Les Bretons sont des bons! (et à une lettre près ça marche aussi....)

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Un Scaërois de 37 ans a été interpellé ce samedi soir alors qu’il circulait au volant de son tracteur tondeuse, sur la route départementale reliant Bannalec à Saint-Thurien. C’est un voisin, intrigué par sa présence sur la route et par ses zigzags qui a alerté la gendarmerie à 23 h 15. L’homme portait des lunettes de soleil et le tracteur tondeuse n’avait pas de lumière. Il a été conduit à la gendarmerie de Rosporden et fait l’objet d’une procédure de conduite sous l’empire d’un état alcoolique.

© Le Télégramme le 02/06/19

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Un chevreuil, animal placide et plutôt farouche, qui charge un humain, l’histoire paraît incroyable. C’est pourtant ce qui est arrivé à cette promeneuse de Saint-Julien, près de Saint-Brieuc, mi mai 2019. L’animal aurait consommé des bourgeons de fleurs de bourdaine qui ont eu un effet psychotrope lui procurant une sorte d’ivresse. Les bourgeons de cet arbuste, dont le chevreuil est particulièrement friand, contient un alcaloïde (comme dans la nicotine ou la cocaïne) qui a des effets puissants sur cet animal.
La personne a-t-elle fait un geste brusque ? L’histoire ne le dit pas mais l’animal, vraisemblablement dans un état second, a chargé la promeneuse qui a été blessée.

Le Penthièvre, le 16 Mai 2019

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Durant le festival Afrik’O’Bendy de Logonna-Daoulas, le 27 juillet à 1 h 15, des gendarmes en stationnement assurent l’ordre lorsqu’un homme de 22 ans, ivre, s’approche de leur véhicule.

Soudain, il se place derrière la voiture, baisse son pantalon et sort son arsenal. Il a à peine le temps de mimer l’acte sexuel avec le véhicule que les gendarmes l’interpellent.

« Quelqu'un qui était très bourré »
Un acte d’« automophilie », selon les mots du procureur, qui provoque l’hilarité du tribunal correctionnel de Brest, devant lequel il comparaissait ce vendredi.

« Pourquoi avoir essayé de violer la voiture par le pot d’échappement ? », demande le président Lemname, gardant difficilement son air assidu. Le prévenu, lâchant un sourire, avance ne se souvenir de rien.

Ouest France, le 22 mai 2015

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Ivre, il jette une vache sur la voiture!

Ce magasin alimentaire du haut de la rue Sébastopol avait, pour les fêtes, choisi de s'offrir une superbe réplique de vache en résine, confectionnée par un artisan local, vendue 2.000 EUR TTC et peinte en rose, par-dessus le marché. Lui, un Plougastel bon teint, 28 ans aux chanterelles et un sérieux coup dans la pipe, déambulait de traviole le long de cette rue sur les coups de 17 h 30, vendredi.

Si certains voient des éléphants roses alors que l'éthylomètre affiche 1,2 g, lui, au pic de sa forme, c'est cette vache qu'il a aperçue peinte en cette couleur. Au prix d'un effort physique surprenant, il a alors soulevé le bovidé grandeur nature et a entrepris de traverser la route avec la fausse Marguerite (rose, donc) sous le bras. Ce qui se passe après diverge, mais les pouciers opteraient plutôt pour la version de cet automobiliste coincé dans la circulation, qui a soudain sursauté en remarquant qu'une vache rose en résine venait de lui enfoncer volontairement l'aile avant gauche.
Le cow-boy chapardeur a, pour sa part, rétorqué que le bestiau prenait décidément vachement de place, surtout soulevé par les pattes avant et que l'accident était ainsi inévitable. Mais bon : il s'est engagé à réparer financièrement les dégâts causés par ce choc inédit entre une voiture bien amochée et une vache en résine sacrifiée sur l'autel de la cuite de milieu d'après-midi. Il devra en justifier prochainement devant le délégué du procureur.

© Le Télégramme le 22/12/2012

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Une ado se retrouve coincée… dans un panier de basket à 2,50 m de hauteur!

Comment a-t-elle fait ? Les pompiers sont intervenus vendredi après-midi à Saint-Jacques-de-la-Lande, à côté de Rennes, pour secourir une adolescente perchée à deux mètres cinquante de hauteur, coincée… dans un panier de basket !
Le mystère reste entier. Comment cette adolescente s’est-elle retrouvée coincée dans un panier de basket, cet après-midi, à Saint-Jacques-de-la-Lande ? La jeune fille a en tout cas pu être secourue sans être blessée de son perchoir.

À deux mètres cinquante de hauteur
Le panier se trouvait à une hauteur de deux mètres cinquante au-dessus du sol, sur un terrain de la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, près de Rennes. Les pompiers, alertés vers 16 h 30, ont pu ramener la jeune fille sur le plancher (des vaches) sans encombre.

