Le chant des nébuleuses

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[Nébuleuse de la tête de cheval]

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C'est sombre, à certains moments le malaise est palpable, me repoussant dans les retranchements dès mes conceptions de la musique.

La recherche effectuée pour cette œuvre, fait de cet album, une vraie pièce unique et là est toute la beauté de cette création.

Un album unique, qui me laisse un goût amer dans la bouche et la paranoïa au cœur.

"Il y a peu de rues au monde qui soit aussi riche en tentation que l'imaginaire d'un ermite. La grâce de la solitude"

Jean-Yves Leloup

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[Nébuleuse de la tarentule]

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Paradoxalement les albums qui ont des ambiances, sombre ont le principe de me donner un espoir sans limite, d'être prêt à donner ma vie à des inconnus, ou plus modestement, simplement prodiguer quelques conseils.

J'admire sincèrement les personnes qui font ce qui leur plaisent, écoutent sincèrement ce qu'ils sont. J'imagine que c'est pour cela que je choisis la solitude, généralement, je ne me sens pas bousculer par le monde et j'ai la possibilité et l'attention focalisée sur ce que je suis.

"Lorsqu'il n'y à plus de mots, ne cherche ni à parler, ni penser à autre chose. Le silence à sa propre éloquence. Parfois, plus précieuse que les paroles"

.Élisabeth Kübler-Ross

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[Nébuleuse de la tête de sorcière]

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Cette œuvre est juste extraordinairement [PUTAIN WHOUAOU !], Je n'ai littéralement pas de mots, sérieux cette personne est un Ovni et sa musique est son langage.

Elle est complexe de par sa multitude, mais le mélange est d'une justesse minutieuse. Et lorsque vous la compreniez, vous n'êtes qu'au seuil de cette nouvelle réalité...

Mon être en est tout chamboulé, il a ouvert une porte que j'avais oublié de rouvrir depuis trop longtemps, merci du fond du cœur.

"Je suis lié à tous, mais je ne possède rien" Inconnu

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[Nébuleuse trifide]

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Un album dont les fréquences agissent sur votre subconscient, apaise votre esprit et répare votre cœur. Il vous plonge en vous et vous fait voir les obstacles qui vous empêchent d'atteindre le bonheur, il n'est pas là pour vous indiquer comment faire. Mais pour vous faire voir que le chemin existe et que c'est que votre volonté qui vous fera avancer.

Un album fait pour l’introspection à écouter dans un endroit calme dénué de toute attraction visuelle qui pourrait vous détourner de votre progression.

"Plus je m’éloigne de l'Homme, mieux je le comprends, lorsque je reviens vers la société, c'est elle qui ne me comprends"

Inconnu

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[Nébuleuse du crabe]

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Je connais assez peu l'artiste, il est vrai et je vais réparer cette faute, car quelle faute, cet homme est un visionnaire, un guide. Dont les chansons mon toujours bouleversé, bien quels n'était pas accessible de compréhension lors de ma jeunesse. Et j'y reviens aujourd'hui le cœur un peu plus mûr, vieilli à la mélancolie du premier amour. Sans baisser les bras, je jetterais encore mon cœur dans cette mer d'amour, même si j'en revenais mille fois tourmenté, ébranlé de toute cette tristesse du bonheur. Mais sans amour, il n'y a point de paix que ce soit dans le cœur d'un homme ou celui d'une société.

“C'est à trop voir les êtres sous leur vraie lumière qu'un jour ou l'autre nous prend l'envie de les larguer. La lucidité est un exil construit, une porte de secours, le vestiaire de l'intelligence. C'en est aussi une maladie qui nous mène à la solitude.”

Léo Férré.

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[Nébuleuse du papillon]

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Mettre une pièce de théâtre en musique, venant de la tradition japonaise, je comprends seulement cela à 30 minutes d'écoute, la violence de mon ignorance est à faire pâlir Einstein, Jung et Debussy.

