Journal de visionnage : 2019 (+ Avis)

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31/12 (vu au cinéma)

Pour mon dernier film au cinéma cette année, c'est pas une mauvaise sortie, le tout est appréciable, bien foutu, mais est beaucoup trop classique, tout ayant déjà été vu un paquet de fois, mais dans l'ensemble, ça fonctionne.

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30/12 (vu au cinéma)

Le charme du film précédent ne passe plus, et le film se retrouve à essayer de recopier son ainé en intégrant des éléments intéressants, mais mal exploités, devenant vite lourdingue, comme le grand-père qui ne comprend pas qu'il est dans un jeu. Ça se regarde sans problème, mais ça manque de qualité par rapport aux deux premiers, cela dit, l'ajout d'Awkwafina permet d'ajouter un chouia d'intérêt.

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28/12 (revisionnage)

Un film toujours aussi puissant, marqué par deux performances excellentes des deux Edward.

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27/12 (vu au cinéma)

Un film incroyable à tous les niveaux, c'est fou de voir ce genre de truc avec un si gros budget se ramasser de la sorte tout en restant ultra divertissant, un nanar à gros budget, ça ne se voit quasiment jamais. Y'a rien qui va dans ce film, à part la musique, mais elle n'est pas originale, et 2/3 acteurs qui essaient vraiment, comme Idris Elba qui se donne vraiment à 100% pour rendre son rôle minime intéressant. Mais les effets dégueulasses, les designs qui le sont tout autant, les effets non complétés aussi, les acteurs dirigés n'importe comment ("vas-y, fais le chat, ça passera"), l'absence de structure narrative, et quand le film essaie d'être comique, il se vautre méchamment (en même temps c'est pas avec Rebel Wilson et James Corden que tu vas te marrer). Mais paradoxalement, c'est une expérience unique qui est loin d'être désagréable, les numéros musicaux sont suffisamment bons pour faire passer le temps tout en observant tous les défauts, et le tout a une ambiance de cauchemar fiévreux qui laisse une empreinte indélébile sur le spectateur. Un film à regarder dans un état second si possible. Le meilleur moment pour le définir, c'est la première scène que partagent Dame Judi Dench et Sir Ian McKellen, et le regard qu'ils s'échangent.

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25/12 (revisionnage)

Tellement de choses à dire sur ce film, faudra sans doute que j'en fasse une critique. Bob Clark a mine de rien réalisé avec A Christmas Story et Black Christmas deux des meilleurs films de Noël qui soient, et pourtant difficile de trouver deux films plus différents. Black Christmas est l'un des films les plus malsains que j'ai pu voir. De la vue subjective très souvent utilisée pour nous mettre à la place du tueur, les appels plein d'obscénités qui montent crescendo dans le dégueulasse, le fait de ne jamais voir le tueur, si ce n'est un seul plan sur son oeil, l'absence, paradoxale pour ce qui est le père du slasher moderne, d'une vraie violence graphique, Clark préférant laisser l'imagination du spectateur faire le reste, on est sur un grand film d'horreur. Grand film d'horreur qui est surtout un grand film tout court, misant sur ses personnages, nombreux, mais ayant tous une personnalité distincte et non clichée, même pour les plus petits personnages, ce qui nous permet de nous attacher à eux, la chaleureuse ambiance des fêtes qui permet de jouer sur un contraste troublant, et enfin les thèmes abordés, qui pour 1974 sont quand même très en avance sur leur temps, notamment sur la question de l'avortement, qui est ici évoqué comme une banalité, mais qui dans le même temps prend peu à peu une place importante dans le film sans jamais entrer dans une discussion politique, ou tout simplement ce féminisme ambiant, Black Christmas nous montre des femmes qui aiment boire pour se saouler, qui aiment baiser par simple plaisir, en fait, il nous montre des femmes normales, ce qui pour l'époque était assez rare (et qui l'est encore aujourd'hui malheureusement). Puis sans spoiler, ce film contient ce qui reste une des scènes finales les plus malsaines que j'ai pu voir avec Gone Girl.

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25/12 (revisionnage)

Toujours aussi bon, les personnages, les situations, la nostalgies ambiante, la direction de Bob Clark, le film ultime de Noël pour passer un bon moment.

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24/12 (revisionnage)

Un revisionnage qui ne change pas trop ce que je pense du film, même si le twist sur le méchant est lourd, et la musique de Shakira et son intégrationd dans le film à gerber.

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22/12

C'est pas grandiose mais ça a du charme, et l'alchimie entre Rose McIver et le lambda est plutôt bonne, par contre faut se taper tous les clichés du genre, notamment le quiproquo et le menteur démasqué.