Ouest France, le 17 août 2018

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D'ordinaire sociables et sympathiques, les dauphins peuvent parfois s'avérer menaçants. Depuis que Zaphar, dauphin de trois mètres, est en rut, il se frotte à tout ce qui flotte, au risque de noyer les baigneurs, fait savoir Le Télégramme. Le mammifère aquatique qui nage entre Plougastel, Logonna et Landévennec, dans le Finistère, fait désormais l'objet d'un arrêté municipal qui interdit la baignade à ses côtés.
Un drame a failli se produire au mois de juillet. Le dauphin en rut s'est interposé entre une baigneuse et le rivage. Elle a dû être récupérée par un bateau de sécurité du centre nautique du Four à Chaux, à Plougastel. Plus tard, c'est un kayakiste qui a eu la mauvaise surprise de voir Zafar faire des bonds au-dessus de sa tête.
Face à tous ces signalements, le maire de Landévennec, Roger Lars, a décidé d'intervenir. Il a pris un arrêté interdisant d'être en embarcation ou de nager à ses côtés. « Sans vouloir faire mal, un coup de la nageoire caudale peut faire beaucoup de dégâts », précise la spécialiste mammifères marins à Océanopolis, Sami Hassani, citée par Le Télégramme.

Marie-Christine Thébaud, une passionnée de dauphins qui suit Zafar, indique au quotidien que l'on « ne doit pas s'approcher et nager aux côtés d'un animal qui est à pleine maturité sexuelle ». Si pour elle, « il n'est pas dangereux », « son insistance à venir se frotter justifie pleinement la publication de cet arrêté ». En 2017, la municipalité de la Torche a dû faire de même pour prévenir l'accident.

Le Point, le 26/08/18

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Un individu a braqué une agence bancaire d'Ouessant mercredi 15 février. Un vol violent et exceptionnel pour cette île située à vingt kilomètres des côtes bretonnes. L’homme a été interpellé dans l’après-midi.
Les 860 insulaires d’Ouessant n’ont jamais connu de faits de ce genre sur leur île. Mercredi matin, les gendarmes ont été appelés pour un braquage de banque.
Vers 11h, alors que la petite agence Crédit Mutuel, seulement ouverte deux jours par semaine, allait fermer ses portes, un homme âgé d’une cinquantaine d’années fait irruption dans l’établissement.

L’individu ordonne alors à l’employée de la banque de lui remettre de l’argent, mais celle-ci refuse. "Il l'aurait ensuite agrippée par les cheveux avant de la tirer par terre et lui imposer d'ouvrir le coffre", rapporte Ouest France.

Après avoir récupéré une forte somme d’argent, le suspect aurait regagné son domicile, une maison de location située hors de la ville.
Dépêché sur les lieux du braquage, le maire d’Ouessant découvre la banquière encore sonnée. Son agresseur ayant opéré sans prendre la peine de dissimuler son visage, elle l'identifie rapidement: il s'agit d'un de ses clients.

"L'avantage, explique le maire Denis Palluel, c'est que sur une île, il ne risquait pas d'aller bien loin!" En effet, sur cette île d’une superficie de 15 km2 et de 860 habitants, les gendarmes, venus du continent en hélicoptère, ont retrouvé le braqueur sans difficulté.

Placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie d’Ouessant (uniquement ouverte les deux mois d'été), il devrait être rapatrié à Brest pour la suite de l'enquête.

BFMTV, le 16/02/17

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C'est la mascotte des habitués du café Stang ar Beo, un bistrot du centre-ville de Lannion (Côtes-d'Armor). Mais cette truie néo-zélandaise, surnommée «Josken», qui signifie joue de porc rôti en breton, s'est fait la malle dans la nuit de vendredi à samedi. Elle a finalement été rattrapée par les polices nationale et municipale, qui ont dû faire usage d'un pistolet à impulsion électrique pour maîtriser l'animal.

«Elle a profité d'un grillage mal clôturé. Elle a endommagé la pelouse d'un voisin et s'est retrouvée dans la rue. Polices nationale et municipale se sont lancées à ses trousses. Et ont dû faire usage du taser à trois reprises pour la maîtriser», raconte le propriétaire de «Josken» dans les colonnes de Ouest-France.

Une escapade qui a coûté de l'argent : le maître de «Josken» a dû payer 66 euros pour récupérer sa bête et une amende de 35 euros pour vagabondage. «Josken», elle, tente de se remettre doucement de ses émotions après avoir encaissé trois coups de pistolet électrique...

Le Parisien, 01/03/15

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Il ne s'est pas découragé, loin de là. Après avoir échoué dans son défi de courir plus vite que le métro de Rennes en novembre, Sébastien a décidé de retenter sa chance face à un bus cette fois-ci, comme l'a repéré Ouest-France.

