Journal de bord 2015 (Jeu vidéo)

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Terminé (20/01/2015)

Le jeu qui montre que Telltale n'a pas commencé à avoir du talent avec The Walking Dead, en reprenant avec succès une licence culte du début des 90s.

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Terminé (20/01/2015)

Le jeu qui fait plus que confirmer les bonnes impressions du premier épisode en envoyant ses héros, un chien flic et un lapin psychopathe dans un studio où ils seront tour à tour personnages de sitcom, cuisiniers, chanteurs et candidats de jeu télévisé.

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Terminé (23/01/2015)

Le jeu qui, tout en restant éminemment sympathique, est clairement un ton en-dessous des deux épisodes précédents, à cause d'un rythme moins bien maîtrisé. Espérons que ce ne soit qu'un creux de mi-saison.

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Terminé (25/01/2015)

Le jeu qui est une parfaite représentation de la guerre du point de vue des civils, et qui prouve pour le coup que la guerre n'est pas un (bon) jeu. Le gameplay simplissime et répétitif vient donc offrir une expérience unique, même si le potentiel de rejouabilité du titre en prend un sacré coup dans les lampions.

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Terminé (02/02/2015)

Le jeu qui voulait être Dark Souls en plus beau et qui a failli réussir son coup. Malgré un aspect visuel réussi, un level design de qualité et une ambiance plutôt sympa, le jeu est plombé par un gameplay d'une lourdeur affreuse ainsi que de bugs impardonnables. Pour qu'un jeu soit aussi punitif, il faut qu'il soit irréprochable (et donc que toute erreur vienne du joueur, comme on peut le voir dans DS), ce qui est loin d'être le cas de ce Lords of the Fallen. À suivre tout de même, on est pas passés bien loin de la grosse surprise.

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Terminé (03/02/2015)

Le jeu qui rassure après un premier épisode quelque peu décevant. L'histoire prend forme et les personnages se distinguent enfin de leurs modèles Stark ; à voir maintenant si les choix, difficiles, auront un impact suffisant sur la suite des événements. Un léger défaut, dû au nombre de personnages, est la courte durée de certaines scènes ; on passe d'un protagoniste à l'autre parfois un peu trop rapidement, ce qui fait perdre en tension à l'histoire ce qu'elle gagne en rythme.

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Terminé (04/02/2015)

Le jeu qui vous aguiche avec un concept original, vous accroche avec une ambiance réussie, vous déçoit par son intrigue timide et se fout franchement de votre gueule en prenant fin au bout d'1h30. Pour un jeu à 20 €, c'est quand même sacrément limite.

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Terminé (13/02/2015)

Le jeu qui prouve que mon amour pour BioWare dépasse mon dédain pour Star Wars. Je n'aime pas les films (ma plus haute note doit être 5 pour L'Empire contre-atttaque), ni la multitude de produits dérivés. Pourtant, la machine à fric de Lucas aura au moins accouché d'un des meilleurs RPG des années 2000 avec ce KOTOR, qui vieillit comme le bon vin. Très bien écrit, varié, rythmé, avec un gameplay efficace (malgré une IA aux fraises), KOTOR demeure une référence, et sert de base à la tuerie que sera la trilogie Mass Effect.

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Terminé (05/03)

Le jeu qui pourrait réconcilier n'importe qui avec la stratégie tour par tour, grâce à un gameplay en deux temps de grande qualité (gestion de la base et opérations sur le terrain) et un background solide. Exigeant et excellent.

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Terminé (12/03)

Le jeu qui ressuscite la licence Dragon Ball, orpheline d'adaptations de qualité depuis 2007 et Budokai Tenkaichi 3, de bien belle manière. Si tout n'est pas parfait, loin s'en faut (lancement multi catastrophique, jouabilité simplifiée, difficulté étrangement dosée, arènes peu variées et peu destructibles, RNG qui prolonge la durée de vie de manière artificielle), ce jeu de combat à la sauce MMO est tout de même un must have pour tous les amateurs de la saga de Toriyama. Son scénario ne casse peut-être pas des briques, mais il est l'occasion de mener des combats absolument épiques et de prendre des libertés avec le background de DBZ sans le trahir.

