Cover Jouer, parfois, ça fait mal.

Jouer, parfois, ça fait mal.

Liste des marathons de l'enfer effectués au sein de la coloc. Pour qu'un jeu soit éligible, il doit posséder au moins l'un des trois critères :
1) Etre d'une difficulté effroyable
2) Etre nul à chier
3) Etre doublé par des acteurs en roue libre
Quelques critères ...

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14 jeux vidéo

créee il y a plus de 7 ans · modifiée il y a 28 jours

Hunted: The Demon's Forge
5.4

Hunted: The Demon's Forge (2011)

Sortie : 3 juin 2011 (France). Action, RPG, Aventure

Jeu sur PC, Xbox 360, PlayStation 3

Swzn a mis 4/10.

Annotation :

Le jeu par lequel tout a commencé. Le parfait cumul des 3 critères.

Deux nuits pour le torcher en difficulté maximale en coop, tout ça pour finir sur un sentiment d'enculade au verre pilé (la fin est exceptionnellement décevante après un boss de fin atroce) mais avec des souvenirs plein la caboche.

Entre les doubleurs sous Xanax qui nous ont plusieurs fois fait mourir de rire, quand ils n'ont tout simplement pas fait péter un plomb au troisième coloc qui s'enfilait Dark Souls à côté, les minotaures immortels, les Pnj et cinématiques buggués du cul, la technique de la marouflette complètement craqué grâce au gameplay foiré (quand on a trouvé que le guerrier pouvait faire léviter les ennemis à l'infini presque sans utiliser de mana en pressant triangle au bon timing, le jeu s'est transformé en un espèce de Duck Hunt infernal), ou encore ce boss de fin ignoble qui nous a pris quatre heures de notre vie avec ces one shots illégaux et ces squelettes sidaïques, c'était une putain de vraie aventure.

"Curieux ?" "Inhabituel." "Hmmm, c'est étrangeeeuh" "C'est plutôt ... inhabituel ?" "Hmmmmm, curieeeeeeux" "In-té-ré-ssant"
(Des véritables lignes de dialogues des persos, que l'on a appris à spammer à chaque énigme. Et encore, vous avez pas les voix des doubleurs avec. Des grands moments de jeu vidéo.)

Divinity: Original Sin - Enhanced Edition
7.8

Divinity: Original Sin - Enhanced Edition (2015)

Sortie : 27 octobre 2015. RPG, Stratégie tour par tour

Jeu sur PlayStation 4, Xbox One, PC, Mac, Linux

Swzn a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Après Hunted, on avait besoin de rehausser les standards.
Divinity et son mode tacticien, là ou tu peux mourir pendant le tuto, mais c'est plus humiliant de mourir juste à la sortie quand tu décides d'insulter deux gardes bourrés comme des coings et leur cabot.

56 heures de jeu en 5 jours consécutifs, le bootcamp de l'enfer, c'est à peine si on sortait chercher à bouffer. On finissait chaque session sur un combat où on se faisait péter le cul, et quand on reprenait après quelques heures de sommeil, on avait réfléchi pendant la nuit à la meilleur tactique à adopter, quitte à faire des putains de schémas sur des feuilles A4. Et il nous a fallu bien 60 heures de plus pour en voir le bout.

Mais en plus de ses combats punitifs, Divinity, c'est aussi la liberté d'un jdr papier. Tu sais jamais ce que tu vas foutre, que ce soit jouer au pilleur de tombes dans un cimetière, maraver un orc qui a eu le malheur de te demander de l'aide, ou voler et massacrer un village entier, c'est toi qui décide.

