Jeux vidéo terminés en 2019

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Fini le 10 Janvier.

3ème opus d'une saga que j'apprécie sans pour autant être totalement fan, Darksiders 3 se détache de ses prédécesseurs en proposant une structure plus "Metroidvania" et un gameplay moins hack'n slash.

Le problème c'est que l'aspect Metroidvania est au final assez peu exploité car la quasi-totalité des embranchements ne passent que par la même zone (la croisée des chemins), c'est d'autant plus dommage car le jeu possède un level design tout à fait correct la plupart du temps et les power-ups sont assez intéressants à utiliser pour qu'on ait pu en profiter au max...

Niveau combat, on est sur du Bayonetta, dans le sens où comme avec le Witch Time, les esquives parfaites sont grandement récompensées.
On note aussi bien sûr la grande influence de la série Dark Souls avec tout d'abord un principe d'âmes (ici appelés spectres) que l'on perd une fois vaincu et qui nous servent aussi de monnaie d'échange (Vulgrim le marchand qui, d'ailleurs, a également la même fonction que les feux dans DS).
Comme dans un Souls encore une fois et contrairement aux deux premiers Darksiders, le joueur se verra souvent contraint à ne pas foncer tête baissée dans le combat mais plutôt attirer un par un les ennemis afin de ne pas vite se faire gank.

J'ai trouvé le personnage de Fury intéressant et bien écrit, elle est de loin la plus pathétique des 4 cavaliers, consciente de sa faiblesse et au final très vulnérable.
Les boss sont sympa et possèdent tous une personnalité bien à eux.
Le scénario est comme à l’accoutumé un peu osef et le jeu souffre d'une seconde partie assez paresseuse dans son écriture et surtout dans sa mise en scène, ce qui laisse malheureusement un léger goût d'inachevé en bouche une fois les crédits de fin atteints.

Un très petit 7.

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Fini le 24 Janvier.

Pour ma première run j'ai alterné entre le mode facile et le mode normal.
Puis j'ai fait une seconde run en full normal.

Le plus gros soucis avec ce Deathsmiles c'est que j'ai trouvé la difficulté très mal dosée, excepté le stage final tous les autres niveaux du jeu sont extrêmement courts et d'une simplicité déconcertante.
Le dernier niveau par contre t'as vraiment l'impression de jouer à un autre jeu tellement le pic de difficulté est immense, très déconcertant.

Le jeu propose plusieurs chemins alternatifs, chose que j'ai trouvé très cool et l'OST percute bien comme il faut.
Niveau gameplay, le système de power-up tous les 1000 points est marrant sinon à part ça on est sur du gros classique avec un bouton pour tirer à gauche, un autre pour tirer à droite + un bouton pour lâcher la bombe.

Pas transcendant, fait passer le temps, j'y reviendrai peut-être.

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Fini le 1er Février. (via The Bioshock Collection)

Enfin je me décide à poser la patte sur ce monument du jeu vidéo.

La première chose qui saute aux yeux dès l'introduction c'est le manque d'explication quant au scénario, on comprend très vite que l'on est en face de l'un de ces jeux dont l'histoire s'éclaircie au fil de la progression.

Du coup pendant toute la première partie du jeu on sera complètement paumé et c'est ça qui est cool car les scénar ultra explicatifs sans aucune subtilité qu'on se bouffe dans une bonne partie des productions (occidentales pour la plupart on va pas se mentir) j'en ai ma claque.

Il fait nul doute que le principal atout de Bioshock c'est l'écriture de son scénario dont je ne spoilerai pas les tenants et aboutissants pour ne rien vous gâcher.
Car oui, au-delà de ça le gameplay est ultra classique, les boss complètement bidons et à titre personnel je n'ai pas été ultra réceptif à l'atmosphère de Rapture.

Je rajouterais aussi que la première partie de jeu m'a semblé assez répétitive dans sa structure pour ne pas dire soporifique (à partir des jardins d'Arcadie le jeu décolle).

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Fini le 3 Février.

Suite de mon aventure sur la Bioshock Collection, on passe sur peut-être l'opus qui m'aura le moins marqué sur les trois.

Si je reprochais le côté répétitif au premier opus, celui-là est malheureusement touché par le même syndrome à un stade encore + développé.
L'idée de jouer un Big Daddy est très alléchante sur le papier mais on se rend vite compte que le corps à corps est absolument pété donc on se retrouve très vite à spammer le R2 comme un abruti lors des phases de combat.