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Terminé (16/03)

Difficile de trouver les mots pour décrire ce Ori, petite pépite sortie de nulle part. Sublime, poétique, touchant, inspiré, varié, exigeant, dynamique, tout cela et bien plus pour ce jeu qui réinvente à merveille le metroidvania. Ori n'a que le défaut des grands jeux ; dix heures en sa compagnie est un rêve bien trop court.

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16/03

Le jeu qui tente d'aller chercher Telltale et Quantic Dream sur leurs terrains respectifs et n'y parvient qu'à moitié. Ce premier épisode, bien que plutôt prometteur, n'a pas la qualité d'écriture du premier ni l'accroche narrative du second, et ses limites techniques (un Unreal Engine 3 à la ramasse, notamment en ce qui concerne les expressions faciales) pèsent sur l'expérience de jeu. Pourtant, ce drama temporel aux allures de Twin Peaks est franchement intrigant, et pourrait prendre de l'épaisseur si sa suite passe un palier. Réponse le 24 mars.

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19/03

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(Rerere...)terminé (24/03)

Refaire un jeu culte n'est pas sans risque. Pourtant, dès les premiers gunfights, on constate que Max Payne n'a rien perdu de son efficacité. La vendetta ultra-violente de ce mélange de Bogart et de Chow Yun-Fat dans un New-York enneigé reste encore aujourd'hui une référence du TPS. Max Payne est un précurseur, et pas seulement pour son bullet-time aussi simple qu'efficace, et demeure tout à fait jouable près de quinze ans plus tard, ce qui n'est pas peu dire pour un jeu d'action.

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Terminé (24/03)

L'épisode qui lance véritablement le Game of Thrones de Telltale. Après un premier chapitre largement introductif et un second plus prometteur, bien qu'encore un peu timide, The Sword in the Darkness a l'effet des meilleurs épisodes du studio ; on en sort bousculé avec l'impression d'avoir fait les pires choix imaginables. Les bases sont posées pour une fin de saison exceptionnelle.

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(Rerere...)terminé (26/03)

Max Payne 2 reprend les excellentes bases du premier volet, avec cette fois un budget digne de ce nom, en témoigne une amélioration visuelle notable (notamment dans le chara design). Meilleur dans son exploitation du thème "film noir", MP2 est une merveille de gameplay, d'ambiance, de scénario. Seule sa durée de vie, ridicule (comptez moins de cinq heures pour arriver au bout), est une réelle déception.

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Terminé (07/04)

Successeur annoncé de Baldur's Gate, Pillars of Eternity fait honneur à son ancêtre avec une aventure dense, une écriture de qualité et un gameplay exigeant. Le jeu n'est pourtant pas exempt de défauts ; techniquement un peu à la traîne (comparé à un Divinity Original Sin produit dans des circonstances similaires), le jeu est surtout pourri par un nombre incroyable de temps de chargement qui viennent forcément casser le rythme et l'immersion.

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07/04

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Terminé (29/04)

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Terminé (13/05)

Quand les créateurs de l'ultra bourrin Serious Sam se mettent au puzzle-game métaphysique, ça envoie du lourd. Réflexion extrêmement pertinente sur l'humanité, la robotique et la théologie, The Talos Principle n'en oublie pas pour autant d'être un jeu intelligent aux mécaniques parfaitement rodées. Excellent.

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Terminé (16/05)

Une fois dépassées les quelques maladresses dans le gameplay, The Witcher 2 s'avère supérieur à son aîné à quasiment tous les points de vue. Joli, bien écrit, le RPG de CD Projekt offre une aventure intense dans un monde adulte et original.

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Terminé (18/05)

Que dire de ce Half-Life 2, attendu durant de longues années comme le messie. Je m'en étais rapidement lassé à l'époque, devant une certaine répétitivité du titre. Si je suis cette fois allé au bout, ce sentiment n'a pas disparu ; le jeu a des qualités, principalement narratives, mais on fait globalement la même chose du début à la fin, devant un nombre très réduit d'ennemis. Et oui, sous ses airs de "messie", HL² demeure un shooter assez banal, linéaire et ultra-scripté ; trop peu pour un soft qui devait redéfinir le FPS solo. Y rejouer onze ans après permet pourtant de constater que le moteur Source (encore employé aujourd'hui) est décidément increvable.