Le Rennais, féru de course à pied, s'est entraîné pendant des mois pour relever ce nouveau défi. Parti du campus Beaulieu, il a parcouru 3,6 kilomètres en courant pour arriver en même temps que le bus C4 sur la place de la République. A noter que le C de C4 correspond au terme «chrono». En effet, cette ligne est la seule à Rennes qui bénéficie de voies dédiées lui donnant priorité sur les voitures, ce qui augmente d'autant plus sa cadence.
En novembre, Sébastien avait déjà tenté de défier le métro de Rennes, imitant le phénomène «race the tube» initié à Paris et repris dans plusieurs villes européennes. Le sportif n'avait pas réussi à vaincre la machine. Le métro de Rennes, l'un des plus récents en France, circule sur certaines portions à plus de 70 km/h.

20 Minutes, le 07/05/2015

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Un homme de 73 ans a été jugé ce mercredi par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor). En octobre dernier, il avait été interpellé par la police après un rodéo au volant de sa voiture en centre-ville.

Le 30 octobre dernier, aux alentours de minuit, les policiers de Saint-Brieuc doivent intervenir pour arrêter le rodéo d’un véhicule en centre-ville (au niveau du Boulevard Sévigné et rue des Promenades). Selon le rapport de police, le conducteur effectuait des coups d’accélérateurs suivis de coups de freins. Et aurait effectué 17 tours de rond-point. Les policiers découvrent au volant de son véhicule un homme, âgé de 73 ans.

Le septuagénaire s’est présenté, ce mercredi, devant le tribunal correctionnel. Le prévenu est poursuivi pour son refus d’obtempérer à une sommation de s’arrêter, la conduite en état d’ivresse manifeste, le refus de se soumettre au contrôle d’alcoolémie et la conduite à une vitesse excessive eu égard aux circonstances.

Le procureur souligne que l’homme avait déjà été condamné pour une affaire similaire, en 2012.
Pour sa défense, le septuagénaire affirme ne pas avoir entendu les sirènes des voitures de police. Son avocate précise que son client dispose encore de 11 points sur son permis de conduire.

Ouest-France, le 10/01/2018

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L’homme voulait célébrer l’anniversaire de son fils, emprisonné à la prison de Vannes.
Ivre, un homme a tiré des feux d’artifice, dans la nuit de samedi à dimanche, à Vannes (Bretagne) pour fêter l’anniversaire de son fils détenu. Il a été interpellé par la police, comme le rapporte Ouest-France.

Selon le journal local, dimanche vers minuit, des policiers sont appelés pour du tapage nocturne, près de la maison d’arrêt de Vannes. A leur arrivée sur place, ils découvrent trois personnes en train de chanter et de tirer un feu d’artifice.
Interrogé par les policiers, l’homme, fortement alcoolisé, leur explique qu’il est venu un feu d’artifice à son fils, détenu à la maison d’arrêt.

Les trois personnes ont été laissées libres. Un procès-verbal leur a été dressé pour tapage, poursuit Ouest-France.

Le Parisien, 02 mai 2018

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Il n’avait pas compris le message. Dans la nuit de vendredi à samedi, un homme a tenté de rentrer chez lui en dérobant un chariot élévateur, après que ses amis lui ont confisqué ses clés de voiture. L’homme a été interpellé par les gendarmes. Il présentait une alcoolémie de 1,88 gramme par litre de sang, rapporte la gendarmerie sur sa page Facebook.

Le bras télescopique déployé
Les faits se sont déroulés à Plougoumelen, non loin de Vannes (Morbihan) au petit matin, samedi. Un témoin voit un chariot élévateur sur la route, dont le bras télescopique arrache les branches qui dépassent. Intrigué, le témoin suit le fêtard à pied. Ce dernier prend peur et laisse l’engin sur place pour tenter de prendre la fuite.

Alertés, les gendarmes n’auront aucun mal à rattraper le fêtard qui titube. Placé en garde à vue, l’homme devra répondre de ses actes devant le tribunal en mai.lés de voiture, il rentre en chariot élévateur!

20 minutes, le 11 février 2018

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Pour celui là, un grand merci à No_Hell

Un serial-killer de lapins sévit dans les Côtes-d’Armor, la police lance un appel à témoins!
Une centaine de lapins morts chez dix propriétaires différents dans le secteur de Minihy-Tréguier… La gendarmerie de Tréguier lance un appel à témoins pour tenter de retrouver la personne qui s’en prend aux animaux depuis la fin du mois d’août 2018.
Depuis la fin du mois d’août, un individu s’introduit dans des propriétés privées du secteur de Minihy-Tréguier dans lesquelles sont installés des clapiers.

« Les cages sont ouvertes, puis les animaux sont froidement tués avec un objet pointu et laissés sur place. On déplore à ce jour 15 faits, une centaine d’animaux abattus chez dix propriétaires différents », indique la gendarmerie qui incite les détenteurs de lapins à « verrouiller efficacement leurs clapiers ».

