Le cinéma bis made in Cinecitta : aventure & historique

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une excellente co-production avec la France et l'Espagne, où Gérard Barray fut bon acteur et surtout bon escrimeur, il avait tenu le rôle de D'Artagnan dans la version des "3 Mousquetaires" de Bernard Borderie, fut un bon Pardaillan et ici un dynamique Surcouf, auprès de Antonella Lualdi, Geneviève Casile, Terence Morgan, Frank Oliveiras et Aldo Sambrell (acteur fétiche de Sergio Leone)... le film dont une partie sera tournée à Saint-Malo eut tant de succès qu'il appela une suite "Tonnerre sur l'Océan Indien" avec toujours Gérard Barray en corsaire malouin intrépide

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un joli petit film italo-français qui s'intéresse au contrebandier Louis Mandrin qui défie le pouvoir royal, avec Raf Vallone dans ses belles années

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avec Edmund Purdom dans sa période italienne, Pierre Brice (échappé des "Winnetou"), Massimo Girotti, John Drew Barrymore, Giorgia Moll et Louis Seigner dans une fresque russe qui lorgne vers le "Tarass Bulba" hollywoodien

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une belle fresque historique mêlée de complots, d'intrigues amoureuses et de chevauchées, avec Steve Reeves qui cherchait à sortir du personnage d'Hercule, et la belle Giorgia Moll... une réalisation pleine de panache tournée en Yougoslavie et servie par la superbe photo de Mario Bava

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un film français de prestige, avec une petite part italienne qui impose au casting la très belle Elsa Martinelli et Arnoldo Foa qui campe un excellent Concini...le tournage a lieu en France, dans plusieurs châteaux (Val, Pierrefonds..) et dans les forêts autour de Paris, avec la même équipe qui a fait "le Bossu" où Jean Marais et Bourvil reforment un duo très plaisant...du pur film de cape et d'épée de la grande époque comme les Français savaient en faire

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un film de mousquetaire qui exploite le personnage de Milady tué dans le roman d'Alexandre Dumas, mais malgré Yvette Lebon dans le rôle de Milady, Rossano Brazzi, Massimo Serrato, et Jean-Roger Caussimon, le résultat n'est guère convaincant

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une co-production italo-française co-réalisée par le vétéran André De Toth, avec Valérie Lagrange, Ivo Garrani, la brûlante Chelo Alonso et Steve Reeves qui cherche toujours à sortir du péplum en marchant sur les traces des grandes figures du ciné hollywoodien comme Errol Flynn, il y réussit pas trop mal dans ce classique film de pirates

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une grosse production de qualité avec un casting international : le jeune allemand Horst Buchholz (qui avait débuté à Hollywood dans "les 7 mercenaires") dans le rôle de Marco Polo, le Français Robert Hossein en prince mandchou, Anthony Quinn en Kubilaï Khan, Omar Sharif, Akim Tamiroff, Orson Welles et Elsa Martinelli... à l'origine le film fut commencé par Christian-Jaque avec Alain Delon en Marco Polo, mais des contraintes de production ont avorté le projet. Le film était plus réussi grâce à ses gros moyens et ses tournages en Inde, en Chine, en Yougoslavie et Turquie que le film de Hugo Fregonese en 1962, "Marco Polo" avec Rory Calhoun et Yoko Tani

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une superbe co-production franco-italo-allemande de type oriental, imitée des 2 films de Fritz lang "le Tigre du Bengale" et "le Tombeau Hindou". La suite "Le Mystère du Temple Hindou" sera tournée la même année avec la même équipe et le même casting : Paul Guers, Senta Berger, Lex Barker, Sergio Fantoni, Klaus Kinski et la superbe Claudine Auger (James Bond girl de "Opération Tonnerre") en princesse indienne

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honnête adaptation du roman de Pierre Benoit, avec l'actrice de "Ben-Hur", Haya Harareet, et J. L. Trintignant, Amedeo Nazzari et Gian Maria Volonte (dans sa période films populaires et qu'on retrouvera dans les 2 premiers westerns de Sergio Leone)

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une jolie production médiévale avec Massimo Serrato, acteur spécialisé dans ce type de rôles de chevaliers perfides

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cette co-production italo-espagnole est très loin de rivaliser avec "le Cid", somptueuse version hollywoodienne d'Anthony Mann, et les acteurs sont fades et n'ont pas le même charisme que Charlton Heston et Sophia Loren

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la aussi, c'est une tentative de démarquage européen qui vise la flamboyante version hollywoodienne de George Sidney avec Stewart Granger, mais cette version qui s'écarte du roman de Rafael Sabatini se défend quand même, grâce à une direction artistique impeccable, un ton joyeux et distrayant, et la prestance de Gérard Barray, aux dons d'escrimeur, et bien entouré par les belles Gianna Maria Canale et Michèle Girardon

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un superbe film de cape et d'épée où Delon campait un héros dans le style de Zorro dans les années précédant la Révolution française... la part française est plus importante ici, l'équipe technique est Française, le tournage a lieu en Espagne mais il y a quelques Italiens dans le casting , notamment Virna Lisi, entourée par Akim Tamiroff, Francis Blanche et Dawn Adams

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Riccardo Freda a réalisé de bons films historiques, il le prouve ici même si l'absence de grosses vedettes a condamné son film aux oubliettes du succès

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une superbe co-production entre la France, l'Italie et l'Espagne illustrant un conte des Mille et Une Nuits mais de façon adulte, avec le sémillant Gérard Barray (qui sera aussi un bon Surcouf), Anna Karina, Antonio Vilar, Marilu Tolo, Giuliano Gemma, Fausto Tozzi et Fernando Rey

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malgré le beau couple formé par Mel Ferrer et Yvonne Furneaux, Gentilomo a été mieux inspiré ailleurs...