Et puis sinon, mur de glace sort le plus craqué du jeu, les flèches statiques qui nous ont sauvés plus d'une centaine de fois, les combats de boss monstrueux (j'ai encore des frissons quand on a du se faire le premier boss majeur sous une église et qu'il invoque quatre boss que l'on s'était déjà casser le cul à battre des heures plus tôt), Madora qui bossait comme une folle pendant les combats pendant que Gan se faisait dépop comme une bite à cause de ses spés merdiques, les chains stuns et freeze ou on priait pour que ça passe parce qu'au moindre fail l'ennemi nous one shotait, les rats qui n'ont jamais rien eu d'intéressant à dire avec cette spé de parole animale, les pierre-feuille-ciseaux pour décider qui a la plus grosse dans les dialogues ...

Après l'avoir fini, je peux confirmer deux choses : l'expérience globale est géniale en plus d'avoir une fin satisfaisante, et c'est sûrement le meilleur jeu auquel j'ai pu joué en coopération.

On s'est éclatés comme des malades, et putain cette dernière map de l'enfer, avec le tombeau aux énigmes insolubles parce qu'on avait pas assez de perception, Gan qui trouve enfin son utilité après avoir été un boulet qu'on a du porter pendant les 3/4 du jeu, le nombre de pièges à la con énorme, le jeu qui refusait qu'on le finisse en empêchant les PNJ de nous suivre et en faisant disparaître nos barres de compétences, les chevaliers de la mort intuables qu'on a du maroufler comme des batards, ...

Ce jeu putain, ce jeu.

Heart of Darkness
7.5

Heart of Darkness (1998)

Sortie : 31 juillet 1998. Plateforme

Jeu sur PlayStation, PC

Swzn a mis 7/10.

Annotation :

Une soirée et une matinée en difficile, 320 morts et quelques.

Tout ça pour enfin exorciser la frustration qu'avait engendré ce jeu étant gosse.Cette violence sur certains passages, les timings au poil de fion et les ennemis à invulnérabilité aléatoire, en plus de ce boss final en quatre ou cinq écrans bien casse-couille, mon dieu.

The Beast Within
7.7

The Beast Within (1995)

The Beast Within: A Gabriel Knight Mystery

Sortie : 1995 (France). Aventure, Point’n’click

Jeu sur PC, Mac

Annotation :

Gabriel Knight, ce blondinet qui squatte l'image de couverture de la liste, il a gagné cette place de choix grâce à son doublage du pif.

Plusieurs soirées perdues, dont un dimanche soir où le kebab du coin était fermé alors que notre alcoolémie était dangereusement basse pour jouer à ça. On l'a toujours pas fini, c'était trop pour nous, mais on s'est enfilé les trois-quarts.

Ces doublages de la poilade totale, les énigmes complètement perchées (notamment celle dans la rue avec le vendeur de coucou, putain mais ntm le jeu), le club de chasse bicurieux avec Monsieur Aromatique, le directeur du zoo nazi que Gabriel vole et arnaque dans une scène de l'incrédibilité la plus totale, les fanfics à la Twilight qu'on balançait dans le manoir à cause de cette musique de piano du drama, l'asiatique complètement bipolaire qui fait le tour du monde pour stalker son patron, l'homme tronc qui ouvre les portes qu'à moitié, et tellement d'autres pépites dans le wtf.

Terrible. Et franchement, je vous invite à aller voir sur le net la qualité des doublages, parce que c'est tellement mauvais que ça en devient parfait. Impossible d'imaginer le jeu sans.

Sacred 3
4.3

Sacred 3 (2014)

Sortie : 1 août 2014. Hack'n'slash, Action, RPG

Jeu sur PC, PlayStation 3, Xbox 360, Xbox One

Swzn a mis 1/10.

Annotation :

Putain cette honte, cette chiure sur ses aînés qu'est Sacred 3. Je l'ai eu pour une bouchée de pain dans un Humble Bundle, et franchement je regrette de posséder cette merde dans ma bibliothèque steam.