Sylvie Corlouer élève des lapins à Langoat. Elle fait partie des propriétaires « victimes ». « Cela a commencé cet été. Un lapin avait disparu. puis on en a trouvé un deuxième, mort d’une drôle de façon… ». À ce jour, elle déplore la perte de six lapins, dont deux femelles qui venaient de mettre bas, et par conséquent, les petits sont morts de l’absence de leur mère. La propriétaire a bien failli démasquer le tueur de lapins. « Je l’ai surpris un matin vers 9 h 30, mais il a eu le temps de s’enfuir. »

Le corps d’un animal a été autopsié à sa demande par un vétérinaire. Ici, pas de trace d’objet pointu : la bête a été tuée à coup de pied. « Je suis allée porter plainte à la gendarmerie. C’est là qu’on m’a dit que le cas n’était pas isolé ».

Jean-Louis Even, maire de La Roche-Derrien, a reçu un appel de la gendarmerie ce mardi 23 octobre. Au début, il a cru à une blague… mais « il y a eu moins un cas dans ma commune. Je ne comprends pas comment on peut s’en prendre à des lapins. Serait-ce encore un de ces défis lancés sur les réseaux sociaux ? » s’interroge l’élu.

Ouest France, le 23/10/2018

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Brest: Il balançait ses excréments sur les distributeurs de banque!

Une première condamnation n’a pas suffi à calmer ses « pulsions ». Dimanche matin, les policiers de Brest ont interpellé un homme qui venait de souiller un distributeur de billets avec ses excréments, indique Ouest-France.

Récidiviste, l’homme s’était déjà fait coincer en 2014 pour des faits similaires. Condamné à une amende puis à de la prison, ce Brestois de 56 ans a continué de saboter des distributeurs en déversant urine et excréments à l’aide d’une bouteille. En juillet, il aurait agi ainsi à une trentaine de reprises, selon Ouest-France.

Radié par erreur ?
Dimanche, il s’est fait repérer par la brigade anticriminalité, qui l’a interpellé. Les précédents faits d’armes du gardé à vue ont parfois obligé les banques à changer le matériel, la matière ayant pénétré l’intérieur du distributeur.

L’homme a été remis en liberté et devrait être convoqué ultérieurement au tribunal pour ces faits. Il justifie ses passages à l’acte en parlant de militantisme anti-banque. Il aurait été radié par erreur par le passé.

20 minutes, 25 juillet 2017

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Pour celle là aussi merci à No_Hell!

Un renard a été tué dans un poulailler du Morbihan dans la nuit de lundi à mardi, victime des coups de bec des poules qui savent attaquer sous l'effet de groupe.
Un jeune renard qui avait pénétré à la tombée de la nuit dans un poulailler a été retrouvé mort au matin, victime de ses proies supposées. Les faits, révélés mardi par la presse locale, se sont déroulés en fin de semaine dernière au sein du poulailler bio du lycée agricole du Gros Chêne, à Pontivy, dans le Morbihan.

Un "effet de groupe". "Chaque matin, vers 8 heures/8h30, on fait une visite du poulailler pour voir si tout va bien. On vérifie si les poules ont assez d'eau, s'il y a encore de l'alimentation (…) Et, là, dans un coin, on a trouvé ce renard mort. Les poules sont très vives, il y a eu un effet de groupe, elles l'ont attaqué à coups de bec", a expliqué à l'AFP Pascal Daniel, responsable d'exploitation au lycée du Gros Chêne. Selon Pascal Daniel, dans ce poulailler où les poules sont en liberté toute la journée et ne rentrent que la nuit ou pour pondre, le renard s'est vraisemblablement introduit sur le site à la tombée de la nuit.

"Piégé par la nuit". Mais, pourchassé par les poules, il n'a pas pu en ressortir car les trappes qui ouvrent sur l'extérieur se ferment automatiquement en fonction de la luminosité. L'animal, "un jeune renard de six ou sept mois", s'est donc retrouvé piégé par la nuit et livré à la vindicte des volatiles, selon la même source.

La dernière visite d'un renard dans le poulailler du lycée agricole remonte "à un an/un an et demi", et s'était moins bien terminée pour les poules, a précisé Pascal Daniel.

Europe1, 12/03/19

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Insolite à Vannes. Ivre, il tentait de réanimer un bateau pneumatique!

Ce dimanche, à 4h15, parc du Golfe à Vannes, les policiers ont interpellé un jeune homme de 22 ans. Ivre, il tentait de réanimer... un bateau pneumatique.

C'est une interpellation peu banale à laquelle ont procédé deux policiers vannetais, ce dimanche matin. Vers 4 h 15, ils patrouillent dans le secteur du parc du Golfe, rue Gilles-Gahinet.

Près du chantier naval, ils remarquent un jeune homme, agenouillé et s'affairant près d'un bateau pneumatique. Intrigués, ils s'approchent. Le jeune homme de 22 ans leur explique qu'une personne est sous la bâche du bateau, inanimée. Il a prévenu les pompiers.

