus vers l'observation de "comment faire"
l'aventure principale est également bien plus facile que SMB, et les récoltables offrent quand même bien moins de "seconde lecture" des niveaux...

Le jeu offre son plus gros challenge dans certaines des cartouches bonus, bien que j'ai du mal à considérer le "deathless" comme faisant véritablement office de contenu et de challenge "normal". Frustrant pour moi car j'ai eu le temps de me lasser grandement du jeu avant de toutes les avoir :(

Annotation :

Plus un 1.5 qu'un véritable nouvel opus, mais ça ne surprendra personne.

+ Le mode Salmon Run
+ la révision du système de bonus qui permet d'enfin vraiment choisir, certes au prix de quelques heures de jeux

Annotation :

L'imbuvable série de quêtes principales entre la fin de ARR et le début de Heavensward, putain. Plus jamais de ma vie, vous entendez

Annotation :

La joie de s'être cassé le cul à monter une classe dans le seul but d'accéder à une autre classe, puis de monter ladite classe dans la douleur, puis d'arrêter de jouer une fois arrivé à l'extension.

Annotation :

J'avais de bons souvenirs du premier DQH, plus lent qu'un musou classique, mais qui arrivait à trouver sa propre identité.

Mais là la sauce n'a pas du tout pris, comment voulez vous qu'un systéme de map ouverte fonctionne si on croise 3 mobs tout les 10kms ? C'est chiant à souhait, au bout d'un moment tout ce qu'on veut c'est bourrer des trucs. Et même les maps classiques m'ont parues moins... moins, que le premier.
Voilà ce que ça donne en voulant agrandir les maps dans un jeu qui n'en a pas le dynamisme

Annotation :

La caution incremental game dégueulasse de l'année car il en fallait bien une.

Annotation :

[Terminé]

Annotation :

[Terminé]

Comme d'habitude avec la série Danganronpa, on saute à pieds joints dans les personnages ultra stéréotypés, les procès qui s'éternisent parce qu'on a compris les tenants et aboutissant 40 ans avant les personnages, et les phases de gameplay dont on aimerait parfois pouvoir bien se passer.

Et pourtant ça reste une série toujours très attachante, que ce soit visuellement ou au niveau des personnages, qui arrivent pour la plupart à rester charismatique (surtout les connards de service) et elle réussis le tour de force de donner au joueur l'envie constante d'avancer et de connaitre la suite, aussi convenue et prévisible soit-elle, parfois.

Annotation :

[5 Arcs sur 6]

Le très bon qui côtoie le très mauvais

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[Terminé]

Alors déjà, si vous cherchez un Collectathon passez votre chemin, a Hat in Time en est loin et se révélera sur ce point plutôt frustrant.

Pour le reste, ça se laisse jouer tranquillement mais c'est la moindre des choses pour le genre. La prise en main est plutôt agile et fluide, malgré pas mal de soucis d'appréciation des distances. C'est choupinet vite fait, on sent d'ailleurs que le jeu essaye de capitaliser à fond là dessus.

C'est (très) court, même à 100%, surtout sans 100%, au point que le fait que le jeu essaye de varier ses phases de gameplay lui porte presque préjudice, entre celles chiantes et celles trop courtes...

Bref, un petit en-cas vidéoludique, vite avalé et oublié aussitôt, pour ma part.

(Je le vois souligné nulle part mais j'ai trouvé le voice acting insupportable dans sa grande majorité)

Annotation :

[Terminé]

Annotation :

Tout d'abord, le scénario et les dialogues sont à se jeter par la fenêtre, au même titre que Fire Emblem Fates.
Dommage pour le faible casting qui se permet en plus un nombre de clone assez conséquent, ce qui conduit fatalement à se lasser plus vite du jeu qui pourtant appartiens déjà à un genre au principe très répétitif. Au delà de ça faut quand même avouer que c'est un des musou avec le gameplay le plus "dynamique" visuellement parlant, très jouissif en terme de combo, bien qu'il soit vraiment moche

Annotation :

+ Je peux enfin jouer au tambour..

- .. Ce qui n'est pas propre à cet opus
- En plus y'a quelques problèmes de détection
- Playlist courte, à compléter avec les DLC
- Playlist moins enjaillante que l'opus Vita

Annotation :

[Terminé]

Dans l'absolu, Sonic Forces n'est pas la dernière des horreurs. j'entends par là que ça se laisse globalement jouer. Et pour cause, la plupart des level sont tellement auto guidés (et par là je veux bien dire "encore plus que d'habitude") qu'il vous suffira d'appuyer sur la touche du homing attack quand le jeu vous l'indiquera.

Et quand finalement le jeu arrête de foncer et de vous guider à tout bout de champ, on se frotte à une physique particulièrement imprécise, qui rend le moindre saut un peu tendu laborieux

Le jeu propose aussi des niveaux en vue 2D avec le Sonic Classic, qui semble un peu perdu ici tant on n'avait pas besoin de se retaper une éniéme fois les mêmes niveaux revisités, qui plus est après Sonic Mania. Et en plus les remix des OST sont particulièrement dégueulasse

Rapidement terminé en ligne droite, le jeu mise sur la répétition des niveaux pour gonfler sa durée de vie. Comme pour n'importe quel Sonic, les niveaux ont plusieurs parcours, il est donc impossible de voir l'intégralité d'un level en une visite. Pour vous pousser à exploiter le reste, les anneaux rouges à récupérer sont donc dispersés entre les différents chemins. Rien de nouveau jusque là pour un Sonic. mais une fois tout les ring rouges ramassés, le jeu vous propose ensuite un autre type de collectible pour les remplacer. Une fois ceux ci ramassés, ils sont encore remplacés par d'autre, et ainsi de suite avec 5 ou 6 types d'anneaux.
Il y a aussi les missions SOS qui apparaissent aléatoirement sur chaque niveaux. Rien de fou, ils vous suffira juste de... bah de refaire le level en question, quoi.

Le jeu prétend aussi se livrer au grand jeu du scoring, tableau à l'appui. Seulement, quand on sait que le jeu possède un système de missions quotidienne à accomplir pour obtenir un multiplicateur de points à la fin d'un level, tout ceci semble un peu artificiel.

Quant à l'Avatar dont on a tant entendu parler, finalement la customisation est assez pauvre, avec peu de races et des choix de yeux qui semblent foutu là dans le seul but que des streamers hurlent "LMAOOOO LOOK AT THIS NHJKSDDJ" sans parler des couleurs desigualesques de l'ensemble une fois fringué et de ses textures passées à la pierre ponce

Annotation :

[Terminé]

Hybride Shmup/métroidvania qui contrairement à d'autres ne se fera malheureusement pas que des amis avec son design très... disons, orienté.

Et c'est bien dommage, car si effectivement le jeu baigne dans des tons pastels, des lolis peu vêtues et des dialogues navrant, un vrai jeu se cache derrière, et je dois dire qu'il est plutôt pas mal.

Vraiment agréable à jouer et à parcourir, un level design plutôt intelligent, le jeu est très riche en secrets, en contenu optionnel. Les boss s'affrontent en mode bullet hell avec des pattern souvent variés, recherchés et ce même d'un boss à l'autre. Et, je sais pas si c'est moi, mais le jeu n'est vraiment pas facile

(D'ailleurs, j'aurais volontiers continué après la fin de base, mais le jeu se prend une hausse de difficulté que j'ai pas le courage d'affronter)

Annotation :

[Terminé]