L'Odyssée d'un joueur PC solitaire

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Le jeu par lequel mon odyssée a commencé et par lequel j'ai connu Steam : le célèbre marchand/ville de passe/refuge pour les joueurs PC. Et sans doute le jeu sur lequel j'ai pratiqué le plus de parties solo ou multi : les multiples salles de test créatives, Glados et son humour sarcastique, le Portal Gun, les parties en Multi local avec ses multiples tranches de rire...

Un immanquable pour tout joueur PC ou console qui veut s'essayer aux jeux réflexifs.

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Mon premier jeu PG-18 alors que je n'avais 15 ans et aussi la porte d'entrée vers l'une de mes sagas préférés d'antan. Et même si j'ai délaissé par la suite ces jeux (la faute à Ubisoft qui a tenu à traire la vache jusqu'à saturation, je garde un bon souvenir de cet épisode précis).

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Le point de rupture entre moi et la série de jeux (et même avec Ubisoft, quand j'y pense) ; il fut aussi le jeu qui me fit comprendre la nécessité de faire évoluer mon matériel pour pouvoir continuer à pratiquer le jeu vidéo tant je galérais à l'époque à ne serait ce que passer la zone tutoriel...

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A l'époque, j'étais loin de me douter que ce jeu n'était qu'un pot-pourri de divers licences ou sagas pas forcément réfléchi et cliché... Et pourtant, j'ai pris un certain plaisir à parcourir encore et encore cette île sauvage. La prise de conscience n'arriverait que plus tard...

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Le jeu de la remise en question sur ma pratique du jeu ; et quel jeu, bon sang ! Un modèle d'action RPG qui a redistribué les cartes dans plus d'un domaine et qui fut des plus marquants à faire malgré quelques maladresses.
Le constat était clair, il me fallait commencer à sortir des sentiers battus...

Edit tardif : ... Finalement, le modèle avait plus de plomb dans l'aile que je ne le pensais à l'époque. Pas vraiment un modèle qui plus est (ou alors dans le mauvais sens du terme vu comment l'industrie a suivi sa voie).

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Nous sommes en fin d'année 2016 et mon ordi fut enfin pleinement optimisé ; pendant les vacances, je profitais des soldes pour me procurer ce jeu, réputé par marquant comme beaucoup.
Quatre jours. C'est le temps que j'ai passé enfermé chez moi pour boucler ma première partie. Quatre jours à déambuler dans cette cité sous-marine délabrée à survivre. Quatre jours à jongleur entre divers armes et jouer du canon avec de superbes musiques d'époque en fond...

J'ai pas hésité, je me suis procuré le reste de la trilogie dans la foulée. Et j'ai appris à connaitre ce qui est l'un de mes genres préférés : l'immersive sim.

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Tout comme Bioshock, j'ai profité d'une promo pour enfin expérimenter adaptation du célèbre détective en jeu. Court à parcourir mais tellement enivrant... VF préconisée à FOND.

Et comme ce premier, j'ai acheté la trilogie dans la foulée... mais pas Origins (là, je me sentais pas prêt d'investir vu l'expérience proposée... c'est pour cela que j'ai fait un partage avec mon meilleur ami ^^).

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Le jeu de la trilogie que j'ai probablement le plus parcouru avec Knight ; pas aussi grisant que Asylum mais tout aussi intéressant. La meilleure VF de la trilogie et probablement l'une des meilleures tout jeu confondues.

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Le final de la trilogie qui effectue un traitement à contre-courant de ses prédécesseurs sans pourtant les trahir ; ce qu'on perd en direction artistique est compensé par le gameplay, optimisé et brutal comme jamais. Un chant du cygne toutefois affecté par un portage PC quelque peu bancal même deux ans après sa sortie... (et encore, d'après les joueurs, c'était dix fois pire avant).

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Hé, les jeux en flash, ça compte aussi !

Typiquement le genre de jeu qu'on recherche sur ordi pour passer le temps quand on est plus jeune et qu'on veut expérimenter le tower-defense.
Même si ça date un peu, les bons souvenirs de partie à deux pour exterminer ces vagues de zombies sont encore présentes...

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Désireux d'expérimenter le style de Remedy (et après avoir vaguement suivi un let's play sur Youtube), j'ai profité d'une promo pour me le procurer.

Mais cette fois, la déception était au rendez vous : malgré des phases de tir sympathiques, un système de jeu basé sur la manipulation du temps intéressants, il est difficile de maintenir l'intérêt quand tes phases de jeu sont parasités par une histoire moindre et une narration par la série live intrusive (et ce, en dépit d'un casting des plus intéressants). Le seul jeu PC que j'ai abandonné sans regret.

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L'avantage avec le PC, c'est qu'on peut en profiter pour pratiquer des vieux classiques qui seraient inaccessibles à leur époque. Et ce fut le cas avec ce Resident Evil 4, seul opus de la série que j'ai essayé avant.

Même si le système de jeu a vieilli et peut paraître archaïque après tous les successeurs qui sont passés, ça reste des plus plaisants de suivre cette aventure encore effrayante avec ce cher Léon (même si cela implique de sauver une sale gosse qu'on aimerait bien faire taire...). Avec ce titre, on peut comprendre à quel point la visée à l'épaule fut si influente par la suite. GG, Mikami.