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22/12

Ce film pue les problèmes de riche, sauf que les personnages et leurs dilemmes moraux n'ont plus rien d'intéressant, et leurs interactions sont réduites au strict minimum. Mentions spéciales au cliché absolu du designer gay, saupoudré d'une couche de racisme, et au père new yorkais ultra lourd. Le seul truc vraiment bien est la rédemption de Simon.

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23/12

Je pensais que j'allais détester vu que ça concerne un gosse, mais en fait c'est vraiment accessoire à l'histoire, qui a un second degré beaucoup plus assumé que les deux précédents, et introduit de nouveaux personnages attachants, tout en offrant un mystère assez sympathique.

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19/12 (revisionnage)

En le revoyant j'ai beaucoup plus d'appréciation pour le film, qui s'il ne réinvente rien, est une entrée très divertissante dans la saga, approfondissant un peu plus le côté film d'aventure. Les révélations sur le passé de Han sont moins dérangeantes une fois qu'on les connaît, et la plupart des personnages sont intéressants, particulièrement Qi'ra (où est sa série Disney+ svp merci ?). Le gros problème du film, c'est qu'il aurait sans doute été meilleur si Ron Howard avait pu bosser dessus dès le début, ou bien si Lord et Miller avait pu finir leur film, parce que le boulot d'Howard est très bon, mais il reste encore quelques éléments qui je suis certain sont de Lord et Miller, notamment la révélation sur le nom de Han, qui serait sans doute mieux passée avec leur ton, qu'avec le ton semi sérieux qu'on a au final.

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18/12 (revisionnage)

Visuellement c'est assez beau, malheureusement pendant les deux tiers c'est du remplissage pour arriver au troisième acte dantesque, mais imparfait. Les personnages sont des coquilles vides à part Krennic, et ne sont là que pour crever au moment où ils ont accompli leur tâche, ce qui est ultra frustrant.

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18/12 (revisionnage)

Contrairement aux deux films précédent, il est "regardable". Il y a de bons moments dans le lot même si le tout va trop vite et que les duels sont absolument dégueulasses visuellement et tirent en longueur.

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18/12 (vu au cinéma)

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17/12 (revu au cinéma)

Deux ans après, je trouve le film encore plus réussi, son seul gros défaut étant pour moi quelques idées mal exécutées, comme la séquence sur Canto Bight et plus globalement l'arc de Finn et Rose, mais pour le reste, c'est magnifiquement filmé, l'écriture est excellente et apporte un tas de nouveautés bienvenues à la saga, et les combats sont excellents.

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17/12(revu au cinéma)

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17/12 (revisionnage)

Y'a rien qui va dans ce film, et les dialogues sont tellement magiques et les acteurs si mal dirigés qu'on entre presque dans le domaine du nanar tellement je chiale de rire, notamment tout ce qui tourne autour de la romance entre Anake et Padmin. Puis c'est triste de gâcher Christopher Lee pour se retrouver avec un des pires personnages de la saga.

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16/12 (vu au cinéma)

Très bonne découverte, ça pue la production de Spielberg des années 80 à tous les niveaux, ce qui est un compliment, les personnages sont attachants et le tout est très drôle en plus de proposer une belle aventure et délivrer un beau message.

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16/12 (vu au cinéma)

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16/12 (revisionnage)

C'est vraiment le maximum possible pour ce film qui alterne constamment entre le 2 et 3/10, 20 ans après sa sortie initiale, c'est toujours un énorme bousin, avec des dialogues pourris, aucun personnage intéressant (et la branlette sur Maul c'est bien, mais si on se base uniquement sur le film, il n'est rien à part un look cool), des acteurs dirigés n'importe comment, Jar Jar Binks, sans vie dans la réalisation, et surtout, le plus gros crime possible, c'est chiant comme la mort. Les seules qualités du film sont ses idées (ce qui ne veut rien dire vu leur exécution foireuse) et la diversité des locations, le reste, c'est purgesque à souhait.

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15/12

Ça commence mieux que le précédent, et semble prendre une direction plus sombre et part sur l'action direct, tout en s'étendant bien sur l'aspect fantasy de la saga, sauf que vu que les longueurs se trouvent au milieu du film, c'est long et chiant, et pas très intéressant non plus.

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15/12

Y'a rien à en retenir, une bonne aventure pour les gosses, mais à part ça c'est vide et pas très intéressant. Toujours mieux que la prélogie cela dit.