Une œuvre cosmique, magnifique, dont le vertige est aussi vertigineux que la vue en haut du Fuji Yama, que rien ne ressemble à cette œuvre, que son unicité soit la grandeur de son art.

https://www.youtube.com/watch?v=kt3Nxo2FzZU

"L'amour d'un père est plus haut que la montagne. L'amour d'une mère est plus profond que l'océan."

Proverbe Japonais

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[Nébuleuse d'Orion]

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Le vrombissement des étoiles, le murmure de l'espace, l'immense plénitude de la solitude. C'est à l’abri de votre société que j'arrive à vous aimer, sinon, je suis sans cesse tiraillé par les douleurs du passé, les incertitudes de demain et l'incompréhension d'aujourd'hui de ce monde qui fonctionne à l'envers.

La suspension dans l'espace, tenace est les nombreux détours qui nous mène à la sagesse, pour celui qui la cherche. La suspension du temps, juste pendant un album, 43 minutes ou plus rien n'est, ou le seul son produit et celui du battement de mon cœur en harmonie avec la musique. Comme une somnolence, plus aucun trouble, aucune excitation vaine, juste moi-même.

"La solitude est bonne aux grands esprits et mauvaise aux petits. La solitude trouble les cerveaux qu'elle n'illumine pas."

Victor Hugo

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[Nébuleuse du Hibou]

http://www.astrosurf.com/lorastro/Image/M97.jpg

Le vrombissement des étoiles, le murmure de l'espace, l'immense plénitude de la solitude. C'est à l’abri de votre société que j'arrive à vous aimer, sinon, je suis sans cesse tiraillé par les douleurs du passé, les incertitudes de demain et l'incompréhension d'aujourd'hui de ce monde qui fonctionne à l'envers.

La suspension dans l'espace, tenace est les nombreux détours qui nous mène à la sagesse, pour celui qui la cherche. La suspension du temps, juste pendant un album, 43 minutes ou plus rien n'est, ou le seul son produit et celui du battement de mon cœur en harmonie avec la musique. Comme une somnolence, plus aucun trouble, aucune excitation vaine, juste moi-même.

http://freemusicarchive.org/music/Anob/Anob_Part_I/

"La solitude est bonne aux grands esprits et mauvaise aux petits. La solitude trouble les cerveaux qu'elle n'illumine pas."

Victor Hugo

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[Nébuleuse du Crane]

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L'écho de nos ténèbres est semblable au sourd murmure de la nuit silencieuse, instable, qui nous laisse en suspens dans l'espoir du fracas de nos existences sur cet impérissable mur qu'est la surdité malsaine à notre compréhension de la vie. Et nous sommes semblables au silence qui nous effraye temps, ainsi nous trouvons dans le perpétuel et abrutissant bruit de nos vies, une forme de réconfort qui nous permet d'éviter tous affronts avec le soupir pensant de nos âmes qui hurle silencieusement, leur triste mélancolie sourde de son.

Et nous essayons inlassablement, sans fort succès de reproduire cet écho intérieur, en essayant la matérialisation de l'immatérielle, nous nous éloignons sans cesse et de plus en plus loin de l'essence même de nos êtres. Susurrement constant tu baignes dans mon cerveau, sans que je ne le sache, et c'est pendant c'est quelques instants, ou le son de ces êtres abstrait dont la musique est le reflet, que j'entrevois 1 millième de ce que tu es vraiment.

Même cet infini rien, est déjà incompréhensible à mon cerveau ingrat qui pourtant est le plus symbolique organe de connaissance dont nous ne connaissons nous-même, là encore rien.

Néant ténébreux de l'ignorance infini, je ne suis là que pour comprendre mon incompréhension et me libéré, je l'espère de la tyrannie de la bêtise de la connaissance ignorante.

https://www.youtube.com/watch?v=6P-SkGpxCmY

“Il faudrait parvenir à cette sagesse élémentaire de considérer les ténèbres où nous allons sans plus d’angoisse que les ténèbres d’où nous venons. Ainsi, la vie prend son vrai sens : un moment de lumière.”