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Ma découverte du studio Platinum Games est passé par ce titre ; expérimenté à l'époque, je m'y suis ressayé il y a quelques semaines...
Et oui, ça a beau dater de 2010, ça fiche une belle baffe aux yeux, oreilles et aux sens (un peu trop d'ailleurs...). Dommage qu'il ne fut pas si connu que Bayonetta...

Ce qui me fait penser qu'il faudra que j'y joue un de ces quatre à ce dernier... quand ma pile d'attente aura fondu.

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Le tournant le plus important de ma vie de joueur. Rarement un jeu aura réussi à viser à ce point mes sentiments pour les réduire en charpie au point de m'incapaciter physiquement, de me réfléchir sur moi et le monde... et tout cela en moins de 5 parties qui dévoilent chacune une partie d'un tout qu'on ne soupçonne pas. Alors qu'on incarne des androïdes.

Platinum Games et, surtout, Yoko Taro auront à eux deux créés l'un des jeux les plus marquants de la décennie, aucun doute là dessus. Même après des mois, les souvenirs continuent de resurgir...

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Comme tout le monde, j'ai expérimenté Mincraft. Comme beaucoup, j'ai apprécié l'expérience de survie et la créativité quasi illimité. Et comme certains, j'ai laissé ce jeu dévorer des centaines d’heures de ma vie dans les expériences, le multi (rarement) et les mods à foison.

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Quand on entend parler de la réputation de la franchise désormais culte de FromSoftware, le premier réflexe est ériger un mur de barbelés bien tranchants pour éviter d'avoir à s'y frotter.

Mais bon, le doux appel de la promo ayant sonné, je me suis laissé tenter par cet opus (oui, le III et pas le I ; question de budget et d'accessibilité).

J'ai jeté l'éponge au bout d'1 heure 30 face au premier mur qui semblait infranchissable. Puis après quelques jours, j'ai retenté ma chance.
Grossière erreur.

Je me suis fait absorber et massacrer de tous les façons par ce jeu ; je l'ai détesté pendant un bon moment. Mais impossible de décrocher. Bon, j'ai fini par décrocher après plus de 150h de jeu et 3 builds... Et même si j'ai ressenti un certain regret sur la fin (l'appel de l'aide à un ami ayant été trop tentant), le plaisir et l'émotion restent ancrés. En plus d'offrir une bonne leçon de vie vis à vis de la patience et le contrôle de soi.

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Autre production typé inde, autre curiosité. Et autre calvaire, aussi.

Malgré la direction artistique (tant visuellement que musicalement), le gameplay n'est pas compatible avec moi...

Loin d'être mauvais mais faut être prêt à enchaîner les essais à la suite... et savoir déployer BEAUCOUP de compétence. Et de se faire railler par le jeu. Et accepter les phases en avion...

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La proposition d'incarner un chasseur de monstres géants en territoire sauvage a de quoi plaire sur le papier ; en application, cela s'avère être génial. A tous ceux qui ne sont pas trop affectés par la répétitivité, l'exigence et aiment l'exploration, embarquez alors à bord pour le nouveau Monde !

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Le genre d'expérience contemplative et apaisante dont il est difficile de décrire les aspects... Difficile à dire si vous y serez forcément sensible. Mais si vous pouvez alors tentez ce voyage onirique.

(Et si vous êtes sur PC, prévoyez une manette ou une bataille avec le paramétrage des touches...)

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Vous vous preniez pour un badass avec Snake ou l'agent 47 en infiltrant n'importe quel secteur pour accomplir votre tâche, aussi violente soit-elle ? Apprenez à relativiser et agir autrement avec ce ''simulateur d'oie chapardeuse''. Fun quasi-garanti surtout en groupe.

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Vous avez vous aussi la crainte d'un monde post-apo dévasté par l'arme nucléaire ? Un romancier urkrainien a imaginé un tel concept, en a tiré une série d'ouvrages et a laissé un studio de développement faire leur tambouille avec ses histoires ; un peu comme The Witcher (LOL).

Par contre, si vous croyez avoir affaire à un jeu rempli d'autodérision, fun ou facile, vous vous plantez méchamment...

Une expérience des plus angoissantes et immersives bien qu'assez imparfait techniquement.

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On prend les mêmes, on améliore ce qui allait pas comme l'IA, la progression, l'écriture, on peaufine les réussites comme l'ambiance, le matos et le bestiaire et on recommence avec un conflit instable entre fachos et communistes ! Youpi !

Et bien qu'il est le plus abouti des Redux, je garde une petite préférence pour 2033 à certains moments.

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Le premier jeu PC que j'ai dû arrêter par pure impossibilité cognitive ; pour une fois que c'est pas la flemme ou l'incompétence...

Cela reste un jeu simple dans son principe, complexe dans son parti pris et déroutant mais aussi plaisant à parcourir ; on finit presque par s'attacher à peu à cette tête de canidé à l'air simplet...

Adeptes du puzzle game ardu, je vous souhaite bon courage !

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Jeu de rythme et exploration procédurale, voila un combo gagnant ! Si vous n'êtes pas habitué à la mort à répétition, bon courage...
Le genre de jeu qui te donne une de ces patates après chaque partie intense.