Jeux vidéals joués en 2020

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Aimant à VLC/20

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c'est cour-

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ça a pas perdu de sa force, c'est dingue de se rendre compte de l'influence de ce jeu sur tous les fps actuels

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jeune adepte du AAAA : "tu joues encore avec un vieux jeu vermoulu plus vieux que toi avec des gros pixels dégueulasses pour un scénario débile et des flingues au milieu de l'écran que tu diriges même pas sur l'axe Y alors que tu pourrais faire des jeux 4K RTX où tu sens la moindre flaque d'eau dans la terre meuble sous tes pieds pendant que geignent tes camarades amochés par la dernière salve ennemis"

moi, guémeur ingénu : BratatabOUM le streum eheh

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Eh bien que c'est fastidieux. On se trompe fréquemment car les mécaniques de preuves sont parfois un peu flou (une preuve = un moment unique). Mais en résulte un jeu plein de rebondissements et aux personnages attachants.

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un jeu pour enfant, rigolo et mignon. Par plein d'aspect (mais sans la boucle temporelle) ça m'a fait penser à un Minit en plus réussi

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eh mercé @adrien_ligonie pour le cadeau

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je pense avoir bien résumé dans ma critique ma pensée de ce jeu, à savoir : un jeu qui passe à côté du magnifique à cause de sa lourdeur et son gameplay pris dans les affres du temps

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Partant d'un jeu de plateforme trèèès classique, l'écriture malicieuse donne la puce à l'oreille dans les premières heures de jeu. Et puis le jeu shift complètement dans son écriture et surtout son level design pour essayer de nous tenir en haleine.

Le rythme est cependant pas toujours tenu et j'ai noté de nombreuses fois où certains tableaux ne font pas honneur à ce gameplay qui permettrait de grandes choses. Mais ce manque de rigueur est là pour donner de l'accessibilité à un public moins averti, le défi completionniste du jeu nous laisse apercevoir ce qu'on aurait aimé voir un peu plus souvent dans les couloirs "obligatoires". Pourtant il y a un peu à redire sur le core gameplay qui parfois frustre par certains détails comme le backlash des ennemis qui ne permet pas de regagner le contrôle tant qu'on ne touche pas le sol si on n'a pas un saut "en stock", ou encore le nombre de fois où notre bon ninja se grip à une plateforme qu'on veut quitter ou esquiver nous menant à la mort.

Et la mort est souvent frustrante car passé les petits textes rigolos dans les temps de chargement. Il y a...eh bien des temps de chargement entre chaque mort. Et quand le jeu n'est pas sympa avec vous et qu'il faut enchainer plusieurs salles parce que la lave vous ne réussisez pas un saut, on les voit ces chargements. On voit aussi le manque de point de téléportation, des points de timetravel éloignés, et une carte peu agréable. Mais ceci est adouci par quelques bonnes idées comme le système de punition de mort (peu punitif) et les améliorations facilement accessibles donc qui facilite grandement la vie et l'exploration.

Si The Messenger manque de précision dans son core gameplay et de finesse dans son level design, il a du charme dans son écriture. Un petit jeu agréable pour tous fans de plateforme.

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ça fait plus de 2 ans que j'y joue par petites sessions j'avais l'impression qu'il était interminable et en fait il ne dure "QUE" 30h mais le fait de tourner en rond à la recherche de la prochaine étape du jeu ou comprendre les énigmes "witty" quel enfer.
Si le core gameplay est intéressant, l'enrobage J-RPG fait à la fois le charme et retient le jeu dans ses ambitions de bon jeu de golf. (on pardonnera toutefois les bugs parce qu'on sent le petit budget derrière, compensé par une écriture fraîche et qui sent bon l'indé)

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Enfin terminé, 3 ans après. C'était plat de bout en bout, et rien ne donne envie d'y retourner si ce n'est le défi d'en finir une bonne fois pour toute comme l'indique le fait qu'il me restait littéralement 3 niveaux depuis 1 an et qu'aucune envie ne venait me déranger. 4 idées de gameplay, des décors pas trop moche (sauf le sol) pour un puzzle et un enrobage philosophique qui manque tout de vrai audace.

