Lectures et relectures 2016...

Annotation :

Elle a un peu tendance à se regarder écrire. Style plutôt épuré. Elle ouvre trop d'intrigues pour les clore les unes après les autres dans les courts chapitres à la fin du livre. J'aurais aimé davantage de "bruit" ou de "fureur" et moins d'épure (dont la prétention poétique agace parfois).

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Le final qui flirte avec le fantastique est peut-être de trop...

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J'attends de lire le suivant. Souvent convenu et répétitif, les 60 dernières pages (elle les a écrites elle-même ?) m'ont réconcilié avec le reste...

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Comment un livre aussi creux, pauvre, sans aucune originalité (structure, style, etc.) a-t-il pu tant séduire ?

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Un sujet en or et on se retrouve avec un machin qui semble le fruit d'un atelier d'écriture.

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Livre souvent touchant dans lequel Brigitte Giraud narre l'histoire d'Olivio, enfant puis adolescent fuyant avec sa mère la dictature de Salazar au Portugal. Déracinement, quête d'identité, etc c'est assez classique. Les rapports avec un autre déraciné de son âge (Ahmed) sont peut-être exposé trop lourdement. Ecrivain à suivre...

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Bon, je voulais en lire un... Tant pis pour moi.

Annotation :

Beaucoup de dérision dans ce livre (meilleur que le précédent de cet auteur). Ne pas le voir comme un livre policier mais plutôt comme l'escapade d'un écrivain dans un petit bourg de province. Joncour est au mieux lorsque son livre s'arrête sur des aspects sociétaux, sociaux ou économiques, un peu moins bien dans la relation "amoureuse"...

Annotation :

J'ai détesté ce livre (malgré certaines réflexions sur la gémellité...). Mais on ne peut que saluer le style même si la recherche systématique de la formule à la fin de chaque chapitre agace...