Niveau scénario on est un chouïa en dessous du premier mais ça reste très correct, idem au niveau de la mise en scène avec une phase vers la fin du jeu que j'ai personnellement beaucoup apprécié.

Un bon p'tit jeu pour ceux qui ont apprécié l'ambiance du premier.

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Fini le 4 Février.

Avis peut-être un peu controversé mais je pense avoir préféré Bioshock Infinite à ses deux aînés.

Adieu Rapture et bonjour Columbia, un paradis sur la forme, un enfer sur le fond. Je dois avouer que l'ambiance et l'esthétique de la dite ville m'ont bien tapé dans l’œil, le côté Steampunk fait son p'tit effet.

Comme pour Bioshock 1 et 2, la qualité du jeu m'a semblé assez inégale.
L'introduction est énorme et la fin est pour le peu surprenante (dans le bon sens du terme) mais c'est plus compliqué pour ce qui se passe au milieu.
Certaines phases semblent un peu sorties de nulle part (fameux combat dans un cimetière) et d'autres sont justes complètement nazes (un certain passage sur un cargo géant). Heureusement, le personnage d'Elizabeth et son écriture parviennent à être assez intéressants pour tenir le joueur en haleine.

Un jeu pas exempts de défauts mais une histoire et un univers qui méritent votre attention.
A faire avec ses DLC !

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Fini le 8 Février.

Aaaaah bah c'était très sympa !

Ca fait plaisir qu'ils aient un peu abandonné le côté bourrin du 1 pour se reconcentrer sur la survie et l'horreur.

Les phases d'infiltration sont étonnamment vraiment très bonnes (même si ça s'essouffle dans la dernière partie où faut reconnaître que ça part un petit peu en boum boum) et certains passages peuvent se révéler bien angoissants.

Bien sympa aussi l'idée du monde ouvert même si y'a parfois quelques aller-retours assez relous.

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Fini le 15 Février.

Superbe ambiance et le meilleur gameplay de la série (si c'en est une hmm hmm).
Rien à dire, jeu ultra solide.

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Fini le 8 Mars. (True Ending)

Une chouette aventure riche en émotions avec un scénario vraiment pas con.
Dommage qu'il faille attendre la troisième run pour que ça décolle vraiment (mais faut rien diiiiire).

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Fini le 11 Avril.

Des scientifiques ont réussi à calculer le visage "moyen" de l'Action-RPG japonais, le résultat est surprenant:
https://media.senscritique.com/media/000000039731/source_big/Alcahest.jpg
Ce portrait représente l'action-RPG moyen, calculé en fonction des différents éléments de gameplay et de scénario pouvant être retrouvés dans les jeux du dit genre.

...

En gros c'est ultra classique mais ça va c'est cool.

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Fini le 3 Mai.

Beaucoup de choses à dire sur ce Sekiro tant il se démarque comme une véritable bouffée d'air frais de la part de From Soft tout en reprenant certains des pires défauts de leurs anciennes productions.

Tout d'abord, on va pas tourner autour du vase en porcelaine de Satsuma plus longtemps, le gameplay est ultra réussi.
Je vais pas vous cacher que j'ai eu beaucoup de mal à m'y faire au début (étant habitué aux Souls j'avais tendance à jouer assez safe et à beaucoup esquiver) mais à partir d'un certain combat sur une terrasse j'ai su comprendre toute la richesse de celui-ci.
A l'instar d'un Furi (mais à une échelle encore plus grande), le système de combat repose énormément sur le parry et le joueur sera contraint à s'adapter au rythme des attaques des différents ennemis et boss s'il voudra en venir à bout.

Ce qui nous amène au premier soucis du jeu, le fait de devoir apprendre quasi par cœur les pattern (et parfois l'ordre de ceux-ci) de chaque boss afin de bien savoir quand et comment bien les parer/esquiver.
Alors du coup il se passe quoi ? On met 5, 10, 20, 30 essais à simplement essayer de COMPRENDRE comment fonctionne le combat en question.
J'ai jamais été du genre à pester contre le manque de temps d'apprentissage durant les combats de boss dans les jeux de From Soft mais avec un jeu comme Sekiro qui te pousse à aller directement au corps à corps c'est juste abusé.