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Terminé (26/05)

Un iota en-dessous d'un très bon épisode 3, GoT souffle encore le chaud et le froid et demeure inférieur à la claque monumentale qu'est le Tales from the Borderlands. On y croit pour cette fin de saison, mais on reste franchement en-dessous de l'investissement émotionnel d'un Walking Dead.

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Terminé (29/05)

Enfin ! Enfin Life is Strange dépasse ses (nombreux) défauts pour assumer ses thématiques ; enfin le voyage temporel prend sens, au terme d'un troisième épisode bien meilleur que les deux premiers. Si les personnages sont toujours un peu crispants, si les dialogues ne sont pas toujours très fins et si les expressions faciales nuisent franchement à l'immersion, le dernier quart d'heure de l'épisode peut enfin changer cette jolie promesse en un excellent jeu. Ne reste qu'aux développeurs de DONTNOD d'assumer pour de bon la direction que prend la série au lieu de s'en évader avec une pirouette ; réponse au prochain épisode.

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Terminé (11/06)

Ça a été assez dit, The Witcher 3 est un jeu incroyable, qui va faire date dans le RPG open world. Visuellement magnifique, bien rempli, excellent dans l'écriture (et pas seulement en ce qui concerne la quête principale), le troisième volet des aventures de Geralt de Riv confirme enfin tout le potentiel de la série. On peut lui reprocher un abus de la fonction "sens de sorceleur" qui va nous faire passer une bonne partie du jeu à bourriner sur la touche LT ou un moteur physique qui rencontre des ratés (notamment dans les intérieurs exigus), mais ce serait vraiment pinailler. L'un des jeux de l'année, sans aucun doute.

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Terminé (21/06)

Darksiders est un croisement assez improbable entre God of War, Zelda et même Portal dans sa dernière partie. Bourré d'influences, et pas les pires; le jeu de Vigil Games les traite avec respect. Bourrin et inventif, le jeu n'a besoin que d'un petit coup de SweetFX (sur PC en tout cas) pour régler ses problèmes de textures et d'aliasing et demeurer très joli encore aujourd'hui. Alors pourquoi seulement 7 ? Déjà, pour sa trame scénaristique faiblarde (on aura du mal à retenir cet argument contre un beat 'em all, mais ça mérite d'être noté). Mais surtout pour son manque de supplément d'âme, le petit truc qui en fait Darksiders et pas juste la somme de très bons ingrédients. Bon, mais peut mieux faire.

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Terminé (22/06)

Que dire de ce Ground Zeroes qui n'ait pas été dit ailleurs ? Prologue à la future probable tuerie The Phantom Pain, cinquième épisode classique de la série (et vraisemblablement le dernier), MGS : GZ laisse pour le moins mitigé. Entre 1h et 1h30 de jeu pour une première session, en excluant les cut-scenes, c'est évidemment bien trop peu pour un jeu vendu 20 €. Chopé à moins de 5 € pendant les soldes Steam, la pilule passe déjà beaucoup mieux, bien que le jeu aurait sans doute dû être inclus d'une manière ou d'une autre dans TPP. En dehors de son format extrêmement frustrant et franchement malhonnête, Ground Zeroes annonce un retour aux sources après un épisode 4 plutôt décevant et pose des bases très solides pour l'un des jeux les plus attendus de l'année, et sans doute le dernier MGS de Hideo Kojima.

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Terminé (23/06)

C'était quasiment certain, c'est désormais officiel, Tales from the Borderlands est le meilleur Telltale de l'année. Si le Game of Thrones ne démérite pas, les aventures de Rhys, Fiona et toute leur petite troupe est une petite merveille de rythme et d'humour, pleine de respect envers l'univers des jeux de Gearbox et une audace folle dans l'écriture.

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Terminé (26/06)