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14/12 (revisionnage)

Pour toutes ses qualités, le film souffre d'énormes problèmes de rythme, notamment tout ce qui se passe sur Endor, et toutes les scènes avec les Ewoks qui me donnent envie de me tirer une balle, j'ai passé toute ma vie à les défendre, mais je ne sais pas pourquoi, ça passe plus là. Le final entre la bataille spatiale et la scène du trône est parfait, mais faut en chier pour en arriver là, on sent le conflit entre la volonté de poursuivre le ton instauré par l'épisode V, et celle de ramener la saga à son public initial souhaité, les gosses, et ça donne un résultat un peu bâtard. Aussi la mort de l'Empereur est complètement conne, je chie sur celle de Snoke, je suis obligé de chier sur la sienne, il meurt comme un débile.

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14/12 (revisionnage)

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13/12

Je pense que tout a déjà été dit sur cette horreur qui ferait passer L'attaque des clones pour Jurassic Park, mais le voir de bout en bout, c'est une expérience unique, entre les dialogues entre wookies sans ST, le wookie qui a un orgasme en matant de la VR, Carrie Fisher totalement shootée, Mark Hamill surmaquillé pour cacher sa blessure, Harrison Ford qui préférerait crever qu'être là, c'est un grand moment de cinéma.

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13/12 (vu au cinéma)

Le film n'est pas si mauvais pendant ses deux premiers tiers, certes la subtilité est inexistante, certains personnages sont écrits avec les pieds, et on voit que des morts ont été coupées à la dernière minutes pour viser un public plus large, mais j'ai bien aimé tout ce qui tournait autour du personnage d'Imogen Poots. Le troisième acte par contre, c'est un des pires ramassis de merde que j'ai pu voir, le film part totalement en couilles, prend une direction surnaturelle qui n'était jamais teasée jusqu'à ce moment là, et la subtilité est négative, on a carrément un long monologue de méchant qui explique tout le plan et pourquoi la place des femmes est derrière les hommes, etc, puis on ne fait que s'enfoncer dans la stupidité la plus totale. On dirait que les scénaristes voulaient rappeler Get Out, mais le faire pour la femme, mais en mauvais, et le tout ressemble à un premier jet de script qui a été brusqué en production, donc j'ose espérer que c'est la raison pour laquelle c'est aussi mauvais.

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09/12

7/10 et pourtant le film est quasiment parfait, notamment lorsque les personnages sont vieux, où ça passe à une vitesse folle et fait passer énormément d'émotions. 3h30 qui filent ultra rapidement, avec un travail merveilleux sur le montage, surtout pour un film aussi lent. J'ai juste un problème avec le film, et il est de taille, c'est son casting. C'est paradoxal car c'est aussi la raison pour laquelle le film était aussi attendu, et les 3 acteurs principaux sont excellents, surtout Pesci qui est phénoménal, mais c'est la technologie autour de ces personnages qui m'a vraiment gêné. Pour Pacino et Pesci, c'est pas trop génant vu qu'il n'ont pas vraiment d'âge spécifique dans le récit, donc même si au niveau du travail postural, c'est pas top, ça reste accessoire, mais pour De Niro, c'est ultra distrayant, au point d'en devenir ridicule, quand il se fait appeler "Kid" par Pesci au début, j'ai pas pu m'empêcher de rire. Même au début du film, il n'a jamais l'air d'avoir en dessous de 50 ans, ce qui est ultra gênant, surtout qu'au niveau du physique, on voit avec l'absence de doublure qu'il fait bien son âge, notamment avec la scène ridicule de l'épicerie. Pour le personnage vieillit et moins ça devient gênant (à part les lentilles bleues qui puent le fake à des km), mais je trouve qu'utiliser un acteur plus jeune (Dieu Caprio évidemment, ou n'importe qui de talent) aurait permis de faire passer un cap non négligeable au film, c'est plus facile de jouer le vieux que de jouer le jeune, surtout quand pendant la majorité du film il est censé tourner autour de la quarantaine, il y a une certaine énergie que tu ne peux reproduire même avec le meilleur deaging du monde, et ça gâche un peu la performance de De Niro.

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08/12 (revisionnage)

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08/12

Je finis enfin la filmographie de Burton sur ce qui est sans doute son meilleur film depuis Big Fish, on ressent enfin de la passion derrière ce projet, et derrière toutes les références aux films de monstres qu'il balance à tout va, on ressent des émotions, et puis le climax est vraiment drôle.

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08/12

Je m'attendais à largement pire, au final c'est presque plaisant, ça passe vite et Eva Green est excellente, mais qu'est-ce que Depp est insupportable avec cette tête. Le film réussit à être assez drôle par moment, mais il lui manque clairement une âme, Burton s'auto parodie à mort.