Journal de bord 2016

Annotation :

01/01/2016

Annotation :

Une première réalisation pas si mauvaise, pour peut qu'on adhère au style du bonhomme. A revoir plus tard dans l'année.
♡
03/01/2016

Annotation :

Si dans l'ensemble les enquêtes étaient reléguées au 2nd plan lors de la saison 3, l'ensemble, fort de ses 3 épisodes, tenait la route. Ici, ce n'est pas tant un spin off qu'un entre-deux, un amuse-bouche de la prochaine saison. Seulement, il n'a pas à son crédit la force et la cohérence d'une pleine saison.

L'enquêteur est ici plus faible que jamais puisque la clé de la résolution de l'enquête, évidente pour le spectateur, peine à être perçue. Tout comme lors de la précédente saison, l'intrigue policière ne sert plus qu'à servir l'évolution de la relation entre les personnages. On a davantage le droit à un développement de l'interdépendance entre le détective londonien et son assistant, notamment le conditionnement de Sherlock par le personnage qui est dépeint dans les récits de Watson. Comme l'enquête est un peu faiblarde, on nous sert un Moriarty-ex-machina, se voulant contenter les fans. Et c'est ici tout le mal qui est à prévoir pour la suite de la série, une simple histoire dont les instants sont servis pour contenter les adolescents observant l'arrogance et l'écriture trop évidente des personnages.

Si la saison 3 essayait de renouveler la série suite à la coupe du fil rouge des deux premières saisons, elle marquait un aveu d'échec avec la scène finale. Ce choix curieux plaçait les scénaristes dans une position délicate de devoir continuer tout se trainant le poids du personnage de Moriarty, comme s'ils n'assumaient pas leur choix de la fin de la saison 2. La tâche devant être trop lourde, cet épisode l'amorce pour ne pas faire de la saison 4 l'esclave de ce choix.

Les twists des épisodes finaux des saisons 2 et 3, bien qu'inoubliables, semblent être synonymes d'une saison future qui peine à exister pour ce qu'elle est.

04/01/2016

Annotation :

Un sentiment d'avoir vu un remake des précédents films pour faire avancer un chouïa l'histoire. Vous me direz que c'est le principe de la saga d'utiliser les mêmes codes.
La matérialisation des activités paranormales est de moins en moins subtile, en même temps cela coïncide avec la renaissance de l'esprit donc cela se justifie. Les plans laissent apparaitre trop d'éléments à l'écran, on ne sait plus quoi regarder, rendant le tout illisible. Ces deux remarques trouvent peut-être une justification dans l'utilisation de la 3D.
PS: La moralité de cette saga, c'est que les vidéastes sont les cibles préférées des esprits.

04/01/2016

Annotation :

Qu'il est compliqué d'être un film ayant pour principal sujet tabou ou du moins de le vendre comme tel. On s'attire aussitôt la foudre des spectateurs jugeant le procédé trop aisé et faussement subversif, voulant se payer un film pour ce qu'il n'est pas forcément.
Cf: Nymphomaniac

05/01/2016

Annotation :

On dit souvent que la meilleure œuvre d'un artiste est la première, elle serait la plus inspirée.
Ce film retranscrit l'apport personnel du réal conférant à l'ensemble un réalisme, une vérité.
En tout cas, l'identification au personnage fonctionne en ce qui me concerne.
Et puis il y a aussi le charme d'une mise en scène devant faire avec le principe de réalité d'une première production.
♡♡
06/01/2016

Annotation :

06/01/2016

Annotation :

J'ai un peu l'impression que le film passe à côté de son sujet ou alors que je suis passé à côté du film.
C'est peut-être le fait de l'avoir regardé suite aux autres films, qui puisaient davantage sur l'expérience personnelle du réal.
Une fois de plus l'histoire est un prétexte à voir des personnages brailler. Et puis c'est très long.
Alors je ne sais pas si c'est le sujet qui m'inspire moins, mais je suis resté de marbre.
A retenter dans quelques mois.

07/01/2016

Annotation :

D'aucuns trouveront qu'il ne se passe rien, mais l'ambiance, et plus particulièrement le changement d'ambiance et de genre, la narration par le cadre et la durée raisonnable du film rend l'ensemble agréable.
La tension invisible entre les personnages, probablement héritée de la pièce dont le film est adapté, amène à de multiples interprétations.
A voir ce que ça donnera pour l'adaptation de Jean-Luc Lagarce

07/01/2016

Annotation :

J'ai comme l'impression que ses films ont pour principale cible la jeune adolescente qui se scarifie la peau et aime conter son énième tentative de suicide. C'est davantage une remarque sur l'ensemble de sa filmographie plutôt qu'un jugement sur ce dernier.
Encore une fois, c'est peut-être le fait d'avoir fait une rétrospective étalée sur 3 séances qui confère ce sentiment.
PS: J'en ai plein mon cass' de s't 'accent là
♡
08/01/2016

11/02/2016

Annotation :

Un feel-good-movie pas très inspiré

10/01/2016

Annotation :

Le pinard, ça devrait être obligatoire !