Mais sous la bâche… personne. Ivre, le Vannetais était en train de pratiquer un massage cardiaque au bateau ! Les policiers ont pu rappeler les pompiers pour leur signaler qu'il n'y avait plus rien à faire pour le pneumatique, et leur éviter un déplacement.

Ouest France, le 03/01/16

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Un routier n'en a pas cru ses yeux, le 19 mars dernier, à Plélo (Côtes-d'Armor). Sur la RN12, il a doublé un papy qui roulait sans pantalon et sans slip.

L'affaire était jugée lundi par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc. Le prévenu, 69 ans, est arrivé tout penaud à la barre. Il comparaissait pour exhibition sexuelle. Les faits remontent au 19 mars.

Ce jour-là, un routier double le séxagénaire sur la voie express. Un coup d'oeil à droite et le chauffeur du poids lourd découvre l'automobiliste dans le plus simple appareil. Pas de pantalon, pas de slip, simplement un t-shirt.

Le papy ne met jamais de slip
Le témoin appelle tout de suite les gendarmes mais ne porte pas plainte. Le sexagénaire est rapidement retrouvé grâce au signalement de la voiture. Il a dit aux enquêteurs qu'il « ne voulait pas froisser son pantalon ». « Et les sous-vêtements ? », questionne le président du tribunal. « Je n'en mets jamais. »

« Un car scolaire aurait pu vous dépasser », s'indigne le procureur qui demande trois mois de prison avec sursis et 500 € d'amende. Le tribunal a été plus clément : 15 jours de prison avec sursis et 250 € d'amende. « Vous avez quinze jours au dessus de la tête. On vous a à l'oeil ! » conclut le président.

Ouest-France, le 06/10/15

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C’est une histoire plutôt sordide que relate le site Ouest-France. Mercredi, une femme a accouché par césarienne à l’hôpital sud de Rennes. Après avoir insisté pour récupérer son placenta, ce qui est totalement interdit, la femme aidée de son mari a volé l’organe. L’homme s’est enfui avec, tandis que la maman est retournée dans sa chambre. Le voleur a été interpellé un peu plus tard par la police.
La maman qui a donné naissance à son bébé mercredi souhaitait récupérer son placenta, l’organe qui sert de relais entre la paroi utérine et le fœtus. « Le personnel lui a expliqué que ce n'était pas possible, précise un porte-parole du CHU. La législation française ne l'autorise pas. Le placenta, après l'accouchement, n'est plus la propriété de la maman. Il est détruit comme déchets de soins ou peut être utilisé à des fins de recherches scientifiques avec son accord écrit ».
Les sages-femmes ont tout de même accepté de montrer à la femme et à son mari le placenta pour qu’ils voient à quoi cela ressemble. C’est alors que le père s’est emparé de la boîte et s’est enfui en courant. La mère quant à elle n’est pas allée bien loin puisqu’elle venait de subir une césarienne. L’homme a été arrêté à l’extérieur de l’hôpital mais il n’avait plus en sa possession le placenta. Il l’avait probablement donné à un complice. La direction de l’hôpital a décidé de ne pas porter plainte. Le père a donc été relâché.
Mais pourquoi un tel vol ? Très surpris par cet incident, le personnel hospitalier s’interroge encore sur les motivations du couple. Aux États-Unis, de nombreuses personnes, notamment des stars, mangent le placenta maternel, riche en vitamines. Il favoriserait la lactation et soignerait la dépression post-partum, explique Ouest-France. Sur internet, on trouve même des livres de recettes à base de placenta. Bon appétit !

La Dépêche, 31/01/15

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Les militaires bretons de Matignon, dans les Côtes d’Armor, ont d’abord été appelés ce lundi vers 7 heures pour venir chercher un adolescent de 13 ans découvert inconscient sur la voie publique à Plévenon, comme ils le racontent dans un post Facebook. Ce dernier, fortement alcoolisé, loge dans un camping voisin avec sa famille. Sa mère est alors immédiatement alertée par les gendarmes.
Nouvelle mauvaise surprise pour les forces de l’ordre : ils voient la mère, dans un état qui ne laisse guère de doute, arriver au volant d’une voiture.

Devant les gendarmes, elle explique qu’elle vient récupérer son fils. Le dépistage positif de son alcoolémie confirme ce que les militaires redoutaient.

Elle a donc été verbalisée pour conduite sous l’empire d’un état alcoolique et a fait l’objet d’un signalement pour délaissement de mineur de 15 ans.

La Dépêche.fr, le 17/08/2018

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Vendredi soir, les gendarmes de Plestin-les-Grèves n’ont pas eu fort à faire pour résoudre une enquête qui leur est tombée… toute cuite dans le bec.
Un homme s’est pointé vendredi soir au téléphone à l’entrée de la brigade, déclarant être le conducteur d’une voiture retrouvée accidentée dans un fossé, un peu plus tôt, dans la côte de Saint-Efflam, à Plestin. Il explique tout d’abord à son interlocuteur gendarme qu’il n’a pas le permis.

