Le meilleur de l'horreur !

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Si il ne devait en rester qu'un seul, ce serait celui-là. Incarnation parfaite de l'inquiètude basculant vers l'épouvante, Halloween joue plus sur la suggestion que sur la monstration ce qui en fait sa plus grande force. Mike Myers restera selon moi, le tueur le plus charismatique vu au cinéma et Jamie Lee Curtis, la meilleure "victime".

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Jouant sur les même astuces de suggestion que Halloween, Alien y ajoute cette terreur puissante que confère le sentiment d'abandon de tous face au danger. "Dans l'espace, personne ne vous entendra crier" : l'accroche la plus parlante du genre sans doute !

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Poisseux, lugubre, le film qui ne laisse pas indemne. Un immense classique, absolument incontournable.

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Méconnu bien que historiquement parlant aïeul de Halloween, un inquiètant jeu de voyeurisme dans un dortoir de jeunes filles avec option meurtres baroques : quelque part entre Halloween et Dario Argento.

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Effrayant, pas un instant mais drôle comme tout ! Le volet le plus réussi de la saga Child's Play notamment grâce à l'inflammable charisme de Jennifer Tilly et son double en latex.

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Le plus bel hommage aux slashers des années 70 dans un pastiche drôle et bourré de suspens mené tambour battant par le maître Wes Craven.

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Moins connu que Suspiria - à grand tort - un Argento grand millésime mêlant avec une élégance folle le paranormal et le thriller. Avec en bonus, la toute jeune Jennifer Connelly envoûtante comme le diable.

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L'élégance gothique du film de Amenabar est irréfutable. Le suspens, qu'il aménage autour de cette étrange famille qui se terre dans l'obscurité d'un manoir perdu, d'une puissante efficacité.

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D'une série qui ne possède pas beaucoup d'autre atout qu'une haute propension à faire rire, il faut retenir au moins ce volet qui a pour mérites de multiplier jusqu'au grotesque les meurtres à l'arme blanche et de trouver une fin inattendue à Jason Voorhes.

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Adaptation du "Tour d'écrou" de Henry James, cet historique ancêtre des Autres n'a rien perdu de sa capacité à glacer le sang, grâce notamment à un décor inquiétant et au jeu de Deborah Kerr.

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De tout premier livre de Stephen King, Brian De Palma livre une superbe adaptation, prenant des libertés intéressantes au sein de l'univers. Sissy Spacek colle parfaitement au personnage et le final n'a rien perdu de sa puissance évocatrice.

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Moins effrayant que sublimement beau, Suspiria pousse l'hyper-esthétisation de l'horreur à son paroxysme. Dans des décors et des atmosphères dantesques, sur l'hallucinante partitions du groupe Goblin, la nausée n'est jamais loin, camouflée derrière l'extase morbide.

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Bizzarement boudé par la critique, ce dernier volet des aventures du tueurs de Elm Street est pourtant le plus terrifiant car le plus réaliste.

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1h44 de tripes en l'air, de sang à l'hectolitre, de trucages cheap, de fous rires. Le meilleur Peter Jackson - avec Créatures célestes - et vous m'avez très bien lu !

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Il y a des films qui ne vieillissent pas et qui laisseront toujours dans les mémoires d'inquiétants cauchemards en noir et blanc. Nosferatu en fait partie.

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Le plus minimal des films d'horreur n'en plafonne pas moins tout en haut du trouillomètre. Quoi qu'en disent les scpetiques, voilà un film qui ne fait pas de prisonnier et nous laisse tremblants, inquiets, l'oeil fouillant l'image pour trouver d'où viendra le danger. Comme les personnages en somme.

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Mystérieuse créature que cette May qui, guidée par sa poupée va chercher son homme idéal. Et tant pis si elle doit le construire elle-même. Un joli conte macabre, porté par d'impeccables acteurs.

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Sorte de supermarché de l'horreur, un film surprise très malin et bourré de surprises. Du pur délice pour les fanatiques du genre horreur.

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La paranoïa ordinaire rencontrant la science-fiction. Le tout sur fond d'un Antarctique lugubre, où plane l'ombre de Lovecraft. Dans l'immensité de glace, un des huis-clos les plus glaçants qui soit, à mettre aux côtés de Alien.

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Arriver à allier le gore, la suggestion et la clasutrophobie en un seul film, cela mérite bien quelques applaudissements ! Et beaucoup, beaucoup de cris de terreur !

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Voilà un film particulièrement nauséux et malsain, rejeton difforme dont seul Cronenberg peut être le père.

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Jack Nicholson dans son plus grand rôle et un Kubrick au top de sa forme, que demander de mieux ? Ah oui, l'autre meilleure adaptation de Stephen King avec Carrie ! Et bien c'est fait.

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Les spectaculaires meurtres au collet électrique sont l'attraction majeure de cet Argento mineur mais qui - comme nombre de ses pairs - offre quelques twist inattendus et une fin grandiose.

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Esthétiquement moins chargé que Suspiria, Les frissons de l'angoisse - dont on préferera le titre italien Profondo Rosso - est tout autant emblêmatique de la filmographie de son créateur que du giallo.

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Encore un classique ! Tout le monde connaît la scène de la douche, tout le monde se pâme pour Anthony Perkins, tout le monde connaît l'inquiètante forme du manoir Bates... Et pourtant, le charme marche toujours autant.

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Voir Venise et... Vous devinez la suite. Ce que vous ne devinez pas, c'est comment cette incroyablement effrayante adaptation de Daphné Du Maurier va finir...

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L'abjection conjuguée au féminin dans un film culinaire brillamment réussi. Quel mystérieux ingrédient contiennent les raviolis de la sorcière Mai ? Mieux vaut peut-être ne pas trop le savoir, le film saura vous mettre en appétit avant de vous répondre, un sourire carnassier aux lèvres.