12/01/2016

Annotation :

Plus débile, tu meurs.

12/01/2016

Annotation :

La vision 28 semaines plus tard de Cabin Fever

13/01/2016

Annotation :

Cet homme achète beaucoup de provisions pour un célibataire, c'est surement un criminel

14/01/2016

Annotation :

Je ne vois toujours pas le rapport avec le créateur de MegaUpload

14/01/2016

Annotation :

Je ne m'attendais pas à une comédie triste.

17/01/2016

Annotation :

Start-up
+ Je suis vieux mais pleins d'expérience
+ J'incarne la contre-culture masculine dans ce monde de fiotte
+ Le monde n'aime pas les femmes entrepreneuses
+ Un tel mode de vie est incompatible avec une vie de famille
+ Une scène affligeante d'effraction avec DeNiro en chef de gang

17/01/2016

Annotation :

18/01/2016

Annotation :

Les films d'animation construits uniquement autour de gags ce n'est toujours pas mon truc. L'effort de caser quelques références culturelles pour contenter les parents accompagnant leurs marmots est appréciable. Sans ça, c'est d'un vide abyssal, du vent construit pour préparer les générations future à un gavage consumériste, un peu comme LEGO la Grande aventure.
Techniquement l'animation est pas mal, un beau rendu de l'eau.

20/01/2016

Annotation :

L'introduction de toutes les thématiques présentes dans les prochaines aventures du personnage.
Un film tellement généreux et audacieux que ce premier James Bond de l'ère Daniel Craig.
♡♡♡
19/01/2016

Annotation :

Pas si catastrophique que dans mes souvenirs, mais clairement moins accessible que le précédent, celui-ci se contente de prolonger les pistes laissées par Casino Royale. Un miroir inversé néanmoins intéressant, une antithèse.
Si on ajoute à ça, un petit problème de lisibilité quant à l'action qui est filmée quasi exclusivement en gros plan, on se retrouve avec un volet passable mais pas catastrophique.

21/01/2016

Annotation :

Un épisode de transition plus que sympathique avec la mort de certains éléments et le retour anecdotique de certains autres tout en demeurant plaisant.
La thématique d'un héros vieillissant à l'intérieur d'un nouveau monde est réussie tout comme celle de la figure maternelle pour le héros britannique. Un film rétro, mais pas vieux.
♡♡
22/01/2016

Annotation :

Ce doublage c'est... heu... comment dire...
Fuyez, ne perdez pas 1H40 de votre vie.

22/01/2016

Annotation :

Ce film est d'un ennui plutôt bien marqué.
En plus de réduire l'intérêt de Quantum, dont on pouvait penser qu'il s'agissait de la super organisation dépeinte dans Casino Royale, le film n'en fait rien, ou pas grand chose. Pire, ce melting-pot semble plutôt forcé alors qu'il pourrait être pertinent.
La relation entre Bond et le personnage de Waltz ne sert pas à grand chose et personnellement, je n'ai pas cru une seconde à la romance.
Et puis l'aspect post-Snowden est plutôt raté puisque n'ayant aucun impact sur l'agent au service de sa majesté.
Si même l'acteur, pour qui le rôle rapporte des millions, juge qu'il est souhaitable d'arrêter là, il vaut mieux l'écouter, prendre quelque temps pour mieux revenir.

23/01/2016

Annotation :

Pensez à bien lire le synopsis parce que ce film n'est pas forcément celui auquel vous vous attendiez; non le sujet du film n'est pas sur l'apport du studio dans l'industrie du jeu vidéo.
Une réalisation plutôt pas dégueux (avec un petit plan séquence), un jeu d'acteur maitrisé et sobre.
Quelques anecdotes sur le développement des jeux.
Le parti-pris de neutralité dans l'exposition des points de vue, afin de faire naitre le débat quant à l'influence des œuvres sur les gens, rend l'ensemble peut-être brouillon et cliché.
♡ pour Daniel Radcliffe
24/01/2016

Annotation :

Un thriller sympathique dans un huit-clos.

24/01/2016

Annotation :

Une formule à la Very Bad Trip plutôt convaincante si on aime le genre

25/01/2016

Annotation :

Bis repetita placent.

25/01/2016

Annotation :

Un doublage affreux.

26/01/2016