Dans un accès de franchise, l’individu contrôlé positif au test d’alcoolémie, précise même aux enquêteurs qu’il n’a pas bu d’alcool depuis l’accident. En toute logique, il était donc bien en état d’ébriété au volant.
Enfin en appelant son beau-fils, le propriétaire de la voiture, les gendarmes ont appris que celle-ci n’était pas assurée. Le Trégorrois sera convoqué en justice pour récidive de conduite en état d’ivresse et pour avoir roulé sans permis.

Ouest France, le 01/04/18

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Samedi 12 août, un couple, quelque peu alcoolisé, se présente dans un cabinet vétérinaire de Bégard, dans les Côtes-d'Armor. Ils ont visiblement perdu leur chat et le recherchent. Mais, certainement affamés, ils se mettent à picorer des croquettes dans les gamelles réservées aux chiens...

On le sait : l'abus d’alcool ralentit l’activité du cerveau et peut provoquer des pertes de mémoire ou autres confusions... En témoigne cette scène des plus stupéfiantes qui s'est déroulée à Bégard. Une histoire relatée par la Gendarmerie des Côtes-d'Armor sur sa page Facebook.

« Le samedi 12 août, un couple en état d'ivresse fait irruption dans la salle d'attente d'une clinique vétérinaire à Bégard, à la recherche de leur chat manifestement perdu », rapportent les gendarmes.

« Surpris par le comportement pour le moins bizare de ce couple, les propriétaires des animaux présents dans la salle d'attente assistent à une scène qui les stupéfie : les intéressés se mettent à manger des croquettes pour chien mis à la disposition des animaux », détaillent-il.

Alertés par les employés du cabinet, les gendarmes de Bégard découvrent « nos fins gourmets » sur un parking proche. Tous deux sont alors conduits dans « une chambre de luxe de la brigade afin qu'ils puissent tranquillement digérer leur repas durant une sieste improvisée... »

On ne saura pas, toutefois, si les deux hôtes des gendarmes bégarrois ont été malades comme des chiens...

Ouest-France, 16/08/17

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Une soirée de beuverie entre trois copains s'est mal terminée, mardi à Lannion. Les policiers sont arrivés alors que l'un d'eux, un homme de 27 ans, était blessé à l'abdomen de trois ou quatre coups de couteau. Ils pensent alors à une rixe d'autant plus que les deux autres hommes sont incapables de s'expliquer, affichant une alcoolémie de 2,90 g et 2,46 g.

La victime, en ivresse manifeste lui aussi, s'est fait recoudre aux urgences de Lannion où il a mis le bazar puis a fugué. En dégrisement, une fois calmé, il a tout simplement confié aux enquêteurs qu'il s'était frappé lui-même avec le couteau. Et que ça n'était pas la première fois. « L'agression » a donc été classée sans suite. Il n'en est pas de même pour les cas avérés « d'ivresse publique manifeste ».

Ouest-France, le 09/04/15

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La cour fédérale de Miami a donné son jugement dans le dossier "Gal Vallerius". Présenté comme le "baron de la drogue du Darknet", le Breton a été condamné ce mardi 9 octobre 2018 à 20 ans de prison. Il est accusé par la justice américaine de vendre de la drogue sur le darknet (l’internet parallèle). Gal Vallerius avait été arrêté aux États-Unis alors qu’il s’y rendait pour un concours de barbes.

L’information est tombée au petit matin en Floride ce mardi 9 octobre. Selon les médias américains, Gal Vallerius alias « Oxy Monster » a été condamné à 20 ans de prison. En juin, ce Franco-israélien de 36 ans avait plaidé coupable devant la cour fédérale de Miami. Il était accusé d'avoir orchestré, en ligne, la vente de drogues (cocaïne, héroïne, méthamphetamine, oxycodone...) par le biais de monnaie virtuelle, comme le bitcoin.

Poursuivi par la justice américaine pour « conspiration en vue de distribuer des substances contrôlées et en vue de blanchiment », Gal Vallerius est apparu souriant et avenant, devant Robert Scola, juge du district de Miami. Le fruit d’une négociation avec l’accusation : au lieu d’encourir la perpétuité, il encourrait 20 ans de prison, à condition de mettre ses talents au service de la lutte contre les trafics.

500 000 dollars en cryptomonnaie
Après plus d’un an passé en prison, en Floride (États-Unis), Gal Vallerius connaît désormais sa peine. Elle devait initialement être rendue mardi 25 septembre, mais une demande de renvoi avait été formulée, et acceptée. Il avait accepté, il y a plusieurs semaines, de négocier.

C’était la dernière étape judiciaire d’une affaire commencée le 31 août 2017, lorsque cet habitant de Plusquellec (commune de près de 500 habitants, située près de Callac dans les Côtes-d’Armor) était arrêté par les agents américains de la lutte antidrogue (DEA), à son arrivée à l’aéroport d’Atlanta alors qu’il venait sur le sol américain pour participer au championnat du monde de barbe et de moustache, à Austin (Texas). Le profil de Gal Vallerius est étonnant… L’affaire avait fait le tour du monde.

