Jeux les plus joués en 2017

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80h avalées en 7 jours consécutifs alors que débordé de boulot et ça continue. En trois mots : "tour de force".

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Ma dernière save affiche 60h+. Je sais que j'arrive un peu après la bataille en ce qui concerne Persona puisque c'est mon premier contact avec la série qui m'effrayait pas mal jusque là. Pour le moment, c'est peu de le dire que je suis bluffé.

- Incroyable système de combat au tour par tour (hold up, all in one, négociation, la recherche des faiblesses, captures et fusions de personas, baton pass, one more, c'est juste fou, fou, fou).

- Les "palaces" (donjons) que j'ai visité jusqu'à présent sont absolument remarquables (par contre, à ma grande surprise, un peu faciles en difficulté normale).

- La DA, la musique, le level design : Persona 5 vient d'un autre monde.

- Toute la partie sociale... Certainement les moments les plus stressants du jeu (sic !).

- J'ai pour le moment terminé 4 palaces. En terme d'écriture, c'est très réussi (et bavard), même si j'ai moins aimé le second palace (mais le troisième est assez dingo et le quatrième casse un peu les codes).

Alors que je viens de me farcir 60 excellentes heures sur FF XII, Persona vient mettre un terrible coup de vieux à tous les J-RPG auquel j'ai joué jusqu'à présent. J'suis épaté par la richesse des mécaniques, la profusion de l'écriture, la densité des systèmes qui s'imbriquent sans mal les uns dans les autres et où tout est finalement connecté. Enfin, j'suis simplement bouche bée (et langue au sol) devant une telle débauche de style.

C'est LA claque.

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GOTY potentiel, podium assuré, Arkane a encore frappé. Très fort.

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Si je préfère la "liberté" de Prey qui me permet de jouer "typhon" sans arrière pensée (je déteste le système de "chaos" qui pénalise toujours les Corvo assassins) ; impossible de ne pas reconnaître que Dishonored 2 lui colle un violent taquet sur les visuels : de mémoire de joueur, c'est une des DA les plus réussies, les plus folles qu'il m'ait été donné de voir. Tout simplement ahurissant. Pour le reste, c'est sans surprise : l'immersion est totale, l'écriture au diapason et le level design gargantuesque.

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Un jour, j'arrêterai de jouer à mon GOTY 2015.

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Premier contact : c'est beau. Sorti de là, pour le moment, je sèche un peu, malgré des qualités certaines.

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J'en attendais beaucoup et pour le moment, clairement, j'ai fait un faux départ. Pas convaincu du tout. Je vais y revenir...