Le cinéma de 2018 : Spécial Flop 10 !

Annotation :

Un navet insignifiant qui ne s'amuse même pas avec son concept et retombe dans tout les travers du mauvais cinéma d'horreur. Couillon comme il faut, désespérément convenu et édulcoré dans sa mise en scène de ses victimes et la conclusion prête plus à rire qu'autre chose.

Annotation :

J.A. Bayona a beau faire un meilleur travail que Colin Trevorrow en tant que metteur en scène, mais cette suite au déjà bien fumant "Jurassic World" premier du nom pousse l'insulte encore plus loin par l'écriture de Trevorrow terminant d'achever l'oeuvre culte de Steven Spielberg. En particulier par son humour de demeuré, le traitement des personnages et la conclusion qui n'est pas moins que l'un des pires doigt d'honneur fait à une saga.

Annotation :

Une suite qui ne comprends en rien la vision de l'auteur à la tête du premier film et qui se retrouve aussi victime de sa bouffonnerie. Entre les nouvelles têtes à claquer et les anciens personnages maltraités, des combats sans intensité, sans idée de mise en scène et une fin ouverte proche de la parodie, Pacific Rim : Uprising se plante de manière lamentable au point de nous ressortir le clip de "Trololol" avant le combat final.

Annotation :

Le studio d'animation Illumination Entertainement n'a toujours pas appris à bien raconter une histoire, cette nouvelle version de Grinch le démontre. Trahissant l'esprit du personnage et mettant 2 fois trente minutes pour faire avancer le récit, sans surprise ni frayeur ou suspense en plus d'échouer dans leurs tentatives d'humour, c'est un très mauvais cadeau de Noël que nous pond le studio et que je déconseille fortement aux familles.

Annotation :

Un spin-off aussi insignifiant à son annonce qu'il l'a été à sa sortie et qui ne fait même pas l'effort de traiter le personnage de Venom correctement. De ses acteurs ridiculisés par un script de gamin de primaire aux origines ratés du personnage, en passant par un antagoniste en carton et encore une fois un humour puant qui en fait le gros ratage super-héroïque de 2018.

Annotation :

Conclusion d'une trilogie de romance au vide abyssal terrifiant et aux promesses continuellement oubliées. Pas de chimie de couple, pas d'effort d'interprétation, une musique aux fraises, des enjeux inexistants et des situations qui se règlent si facilement pour en faire une fin heureuse couillonne comme jamais. Qu'on nous refasse pas une deuxième saga post-Twilight, par pitié !

Annotation :

PEF s'était chargé de descendre Les Profs, c'est l'oeuvre de Franquin qui passe à la moulinette en montrant parfaitement en quoi cette BD n'a pas les ingrédients pour le format cinéma. Hystérique, gênant, pauvre de narration, de mise en scène et à la conclusion sans queue ni tête, c'est un bel assassinat qui reprend constamment les gags de la BD sans les faire marcher.

Annotation :

La mémoire de Franquin aura pris chère cette année, entre Gaston Lagaffe et l'adaptation de Spirou et Fantasio qui pousse l'insulte plus loin. De son aspect téléfilmesque à son duo antipathique, en passant par un Ramzy Bédia risible, un univers qui ne paraît jamais naturel et un humour raté (dont une blague scatophile ignoble), on en vient à plaindre la BD dont est tiré le film sans même l'avoir lu tant le résultat est méprisant envers le public.

Annotation :

Produit dangereux made in SONY incapable de dosage ou de surprise dans sa comédie et à la démarche involontairement cynique. Dépouillant presque son héros de conscience morale le rendant détestable, pourrie par sa BO pop, le cabotinage de Domnhall Gleeson, l'absence de gestion du rythme et le message final déformé par ce merdier, il rejoint le catalogue SONY des divertissements familial à épargner à nos mômes. A balancer aux chiottes !

Annotation :

A l'image de son titre et des caricatures ambulantes réunis ici, Alad'2 ne mérite même pas d'être qualifier de film tant il n'essai jamais de camoufler son absence de respect pour tout et n'importe. Des blagues étirés déjà pas drôle à la base en passant par un homophobie et un sexisme banalisé immonde et ses caméos de stars gratuites et sans fondement, on est dans une gêne grimpante qui n'en finit pas dans une production qui n'a même pas le niveau de décence d'un DTV ou d'un téléfilm.