En parlant des boss, From Soft oblige, ils sont pour la plupart assez excellents surtout au niveau de la mise en scène et certaines de leurs attaques peuvent se révéler assez inventives.
Parmi mes combats préférés on peut retrouver le Singe Gardien, le Démon de la Haine, ou encore la Chouette.
La plupart de ces boss auront plusieurs phases, j'ai vu pas mal de gens pester sur celles-ci relevant surtout la redondance de devoir "tout se retaper à chaque mort", personnellement je peux les comprendre à 100% mais le fait que les idoles du sculpteur soient toutes extrêmement proches de chaque boss suffit à ne pas me frustrer après chaque échec... On a connu pire avec les jeux de ce studio hein :P
En plus de ces fameux boss, les p'tits gars et les p'tites meufs de chez From Software ont eu l'idée de rajouter une multitude de mini-boss un peu partout, ils sont sans grande surprise un cran bien en-dessous des vrais boss avec certains combats inintéressants et pas mal d'arènes qui feraient pâlir celle du Démon Capra.

Pas assez de caractères sur SC pour tout dire (critique à venir ?

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Fini le 3 Mai.

Obligé de mettre la note maximale à ce Grim Fandango alors même que je lui trouve plein de défauts.

Mais que voulez-vous ? Y'a quelque chose de dingue dans ce jeu... Un truc que j'ai jamais trouvé dans aucun autre jeu...
Ca passe par l'ambiance, le sound design, l'esthétique, les musiques et bien sûr l'histoire. Quelque chose de très cinématographique en fait.

Alors oui les énigmes sont coriaces pour ne pas dire impossibles mais putain quelle classe ce jeu... Quelle classe...

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Fini le 14 Mai.

Un gameplay aux petits oignons et des idées de level design pas toujours originales mais qui marchent bien.

Pas fan de l'aspect graphique ni de la plupart des couleurs utilisées, le jeu se rattrape avec une jolie bande son et un contenu "annexe" assez conséquent.

Pas un jeu dont je garderai un souvenir impérissable mais globalement une bonne petite expérience.

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Fini le 19 Mai.

Mouais...
Je l'avais déjà commencé à l'époque mais j'étais pas allé bien loin (mission 8-9 peut-être).

Le gameplay pendant les combats bien qu'ayant pris un bon coup de vieux reste assez jouissif, ça manque un peu de combos mais on est pas sur du bourrinage pur ça va.

Le plus gros défaut pour moi c'est d'avoir foutu des caméras fixes dans certains passages alors que c'est juste carrément pas adapté au gameplay et globalement au style de jeu.
Alors mon petit Shinji je sais que tu veux les foutre de partout tes caméras fixes depuis Rsident Evil hein mais là ça marche pas du tout, le perso est trop rapide et l'action trop virulente.
C'est là qu'on voit que DMC devait être le quatrième RE car on retrouve certains de ces éléments... mais ouais dans un BTA c'est niet...

Je retiens aussi des passages de plateformes absolument immondes (dont certains couplés avec la caméra fixe attention), encore une fois pas, mais alors pas du tout adaptés au gameplay.

Le bestiaire quant à lui m'a bien plu, c'est varié et halloweenesque il m'en faut pas plus.
Certains boss sont bien nazes par contre (l'espèce de tas de boue que t'affronte genre trois fois là pouloulou).

Ce que j'ai préféré c'est le petit côté exploration (qui aurait pu être un peu mieux peaufiné mais c'est déjà cool qu'il existe) des zones notamment le manoir qui rappelle bien évidemment ceux des Resident Evil.

J'en retiens un jeu assez moyen au final...
Après je garde en tête qu'il date tout de même de 2001 et qu'à l'époque ça devait être bien cool quand même.

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Fini le 21 Mai.

C'est dommage parce que je le sentais bien ce jeu au début, le premier environnement me rappelait l'Italie de House of the Dead 2 (un compliment donc) mais passé la première heure de jeu, les zones suivantes sont toutes ultra fades...

On comprend pas trop le projet en fait...
Au lieu de continuer sur la lancée du 1 avec des beaux manoirs gothiques et des gros Grim Reaper stylés, ils ont préféré mettre des tanks zombies (?) dans des vieilles rues ternes.