Paul Guimard / Le Mauvais temps

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[Nébuleuse de la Bulle]

http://habitat-bulles.com/wp-content/uploads/2016/11/nebuleuse-bulle-une-700.jpg

Vous avez toujours la possibilité du choix, entre vous façonner une bulle autour de vous pour avoir une meilleure appréhension de... Il me semble que de plus en plus j'arrive à la conclusion, que soit mon vocabulaire est dénuée de la véritable capacité verbale, ou alors que nous avons tous un nouveau dialecte à faire éclore entre nos labiales juvéniles.

C'est pour cela que j'ai toujours vu, d'aussi loin que ma conscience puisse se souvenir, que la musique et une autre forme de langage, je sais pertinemment que je n'invente rien en disant cela et j'avoue que sur la connaissance du langage qu'il soit musical (je ne parle pas de vocabulaire) ou oral, j'avoue avoir encore quelques lacunes. Serait-ce l'une des raisons de mon intérêt, pour la musique "expérimental" et le "non-musical" est fort probable. Mais le sens profond pour l'interprétation musicale de ces styles vient aussi du fait, que j'aime, qui m'intrigue, surtout. C'est le travail et le pourquoi du reflet de l'Homme, qu'ils essayent de mettre en évidence dans leurs créations. Me revient alors le principe de la bulle en tête, ces artistes seraient-elles la représentation d'une résultante sonore de cet isolement sociétal, pour être en phase avec leurs symbioses intérieures.

Pourtant se voir dans les autres, est aussi une manière de comprendre des facettes de nos propres personnes, dans la mesure d'une cohésion et d'une compréhension, les uns des autres. Ces musiques sont-elles le miroir d'une incapacité à la civilisation humaine, ou bien le visage de notre "étrangeté" naturellement enfouie, dont la seule exploration véritable peut se faire pour eux, uniquement grâce à la musique. Notre vie est façonnée avec et pour l'expérimentation, c'est la conclusion qui me vient, que je vis au jour d'aujourd'hui, je ne pense pas en matière de vérité absolue, mais dans l'analyse des années, que j'ai passée sur Terre. L'abstrait de l'existence prend forme dans un ordre, lorsque toutes vies sont liées. Cette forme est ma plus grande incapacité à comprendre, ainsi que mon sentiment de frustration, le plus pénible.
Comment sommes-nous tous connectées ?

Qui sait...

“Maîtrisez la langue. Le choix des mots est essentiel.” Daniel Jouve

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[Nébuleuse de la Lyre]

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Parfois, le silence est plus parlant qu'un long discours, surtout lorsque les mots nous manquent, pour être compris des autres, mais d'abord de soi-même. Bien que le silence complet ne puisse véritablement exister, l'apaisement de la cacophonie intérieur est assurément une bonne première étape. La musique est l'harmonie entre le bruit et le silence.

"Celui qui connaît l'art de vivre avec soi-même ignore l'ennui"
.Erasme

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[Nébuleuse de l'aigle]

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Est-ce nous qui avons besoin de structure, ou elle de nous, pour exister ?
J'avoue que de ma juvénile existence terrestre présente, je ne saurais le dire, d'ailleurs, je ne suis pas assuré qu'il y est, ou qu'il faille une réponse à cette interrogation.

Mais cela nous mets en évidence le manque flagrant, que nous avons envers nos semblables. Nous sommes structurés par notre finalité, une naissance, la vie et la mort. Mais aussi et surtout, par le temps, que l'on a imposé, la cadence et le rythme de l'horloge, dont les aiguilles font défiler nos existences, à une vitesse alarmante.

Et pourtant, sachant pertinemment cela, notre société a basé tous son système, économique sur cette horloge, enfin pour la majorité de la population. L'autre, celle qui "dirige" à très bien compris le manège, et nous nourrit au compte coup de liberté. Juste assez pour en redemander, mais pas assez, pour revendiquer, notre droit le plus légitime.
Être maître du temps, qui nous est imparti, aussi bref soit-il.

Alors, je vais prendre mon temps, pour écouter, ces albums sans véritable structure, mais qui ne sont pas que pur Chaos. J’emmerde la résignation, les non-vivants et ceux qui nous poussent à le devenir. Je ne suis pas un révolutionnaire. Au fond, je suis juste lassé et terriblement fatigué, de la bêtise flagrante et incompréhensible de cette société...