Deux soirées pour le terminer en difficulté max en coop. Deux soirées de difficulté buffée artificiellement et totalement à la zob, de non feeling et de mort cérébrale.
Et ce boss de fin. Mon dieu ce boss de fin. Il a tellement été mal codé que son attaque principale de deuxième phase passe au travers du joueur sans lui faire de dégâts.
Oui oui, en plus d'avoir des patterns bidesques, les rares fois où tu pourrais te faire toucher, tu ne te prends pas de dégâts. Dans un hack n'slash. En difficulté max. Sur le boss de fin.
On est morts qu'une seule fois dans le combat, au tout début parce qu'il peut te one shot si tu tapes ses doubles au lieu de lui. Mais bon, quand t'as compris où il se positionne c'est gagné, vu qu'il ne change pas de position. Mon dieu c'est ridicule.

Par contre, point fort du jeu, ces doublages de qualité.
Nn jdéconne, ils sont ignobles mais font bien rigoler. Que ce soit les héros dans les cinématiques sans budget ou les esprits compagnons que tu ramassés, c'est exceptionnel.
Mes préférés resteront l'esprit elfe qui chante super faux comme une abrutie ou le nain qui balance des noms communs au pif (Clef à Molette ! Conjonctivite ! Bulldozer !)

Du grand art.

Alien: Isolation
7.4

Alien: Isolation (2014)

Sortie : 7 octobre 2014. Action-Aventure, Infiltration, Survival horror

Jeu sur PlayStation 4, PlayStation 3, Xbox One, Xbox 360, Nintendo Switch, PC, Mac, Linux, iPhone, iPad, iPod

Swzn a mis 6/10.

Annotation :

5 ou 6 soirées consécutives passées sur cette horreur en mode cauchemar.

Alors ouais, y a pire comme jeu, ça c'est sûr. Mais une fois le kiff du premier quart passé, il devient atroce. Entre les aller-retours incessants, tout ça pour tourner les mêmes putains de poignées et activer ces générateurs de mes deux, et l'alien qui triche autant qu'un coréen sur Overwatch, tu la sens passer l'inspection rectale.

Après, une fois que t'as trouvé ta paire de couilles et que tu te mets à le suivre (car, comme a dit l'un de mes colocs : "Le seul endroit ou il peut pas te voir c'est dans son dos") en lui collant au cul, que tu ne rentre JAMAIS dans un casier et privilégie les tables pour te planquer, et que tu sais quand y aller en mode balek au lance-flammes, c'est une promenade de santé.

Jusqu'à un certain point. Parce que vers la fin, le game designer a craqué son slip, et ils ont viré le level designer. Et là, ça devient un véritable enfer, en témoigne ce putain de passage ou en quatre salles y a deux bornes de sauvegardes, merde même les devs savaient que ça allait être ignoble.
Franchement, si le jeu ne trichait pas, et s'ils avaient pas fait nimp avec le scénario pour étendre la durée de vie artificiellement, le jeu aurait été parfait. En l'état, c'est une machine à frustration.

Après, on s'est bien marré, c'est sûr. Les facehuggers randoms as fuck, Ricardo le planqué, nos théories ridicules sur le twist final vu le nombre inconsidéré de retournements de situation qui s'enchaînent, la mort de nos âmes quand tu dois te retaper toute la station pour marteler le bouton A sur un putain de générateur, les sorties en extérieur aka le simulateur de micro-sommeil, l'IA qui part en QI négatif vers la fin du jeu (ils ont du virer le codeur avec le level designer), ou encore pendant les deux dernières soirées, la certitude qu'après chaque cinématique on allait avoir les crédits, mais en fait non.

Alien Codename : L'histoire sans fin bordel de merde.

Borderlands
7.2

Borderlands (2009)

Sortie : 23 octobre 2009 (France). FPS, RPG

Jeu sur Nintendo Switch, PlayStation 4, Xbox One, PlayStation 3, Xbox 360, PC, Mac

Swzn a mis 5/10.

Annotation :

Au bout d'un moment, la mort cérébrale est quand même présente, heureusement que K. était là pour se perdre dans les décors avec son légendaire sens de l'orientation. On a mis deux soirées à le finir de fond en comble vu qu'on le connaît assez bien, vers la fin on était tellement fané qu'on courait au milieu des maps pour aller de zone en zone sans tuer les ennemis.
Ah, et le end game est triste à pleurer, avec le boss de fin le moins utile de l'histoire du jeu vidéo et quatre DLC plutôt merdiques quand on y pense.