Ouest-France, le 09/10/18

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La police a interpellé, lundi, un moniteur d'auto-école à Saint-Brieuc. Il conduisait sous l'emprise de stupéfiants. Lors de la perquisition, ils ont retrouvé 1,4 kg de cannabis et de la cocaïne.
Tout a commencé par une petite lettre adressée au commissariat de Saint-Brieuc l’été dernier. Puis une autre, encore, dénonçant le même moniteur d’auto-école briochin, accusé de se livrer à un trafic de stupéfiants pendant ses heures de boulot
En juillet dernier, le groupe stups du commissariat est chargé de l’enquête. Les investigations ne tardent pas à porter leurs fruits. Et notamment les réquisitions téléphoniques, qui apportent leurs lots d’indices et d’éclairages

Lundi, l’affaire étant mûre, la police a interpellé le moniteur au petit matin. Il était au volant de sa voiture - qu’il conduisait sous l’emprise des stupéfiants. Deux personnes identifiées comme ses possibles fournisseurs, à Langueux et Pordic, ont été interpellées également. Lors de la perquisition, les enquêteurs ont retrouvé 1,4 kg d’herbe, du cannabis - et aussi des emballages pour plusieurs kilos -, ainsi que de la cocaïne.

Au total, cinq personnes ont été placées en garde à vue. Six clients entendus. Aucun n’était un conducteur en herbe, élève de l’auto-école. "Le trafic se faisait plutôt dans un cercle restreint", rapporte une source proche de l’enquête. "Mais le moniteur livrait au gré de son trajet, via des rendez-vous, pendant la journée".

Le suspect, âgé d’une trentaine d’années, a déjà été condamné pour infraction à la législation sur les stupéfiants. Mais dans ce dossier "tous les suspects sont des gens qui travaillent par ailleurs, et qui évoquent plutôt une consommation "festive"", indique cette même source. Ils seront jugés le 22 février prochain à Saint-Brieuc.


© Le Télégramme, le 09/11/17

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Merci à Chaton-Marmot

Mercredi 5 juin, les gendarmes ont interpellé un homme qui roulait avec 3 grammes d’alcool par litre de sang. Le conducteur allait chercher ses enfants à l’école.
À 16 h 40, mercredi 5 juin 2019, un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule et a percuté une barrière dans le centre-ville de Saint-Renan, près de Brest (Finistère).

Envoyée sur place, une patrouille de la gendarmerie, qui effectuait des contrôles routiers sur le secteur, s’est rapidement aperçue que le conducteur était ivre. Soumis au dépistage l’homme roulait avec 3 g d’alcool dans le sang. « Un taux à l’éthylomètre de 1,51 mg/l d’air expiré a été retenu », détaille la gendarmerie.

Le conducteur a expliqué plus tard aux forces de l’ordre qu’il « allait chercher ses enfants à l’école ». Il fera l’objet d’une ordonnance pénale délictuelle en juillet.

Ouest-France, le 07/06/19

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Merci à No_Hell

C'est une mère de famille qui s'est émue de ce produit en vente dans les rayons de la Foir'Fouille, zone de Gourvily à Quimper, ce samedi.

En l’espèce, il s’agissait d’un "mouton pour pénétration". L’objet, vendu 7,70 €, était accompagné d’un dessin suggestif qu’on s’attendrait davantage à voir dans les rayons d’un sex-shop. L’émoi de la maman a été relayé par une association baptisée "Les Initiatives citoyennes", qui a dénoncé une "incitation à la pornographie zoophile".
Les réseaux sociaux ont commencé à s’emparer de l’affaire. Alerté à son tour, le commissariat de Quimper a mandaté, cet après-midi, une patrouille sur place pour constater la présence dudit mouton. Les policiers ont effectivement découvert deux échantillons. Le directeur, mis au courant de l’indignation naissante, les a aussitôt retirés de la vente.

L’affaire devrait en rester là, à moins que le parquet juge opportun d’ouvrir une procédure. L’infraction serait alors d’avoir rendu accessible une image pornographique à des mineurs.

Le Télégramme, 30/10/17

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Merci à No_Hell

Jeudi matin en Bretagne, un homme de 22 ans a été arrêté dans son véhicule dans lequel se trouvaient des panneaux de signalisation. Il s'est avéré que cette personne s'en servait pour s'en faire des meubles.
C’est un contrôle de routine qui a permis de mettre un terme à des vols de panneaux de signalisation. Jeudi matin dans la commune de Cesson-Sévigné située aux environs de Rennes (Bretagne), des policiers arrêtent un véhicule afin de vérifier que le conducteur est en règle.
Comme rapporté par BFMTV.COM, l’homme au volant, âgé de 22 ans, explique aux forces de l’ordre être sur le chemin qui le ramènera chez lui. Les policiers usent d’une lampe torche pour inspecter l’arrière du véhicule, et d’y détecter d’interpellants objets.

