La grande déception

Annotation :

Malgré quelques très bons titres, on se demande ce qu'on écoute parfois, surtout après un album comme "Londinium"

Annotation :

Pour tout te dire, j'étais un grand fan de Sebastien Tellier, j'avais même acheté son premier album "L'incroyable vérité" en vinyl, avant que l'album ne sorte en cd.
Déjà, dans "Politics", il se sabordait à la fin de l'album, avec deux titres dignes de séries tv japonaises. Pourquoi pas.
Ici, "Sexuality", c'est carrément du foutage de gueule, ou comment la musique des films érotiques de M6 est devenu le standard kitsch de cet album...

Je n'accroche pas, à part bien sûr, "L'amour et la violence", très émouvant.

Annotation :

L'album "Blues lines" fut une claque stylistique en 1991, or avec leur second album, hormis le titre "Protection" et "Karmacoma", je m'ennuie gentiment, et surtout, je le trouve trop froid.
C'est le seul album de Massive que je n'ai plus, avec 100th window, tiens....

Annotation :

La grande déception.
Après les albums remarquables "Shadow theater", "Mockroot" et "An ancient observer", ici la suite avec groupe de Mockroot (2015) s’empêtre dans du jazz-rock joué super vite, avec un appauvrissement mélodique. Or c'était justement ce qui me plaisait dans les précédents albums, le chant de Tigran.
Ici cela tourne en rond, avec des thèmes instrumentaux, hachés, assez mornes. Tigran a perdu l'équilibre de "Shadow Theater".
On y retrouve tous les clichés ennuyeux du jazz-rock des 70-80's, et c'est bien dommage.

Annotation :

Après un incroyable "Mezzanine", l'album de 3D-tout seul me plonge dans une sorte d'état lymphatique, malgré quelques titres incroyables, comme "Everywhen" ou "Antistar". et malgré une superproduction.

L'album manque de "relief", plus vraisemblablement le groove de Daddy G

Annotation :

Malgré la beauté de beaucoup de passages dans cet album, je reste agacé par ces interludes qui ne (me) servent à rien, qui finissent par gâcher un peu la fluidité de l'album.
C'est simple, je reviens tout le temps sur les deux premiers albums, or sur celui-là, jamais.

Annotation :

Après un extraordinaire "Delta Machine", "Spirit" ne me touche qu'en partie, surtout au niveau des paroles, mais au niveau des arrangements, c'est la grande restriction...
...sûrement l'album de DM qui sonne le plus "comme un groupe normal"

Annotation :

Le grand retour d'un de mes groupes fétiches, et tout ce qui me faisait délirer avec ce groupe a disparu. Une semi-déception, mais respect

Annotation :

En vérité, je n'attendais plus vraiment rien, vu qu'ils avaient exclu le chanteur iconique de Yes, Jon Anderson.

Malgré tout, j'écoute, et là, je suis simplement sidéré par la vacuité et le désastre soporifique que constitue cet album.

Si vous ne connaissez pas Yes, n'écoutez pas cet album !

Annotation :

Album produit par Robert Fripp, on est un peu perdu, le son est plus raide.
Par moment j'ai l'impression que Gab cherche à faire du Bowie, mais cela prend moins.
Un album auquel je n'ai jamais accroché, peut-être à réécouter...

Annotation :

Bruford, Wetton, Jobson, Holdworth....pour ça ?

Cet album cristallise tout ce que j'ai détesté dans le jazz-rock des années 80.

Annotation :

Un vrai massacre sonore en règle, orchestré par monsieur Billy Sherwood (cf "Open your eyes" de Yes)
La dernière mouture de Yes sans Yes fait un essai studio et se prend les pieds dans la moquette. Cet album est moche et littéralement inécoutable ( au sens physique du terme)

Annotation :

Bon, Sufjan, je t'aime bien, t'étais même mon génie américain, mais je crois que le dernier album que j'ai aimé de toi date de 2015, et tout ça maintenant, ça ne me motive plus. Désolé.