La plupart des défauts sont corrigés dans le deux, et heureusement d'ailleurs, parce que malgré la nostalgie, Borderlands premier du nom est vide à en crever.

Vanquish
7

Vanquish (2010)

Sortie : 22 octobre 2010 (France). Action

Jeu sur PlayStation 3, Xbox 360, PC, PlayStation 4, Xbox One

Swzn a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Terminé en difficile en deux jours, un gameplay nerveux, viscéral et méga fun, un scénario totalement con et cliché mais parfaitement assumé.
Et surtout, de la bagarre.
Plein de bagarre.
BAGARRE.
On a été conquis ; c'est juste assez dur pour être un minimum challengeant, mais pas assez pour être une totale purge. Le boss de fin est un vrai boss de fin, tu casses des robots géants qui font pleuvoir des centaines de missiles à l'écran, t'as une touche pour fumer des clopes, tu te bats contre des T-1000, tes alliés sont inutiles, tu peux mettre les voix japonaises pour plus d'epicness ou de ridicule à toi de voir, c'est jamais chiant, banco.

Rise to Honour
5.7

Rise to Honour (2004)

Sortie : 7 avril 2004 (France). Action

Jeu sur PlayStation 2

Swzn a mis 2/10.

Annotation :

Splendide exemple des trois critères : des doublages terrifiants, une difficulté incohérente et stupide, le tout dans un jeu profondément médiocre.

Maintenant, ajoute un gameplay sûrement pensé par un débile profond croyant avoir inventé l'eau chaude, et t'as une petite idée de la purge que c'est. Est-ce que t'as déjà vu un beat-them-all dans lequel tu frappes uniquement avec le stick droit ? Moi non plus, mais maintenant j'en connais la raison. Pourquoi ils ont mis à la fois parer et effectuer des actions contextuelles sur R1 ? C'est génial comme idée, du coup dans les scènes de poursuite une erreur de timing et ton mec se fige pendant une seconde, game over direct. Vraiment, pour contrer faut faire R1 + L1 + la direction d'où vient le coup au stick ? Et ce sera tout enculé, tu veux pas rajouter d'autres boutons histoire d'être sûr ? Pourquoi frapper avec des armes brûle la barre de fureur tellement qu'au bout de trois coups tu peux plus taper, du coup le temps de capter ça face à six ennemis t'es crevé ?
Et on en parle de la caméra aux fraise que tu peux pas régler ?

Tu cours d'arènes en arènes en cassant des ennemis cons comme des briques mortes, plus dangereux que les boss abusables en un seul pattern, parfois y a une scène de fusillade ou tu fais n'importe quoi mais ça passe vu que le bullet time se régénère en deux deux, et parfois tu galères parce que les ennemis prennent trois plombes à mourir et te tuent en deux coups. Y a des phases d'infiltration ou tu peux te mettre juste à côté du garde et lui souffler dans les oreilles, du moment que t'es pas dans le faisceau de la lampe torche ça passe, et y en a d'autres ou les types te grillent à travers des murs (roflmao le passage de l'égout vers la fin, l'infiltration rectale, et t'enchaînes avec une arène injustement difficile tellement longue qu'on croyait que les ennemis venaient à l'infini)

Les combats sont soi-disant chorégraphiés par Corey Yuen, bah putain, tu peux pas nier la maîtrise du mec quand t'es en train d'abuser un groupe d'ennemis en bourrant les saltos contre les murs ou quand la physique improbable des corps provoque des réactions en chaîne défiant les lois de la gravité. C'est une expérience à vivre, vraiment. Tu peux pas ne pas rire hystériquement en constatant le bordel.

Sinon, y a la voix du Beau Jack qui double un boss. Comme quoi, y a certains boulots alimentaires plus honteux que d'autres.