Le plus gros soucis c'est le gameplay, le flingue est giga cheaté et on spamme le même bouton pendant tout le jeu.
L'auto-lock aussi sacrée idée de merde, des fois tu veux taper un interrupteur mais si y'a un ennemi pas trop loin il v'a l'auto-lock direct sans que tu puisses rien faire...

J'ai pas trop aimé en gros.

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Fini le 23 Mai.

Ah bah là j'ai beaucoup aimé !

Super gameplay, les combos sont bien fun avec de bonnes sensations manette en main et le jeu ne manque pas d'epicness (le boss final top tier).

Rien à signaler, un très bon BTA 3D !

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Fini le 28 Mai.

ses godof war lol (nn mais vraimen!)

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Fini le 28 Mai.

Alors esthétiquement y'a des trouvailles de dingue (mais vraiment !) et une présentation globalement excellente (techniquement un peu à la ramasse mais ça je n'en donne pas un phoque) mais faut bien avouer que tout le reste bah c'est pas fameux fameux.

Je sais pas si c'est parce que y'a aucun boss (à part à la toute fin) ou bien parce qu'on fait toujours un peu la même chose avec un level design qui évolue sur la forme mais jamais sur le fond, mais j'ai trouvé le tout bizarrement assez plat.

Au final, je lui préfère assez largement American McGee's Alice plus impactant de par son ambiance et, j'ose le dire, de par son level design :X

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Fini le 1er Juin.

Aaaaah ça faisait tellement longtemps que je voulais le faire celui-là
Merci le PSN US !

Bon bah que dire...
Mélange entre RPG et Survival Horror, ce qui pourrait d'abord passer pour une simple gimmick donne tout simplement une identité folle au jeu.
Parasite Eve brille de par sa narration, ses musiques et son ambiance ultra personnelle.

Pour moi, la cohésion de ces trois qualités arrive lors du combat contre le boss final.
Je spoile rien mais waw.

Un grand jeu de l'épok !

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Fini le 26 Juin.

Du bien joué !

Déjà ça reprend plus ou moins l'esthétique et les idées de gameplay de mon Castlevania préféré (Castle' 3 ouais ouais ouais !) donc on part plutôt bien.
Et au final, on se retrouve avec un platformer ultra solide avec aucun véritable défaut notoire !

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Fini le 1er Juillet.

Difficile de le noter celui-là...
Je sais pas quoi trop penser de la fin même après y avoir longuement réfléchi.

Au-delà de ça, c'est du Danganronpa, le cast est sympa et les enquêtes globalement cool.

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Fini le 10 Juillet.

Chapeau pour le sound design les gars

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Fini le 11 Juillet.

House of the Dead avec les vampires
je cro

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Fini le 1er Août.

Vraiment très bien, franchement si je l'avais fait gamin il serait dans mon top 20 jv aujourd'hui.

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Fini le 24 Août.

Très bon ""zelda-like"" avec de superbes idées de game design (la lettre qu'il faut plonger dans l'eau).
Le gameplay un peu chelou demande un petit temps d'adaptation mais c'est un très bon jeu.

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Fini le 25 Août.

Un peu en dessous du premier opus malgré une promesse très alléchante de visiter plusieurs époques historiques.
Les déplacements sont tout de même améliorés par rapport au premier opus (8 directions contre 4 dans le premier jeu).
Je recommande.

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Fini le 6 Septembre.

Concept étrange mais très fun.

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Fini le 8 Septembre.
Fini avec la meilleure fin le 14 Septembre.

Excellente aventure bien qu'un peu courte (même à 100% au final), si le jeu avait une durée de vie bien plus conséquente on serait en face d'un ultime chef d'oeuvre.

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Fini le 22 Septembre.

Très déçu.
Vendu comme la "suite spirituelle" de Fran Bow, Little Misfortune n'en a ni le charme ni le génie.
On peine à trouver un réel intérêt au jeu, le truc se joue presque tout seul, c'est vraiment dommage vu le taff effectué sur le visuel.

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Fini le 7 Octobre.

Super fun, ultra référencé, généreux en clins d'oeil pour les fans de la série et EN PLUS le jeu est pas dégueu à jouer avec un système de combat qui fonctionne.

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Fini le 15 Octobre.

Jeu qui force le respect, je crois qu'ils sont que DEUX dans la team de dev.
C'est complètement dingue.