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Un univers incroyable, des dialogues aiguisés et une mécanique où tous tes actes ou choix de dialogue peuvent influencer fortement tes chances de réussir un choix important plus tard sans le savoir obligeant à être vigilant et RP.

On fera plus jamais un point&click ou un RPG sans le comparer à Disco Elysium. C'est un shift. Exigeant et rafraîchissant, rigolo et crado, un jeu vidéo sérieux fait avec un vrai engagement artistique sans négliger l'aspect ludique.

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au risque de paraître ingrat on se fait un bout chier quand même

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mrc @adrien_ligonie

(bon bah je préfère vraiment les enfants de HL2 à lui-même)

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Enfin pris le temps d'admirer à sa juste valeur. C'est une petite gemme condensée, quasi opaque, mais très très belle.

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Random n'est pas égal à drôle, surtout si ton jeu est pénible. Je me souviendrais de 2 ou 3 concepts rigolos. Probablement....

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Aie ! Redondance, manque de feeling et de fun des armes, on passe à côté de tout.

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Le puzzle
Le terrain de jeu
L'infiltration
Le défi personnel constant
L'inventivité
L'humour froid
La quasi perfection glacée

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probablement un jeu parfait pour qui saura ne pas exploser de rage devant ces fausses épiphanies, ce rythme silencieux butant à chaque pic de difficulté ou changement intempestif de mécanique. Des heures de petits taquets derrière la nuque par un nerd qui te renifle derrière ses gros carreaux "allons ché pas chi diffichile"

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Gameplay aux fraises saupoudrés de rouille
Ambiance impec et impertinente

Un classique qui mérite le détour plus pour ce qu'il a apporté historiquement que pour le fun de jeu

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Merci à Nintendo de mettre ce genre d'expérience "gratuitement" à disposition du grand public. Vraiment une pièce importante du jeu vidéo c'est fou à jouer, et dans le contexte de l'époque j'imagine pas la claque

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Fait pour la culture. C'est pas correct de le noter en un run mais j'aurais oublié sinon.

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Masterpiece

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Eh merce

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design 101 ça va pas plus loin qu'un projet étudiant, et encore ce serait une insulte pour eux. Quel enfer les mauvais walk simulators quand on voit ça

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Tout pousse à la légèreté dans cet openworld où s'entassent des boucles de gameplay et des tas de quêtes répétitives. Pourtant si le gamefeel n'est pas désagréable, l'écriture vient plomber l'ambiance. Soit lourde, soit cringe, on assiste à une écriture proto-ado-conspi avec des relents de clins d'oeil "on sait ce qu'on fait, c'est léger tkt" mais qui ne devrait pas forcer quelques choix moraux douteux

La répétitivité et cette écriture gênante plombe donc tous les efforts qui sont mis partout. Un jeu somme monstre qui trébuche sous la faiblesse d'un seul véritable élément. Dommage !

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Tout me parait révolutionnaire dans ce jeu, pourtant on est constamment ramené à la dure réalité par de trop nombreux accros qui bloquent la progression d'un jeu voulu agréable. C'est des spawns d'ennemi trop nombreux et semblant infini, c'est des esquives stylés qui se prennent dans une table, c'est des angles de caméra qui bougent seuls et nous font rater ce saut, c'est des bords difficilement lisibles. L'aspect révolutionnaire et grandiloquent se prend dans ce mélange brouillon, et enfermé dans ce même niveau qui se renouvelle trop peu et dont les rebonds scénaristiques, s'ils existent, ne donnent pas l'impression de progression. Une aventure plus courte aurait permis de condenser l'aventure et éviter les répétitions ennuyantes.

Prince of Persia a donc sous ses airs révolutionnaires quand même vieilli. À l'image de sa fin, pas très très #metoo.