Furi
7.5

Furi (2016)

Sortie : 5 juillet 2016. Beat'em up, Shoot'em up, Inclassable

Jeu sur Nintendo Switch, Xbox One, PC, PlayStation 4

Swzn a mis 8/10.

Annotation :

Fini en 6:40, 171 morts, rang D, difficulté Furi pour le premier try.
Putain c'est quelque chose, je vais aller tâter du mode speedrun et de la difficulté max, et je reviendrai commenter la qualité de cette sodomie au verre pilé.
Fini en 1:45:43 en mode speedrun, putain le boss final est ATROCE BORDEL A CUL.

J'abandonne pour l'instant la difficulté Furier à The Scale, pour la simple et bonne raison que je ne vois strictement rien. Après avoir crevé une bonne cinquantaine de fois sur The Line à cause du orange sur orange, j'arrive tout simplement pas à voir le vert sur le vert. Autant en Furi ça passe vu que les patterns sont très simples, mais dès qu'il me sort ses murs, impossible de capter où ils commencent/finissent assez rapidement pour bien timer l'esquive (la dernière phase en devient limite impossible physiquement).

Sinon le jeu reste excellent. B-A mais de malade mental, graphismes bien stylés, nerveux, difficile, mes seuls vrais reproches étant le faible nombre de boss (bien que la difficulté Furier change complètement le rythme des combats vu les nouveaux patterns pétés) et surtout le game design d'un boss en particulier, The Line, que je trouve juste déplorable. Ce putain de vieux passif avec sa première phase de l'ennui le plus total, sa dernière phase de l'atrocité même, et ses phases du milieu interminablement merdiques, le pire étant de se retaper tout le combat à chaque mort. J'ai du me le faire entre cinquante et cent fois, et je hais ce boss de toute mon âme. Heureusement que les autres combats sont tous très très bons, avec une préférence pour The Song (l'ambiance et la musique juste parfaites) et The Edge (ce combat au Cac chaud du cul mais tellement gratifiant quand t'arrives à le démonter en moins de cinq minutes sans perdre de vie vu que les patterns sont rentrés dans ta mémoire musculaire ahah)

Cuphead
7.9

Cuphead (2017)

Sortie : 29 septembre 2017. Plateforme, Action, Shoot'em up

Jeu sur Xbox One, Nintendo Switch, PlayStation 4, PC, Mac

Swzn a mis 7/10.

Annotation :

C'est joli, y a de la bonne zik (qui devient néanmoins vite pète-couille quand tu retry un boss pour la cinquantième fois), et même si les esquives partent parfois malgré toi c'est bien maniable.
Par contre putain ce sentiment de désespoir face à certains boss, t'as l'impression que t'en verras jamais le bout vu le manque de feedback sur tes coups. Alors oui ça clignote un peu, mais quand tu pleures du sang sur une phase moisie du cul t'aimerais bien savoir quand le calvaire va se terminer. Mention spéciale à cette gorgone de mes deux qui m'aura bien tapé la moité de mes morts totales.

Ah, et le random dans les patterns ça devrait être interdit, notamment tout ce qui touche aux plateformes (c'est toi que je vise dragon de merde, et toi aussi abeille nulle).
Là je suis stoppé à King Dice, ça fait un bail que j'ai pas joué, j'ai plus les réflexes, et j'ai pas la force de m'y remettre vraiment vu que je m'amuse pas des masses dessus, du coup jsais pas si je le finirai un jour.
C'était marrant, mais pas aussi fun que j'espérais en fin de compte, dommage.