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avant de passer à des films plus graves, Mauro Bolognini a réalisé du film d'action historique populaire, et cette version du roman de Théophile Gautier est remarquable et soignée, avec l'excellent Robert Hossein, entouré par Ottavia Piccolo, Tomas Milian (échappé des westerns), et la belle Catherine Spaak en faux chevalier de Maupin...une belle fresque romanesque au sein de la guerre en dentelle, co-produite par la France, l'italie et l'Espagne

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du pur cape et d'épée où Stewart Granger rejeté par Hollywood, tente de renouer avec un genre qui fit sa gloire, notamment dans "le Prisonnier de Zenda" ou "Scaramouche"... un bon film où il est bien entouré par la belle Sylva Koscina et la redoutable Christine Kaufmann (qui allait devenir 1 an plus tard l'épouse de Tony Curtis rencontré sur "Tarass Bulba")

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on retrouve ici Cameron Mitchell entrevu dans des péplums, qui se démenait dans un bon film d'aventure qui faisait suite au "Dernier Viking" tourné l'année précédente. Ces 2 films ont certes moins de panache que "les Vikings" hollywoodiens signé Richard Fleischer, mais se défendaient...on y trouve aussi Geneviève Grad exilée souvent en Italie, et Ettore Manni spécialisé dans les rôles de méchants

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cette bonne production italo-française de Mario Bava sur la saga scandinave d' Erik le Rouge, voyait encore l'Américain Cameron Mitchell en vedette, épaulé par Françoise Christophe et l'imposant Folco Lulli

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remake assez fidèle à la version hollywoodienne de 1940 avec Tyrone Power, ce film sympathique révéla pour son 1er film le fils d'Errol Flynn

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ce réalisateur inconnu a pourtant bien réussi cette grosse fresque historique aux gros moyens, avec la délicieuse Yoko Tani et Ettore Manni dans un rare rôle de gentil, ainsi que le truculent Akim Tamiroff

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cette superproduction réalisée par le vétéran d'Hollywood André De Toth réunit 20 000 figurants et 15 000 chevaux pour de superbes séquences de batailles, tout en restituant à merveille cette époque farouche de barbarie et de cruauté, avec un Jack Palance extraordinaire dans un rôle taillé pour son physique, la plantureuse Anita Ekberg, la douce Antonella Lualdi et le Français Pierre Cressoy... bref un petit chef-d'oeuvre dans son genre

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c'est l'époque où les Italiens appellent des vétérans d'Hollywood pour réaliser ces reconstitutions historiques à gros déploiement, avec un casting de luxe : Orson Welles en chef tartare, Victor Mature (le costaud vu dans plusieurs péplums hollywoodiens comme "Samson et Dalila" ou "la Tunique"), Arnoldo Foa en méchant, et Liana Orfei et Bella Cortez, mais Thorpe n'a plus le panache du "Prisonnier de Zenda" même si on prend du plaisir devant ce film remuant

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encore Pierre Brice qui délaissait Winnetou, le truculent Akim Tamiroff, John Drew Barrymore et la belle Jeanne Crain dans cette adaptation du roman de Sienkiewicz, une sorte de "Guerre et paix" dans la Pologne du XVIIème siècle où alternent combats, orgies et poignantes scènes d'amour

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co-production italo-allemande soignée, où Hildegarde Kneff et Sergio Fantoni formaient un beau couple dans la Russie des tsars

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la brune des péplums, Chelo Alonso, à la sensualité ravageuse rayonnait dans cette fresque entourée du "plus Italien des Français" Jacques Sernas et du massif Folco Lulli

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une somptueuse reconstitution avec la magnifique et sensuelle Martine Carol en Lucrèce (alors épouse de Christian-Jaque), alors au sommet de sa beauté où elle n'hésite pas en 1953 à braver la censure lors d'une scène de bain entièrement nue (mais on ne voit qu'un cadrage élégant laissant entrevoir un sein fugace). Elle est entourée par l'excellent Pedro Armendariz en César Borgia, Lucrèce y est présentée comme le jouet des ambitions de son terrible frère

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malgré un joli casting avec Belinda Lee qui fut une remarquable Messaline et qui rayonne ici, laissant presque de côté la sage Michèle Mercier (qui n'était pas encore "Angélique"), l'inévitable Jacques Sernas (dans un rôle habituel de héros noble) et l'excellent Arnoldo Foa en méchant (qui sera un très bon Concini dans "le Capitan"), ce film n'atteint pas le niveau de la version avec Martine Carol, les débauches y sont chastes et le ton est moins osé