"Je demeure en montagne, personne ne me connaît. Dans les nuage blanc éternel Nirvana..."
Han Shan

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[Nébuleuse de la Flamme]

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Je suis assurément quelqu'un de mélancolique, avec des tendances prononcées au spleen. Et comme tout le monde, j'ai des vagues de souvenirs qui s'échouent parfois sur la rive de mes pensées.
J'y contemple amer mes erreurs passées, se transformant en poussière entre mes doigts à force de les ressasser.
Je contemple mon obscurité à la lueur d'un nouveau regard porté et je me languis du Néant Originel, auquel j'aurais aimé, ne jamais être arraché.
Memoirs: To Dust est un fragment de la nuit éternelle, une ombre dansante qui se contemple, pour ceux qui n'ont pas peur du noir.

Il n'y a pas que de vil monstre dans la pénombre, mais majoritairement, des êtres en peine. Enfin ce n'est que mon avis. Rien de plus.
Le crépitement s'enflamme, naît le brasier qui se consume et se transforme en cendres, soufflé en poussière.

"Celui qui connaît les autres est un sage. Celui qui ce connaît lui-même est un illuminé" Lao-tseu

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[Nébuleuse du fantômes de Jupiter]

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Peut-on toujours être calme, tout en étant constamment dans le flux des émotions de nos semblables, alors que l'on est hypersensible. Ce n'est ni vraiment une question, ni tout à fait une réflexion propre. Plus un doute qui plane dans mon inconscient depuis que j'ai repris le travail.
Parce que, si c'est possible, cette capacité m'échappe encore. Soit par un manque de profonde tranquillité intérieur, soit parce qu'il m'est simplement impossible de le faire.
Encore plus avec les nouvelles générations, que je trouve bien plus demandeuse, même si elle essaye de nous faire croire le contraire. Jouant les grands de plus en plus vite, mais dont les fondements sont bien fragiles, proportionnellement à l'ego protecteur qu'il essaye de façonner.
Je ne les blâme pas, bien au contraire, je me sens juste impuissant, n'étant pas un professeur, je suis discrédité par la limitation de mon impact sur eux. Ils manquent de repères et de réelles structures, pour les guider vers leurs propres sensibilités intérieures. Alors ils préfèrent la refouler et la projeter inconsciemment, sur les autres. [Ou alors je fais juste preuve de condescendance... Ce qui serait encore plus triste.]

Et je me confronte une fois encore à mes limites, me frustrant d'autant plus, parce que qu'au lieu de leur montrer un meilleur exemple. Je réponds à cette non demande et continue à perpétuer, cette stupide mise en scène.
Ne sachant plus vraiment, si c'est ce qu'on me demande. Ou si l'on attend autre chose de moi. La route est longue pour tout le monde, voilà la seule conclusion que j'ai.
J'aimerais tellement juste leur offrir la graine, qui chuchotera un jour :
"Eh tu peux agir autrement. Tu peux révéler ta sensibilité. Tu as le droit de ne pas jouer leur rôle, mais d'accepter pleinement le tien."
Mais j'imagine que je traverse les mêmes prises de conscience, que mes prédécesseurs, sans qui je ne pourrais avoir cette réflexion présente.Alors autant faire au mieux, et tant pis si ce n'est pas aussi bien que ce que j’espérais. C'est mieux que de ne rien faire.

Accepter de ne pas être parfait, de comprendre que malgré l'empathie que je puisse avoir, je ne pourrais jamais vraiment savoir ce qu'ils traversent. Alors, il faut faire au mieux, accepter de faire des erreurs. De ne pas toujours être à la hauteur des exigences que je m'impose, pour ne pas leurs faire subir.

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[Nébuleuse de l'esquimau]

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[Nébuleuse de la patte de Chat]

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[Nébuleuse du casque de Thor]

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"Seuls ceux qui sont prêts à mourir pour la liberté se considèrent encore comme emprisonner, ceux qui sont emprisonnés et qui ne pas chercher la liberté sont les vrais fous de nos sociétés."

Inconnu