Le plus beau morceau de tous les temps.

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Reprise du Gun Club. On trouvera l'original sur leur album Miami.

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Jackson C. Frank est plus beau que jamais en animal meurtri, comme rongé par une gangraine karmique qui lui inspire plus de mélancolie que de colère ou de désespoir. Le mec n'a jamais eu autant de souffle que quand il se dérobait à sa poitrine.

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La version studio studio est plutôt quelconque, mais Corey Taylor l'a un jour joué en acoustique à Ouï FM, et c'était un des moments les plus bouleversants de ma relation avec la musique. Dans son ensemble.

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La guitare à elle seule aurait suffit à me foutre la larme, mais la voix de Perkins parvient à ne rien gâcher. Si tout l'album avait eu cet élan, ç'aurait été un genre de chef d'oeuvre.
La version des Black Cab Sessions est assez cool aussi : http://www.youtube.com/watch?v=oqP-ZhtasI0

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Leonard Cohen : tu peux juste pas test, bro.

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De toute façon quand j'écoute un peu les mots de Capdevielle, je perds les miens.

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Pas fan de la version studio, mais cet acoustique m'a complètement pris par surprise : http://www.youtube.com/watch?v=bWS8mM7mqOk

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Quand Philippe Djian et Stephan Eicher se tiennent la main, ils me touchent et j'aime ça. (not gay)

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Uncle Tupelo > Wilco. Et ouais.

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Et Tom Waits dit : "the world is not my home, I'm just passing through"

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Je ne me l'explique pas, mais ma vraie rencontre avec ce morceau, ce fut celle-ci : http://www.youtube.com/watch?v=R76URfXE_ck

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Même en pleine déchéance, au milieu d'un album moyen à la production dégueulasse, Courtney restait une reine.

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Mon adolescence est morte, mais Good Riddance est resté.

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Au début de ma première écoute, j'étais sceptique, et puis, en même temps que la voix de Jenny lorsqu'elle demande "What are we gonna do with you?", tout s'est brisé.

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Celle-là il faut l'entendre en acoustique, avec Laura Veirs qui sifflotte et chante toute seule avec sa gratte, parce que sinon il ne se passe rien. Encore une qui n'a pas compris que la sur-instrumentation tuait tout ce qui faisait l'intérêt de sa musique.

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L'original des Stones est cool, mais ma préférence à moi, c'est une reprise faite par Louis Bertignac sur je-ne-sais-plus quelle radio en acoustique. Tout simplement merveilleux.

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Le morceau caché de 666.667 Club, éloge funèbre de Bertrand Cantat à Jeffrey Lee Pierce, est d'une sincérité et d'une puissance juste bouleversantes.

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Vrai beau moment d'émotion au milieu d'un live autrement trop étoffé pour être honnête dans sa prétention acoustique, cette reprise impec du plus impossible à reprendre des morceaux des Stones nous donne pour une fois l'occasion de bien profiter de la voix de Kelly Jones, trop étouffée sur les albums studios.

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Ce morceau, c'est un splendide papillon.

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Tom Morello s'égare trop souvent avec The Nightwatchman, mais ce soir-là il était tout simplement en état de grâce : http://www.youtube.com/watch?v=AEU1ys-JJ48

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Je m'en souviens très bien : c'était le matin, j'étais dans ma chambre, à la bourre, en caleçon, et la radio a passé If Only, et j'ai été frappé d'immobilisme. Il fallait que j'écoute, jusqu'au bout, car je vivais une révélation, et tout le restee pouvait attendre. Après, je suis arrivé en retard je ne sais plus où, mais ça n'avait pas d'importance.

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Un des tous premiers morceaux à avoir été directement responsable de mon désormais indécrottable amour du son de l'acoustique.