Renowned Explorers: International Society
7.5

Renowned Explorers: International Society (2015)

Sortie : 2 septembre 2015. Aventure, RPG, Stratégie tour par tour

Jeu sur PC, Mac, Linux

Annotation :

Parce que se taper une run de trois heures dans laquelle t'as démonté des gorilles géants, des pirates, des contrebandiers, des cultistes, des vampires, des loup-garous, t'as pillé les richesses de la moitié du monde connu, Dracula a rejoint ton équipe, t'as trouvé la main de Charlemagne, tout ça POUR TE FAIRE TUER COMME UNE MERDE AU DEBUT DE LA DERNIERE MAP PAR SIX CHATS QUI FOUTENT LE BORDEL DANS UN MAGASIN DE TAPIS, ça, ça n'a pas de prix les amis.

Ahh les rencontres aléatoires et les roguelikes avec permadeath, un plaisir sans fin.

Dicey Dungeons
7.2

Dicey Dungeons (2019)

Sortie : 13 août 2019. Roguelike/Roguelite, Stratégie tour par tour

Jeu sur PC, Mac, Linux, Nintendo Switch, Xbox One, Xbox Series X/S, Android, iPhone, iPad, PlayStation 4, PlayStation 5

Swzn a mis 6/10.

Annotation :

Sous des graphismes en mode tout mignon présentant des ennemis peu menaçants se cache un jeu dur à crever dès qu'on s'attaque aux runs avec modificateurs, certaines étant juste d'une cruauté sans nom. Au bout d'un moment, chaque ennemi devient un run killer potentiel pouvant te faire retourner au menu principal en trois tours.

C'est un putain de jeu de gestion du risque où l'aléatoire te quiche en permanence, mais c'est bien fait, rapide, amusant, et malgré le peu de diversité des équipements ils se combinent bien entre eux ce qui te permet de faire des bons builds bien débiles - l'ingrédient nécessaire à tout rogue-like/lite qui se respecte.

Wanted: Dead
4.9

Wanted: Dead (2023)

Sortie : 14 février 2023. Action, Beat'em up

Jeu sur PC, PlayStation 4, PlayStation 5, Xbox One, Xbox Series X/S

Swzn a mis 5/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Dès le début, avec les cinématiques montées par un cocaïnomane, le voice acting aux fraises et l'écriture plus aléatoire que ChatGPT, tu sens que t'arrives dans quelque chose de grand.
Et ensuite, tu douilles. Putain, qu'est-ce que tu douilles.

Wanted : Dead est super dur, et il n'est pas rare que la moindre inattention te coûte l'entièreté de ta barre de vie. Chaque nouveau type d'ennemi est plus chiant que le précédent (j'ai encore un ptsd de ces putains de ninjas des enfers avec leur moveset horriblement dur à contrer), et surtout encore plus tanky, ce qui t'oblige pour leur faire de réels dégâts à gérer les timings de parry plus serrés que ton fion quand tu te rends compte à quel point les sauvegardes autos sont éloignées les unes des autres (il est évidemment impossible de sauver manuellement, sinon ce serait trop facile).

Tu dois feinter les ennemis, tu dois maroufler en faisant mongoliser leur IA avec les grenades incendiaires quand tu les coinces contre un mur, tu dois dans les difficultés supérieures littéralement spammer les attacks cancel into je leur dégomme la tronche au fusil mais pour ça faut jouer au clavier, et le problème c'est que tu as trop de touches avec lesquelles naviguer, les binds de départ sont horribles et tu ne peux rien bind sur ta souris...
Tout ça pour quand même une fois sur deux te faire arracher le cul parce qu'un ennemi a décidé de te cheeser à son tour, histoire de, et tu te fais violenter en moins de trois secondes.

Tu rajoutes des mini-jeux sans intérêt à part l'effet de surprise, un méchant le plus méchant de tous les méchants que tu vois moins d'une minute avant le combat final, des blagues douteuses, un scénar douteux, une musique de menu stylée et des musiques de niveaux atroces, et un level de fin à s'en péter un AVC.

Mais bordel, tu te rends compte, une fois les huit heures grand max du jeu bouclées, que tu te relancerais bien une partie en Japanese Hard parce que le gameplay sur le moment, quand tu le maîtrises et que tu passes outre toutes les bullshiteries, est ultra satisfaisant.

Swzn

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