Un voleur de panneaux interpellé lors d’un contrôle de routine
Après vérification de plus près, il apparaît que le jeune homme transportait des panneaux de signalisation. Les fonctionnaires requièrent alors de lui qu’il les amène à son domicile. Sur place, ils découvre d’autres panneaux de signalisation. L’individu est interpellé et placé en garde à vue.

C’est là qu’il explique aux enquêteurs le pourquoi de ces panneaux. Il s’en servait en fait pour s’en faire des meubles et customiser son mobilier.

Un simple rappel à la loi
Toujours est-il que cette personne avait dérobé ces panneaux, d’une valeur unitaire de plusieurs centaines d’euros, à un certain nombre de communes, lesquelles vont toutefois les récupérer dans les prochains jours ou semaines. Et s’il s’est donc apparemment rendu coupable de vols, les autorités n’ont malgré tout soumis le jeune homme qu’à un rappel à la loi.

24Matin, le 10/07/17

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Cette retraitée a signé un contrat de travail de 25 heures à Concarneau dans le Finistère. Le propriétaire de l'établissement ne trouvait personne à embaucher.
Pour Jacqueline Dervoust, le travail c'est la santé. Mais quand même : à 79 ans, la retraitée s'est vu offrir un CDI de 25 heures par semaine dans une crêperie de Concarneau dans le Finistère et elle s'est empressée d'accepter.

"Je ne trouve plus de personnel"
Certains diront qu'elle ne laisse pas la place aux jeunes ou encore que son employeur aurait pu engager quelqu'un d'autre : oui mais voilà selon le propriétaire de la crêperie, personne n'a voulu du CDI sauf elle. Il l'a d'ailleurs expliqué à nos confrères du Télégrammes.
Ce qui tombe bien pour Jacqueline, qui faisait des crêpes sur le marché de la ville depuis plus de trente ans. Si certains refuse de travailler pour elle au contraire elle en a besoin et elle refuse de rester inactive. "Sinon c'est un pied dans la tombe", a-t-elle confié.

Pourquoi pas Jacqueline ?
Le patron de la crêperie l'avait croisée au supermarché et lui avait proposé un CDD. Ces derniers contrats ont été renouvelés jusqu'au moment où ce n'était plus possible. Comme il avait proposé cinq CDI à la fin de la saison mais que personne n'en a voulu, finalement pourquoi pas Jacqueline ?

Le patron de la crêperie explique qu'au-delà des CDI il est très difficile de trouver du personnel. "Certains ne veulent pas travailler le soir ou le week-end, d'autres refusent des CDI pour toucher les allocations chômage après la saison", rapporte le Télégrammes.

Si certains refusent le travail, Jacqueline, malgré son âge est ravie du poste proposé et l'a accepté.

Midi Libre, le 13/10/18

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Rennes. Il répète pour The Voice et écope d'une amende pour tapage!

Tôt dimanche matin, un locataire a reçu la visite de la police à son domicile, à Rennes, après une plainte du voisinage. Il chantait très fort dans son appartement.
Les policiers ont tambouriné à la porte d'un habitant de la rue du Vieux-Cours, à Rennes, dimanche, vers 7 h.

Des voisins avaient signalé un tapage. Le bruit avait commencé en début de soirée, il avait cessé, puis il avait repris en fin de nuit.
Le locataire, accompagné d'un ami, chantait à tue-tête, dans son appartement, des chansons du groupe Coldplay, avec la musique à fond.

Interrogé par les policiers, il s'est expliqué. S'il pousse la chansonnette si fort, c'est parce qu'il s'entraîne pour les auditions du télécrochet The Voice, sur TF1, dont la saison 5 débuter fin janvier.

En attendant de monter sur scène, peut-être un jour, le Rennais trop bruyant a écopé d'une amende de 120 € pour tapage.

Ouest-France, le 12/01/16

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Pays de Lorient. L'infirmier libéral travaillait 25 heures par jour!

Actes fictifs ou surcôtés : un infirmier libéral du pays de Lorient aurait escroqué 430 000 € aux caisses d'assurance-maladie. Il a comparu hier devant le tribunal de Lorient.

« En 2012, selon les calculs de la Caisse primaire d'assurance-maladie du Morbihan, vous deviez travailler 25 heures et 12 minutes par jour. Ce qui fait beaucoup. Quand vos confrères, en moyenne, accomplissent quotidiennement 9 h 20. Ce qui est déjà pas mal », sourit Vincent Turbeaux.

Actes fictifs, surfacturations...
Le président du tribunal de Lorient, ce lundi, s'adresse à un infirmier libéral du pays de Lorient poursuivi pour avoir facturé des actes fictifs et surfacturé des vrais, prodigué des soins non prescrits, visité des patients absents car hospitalisés, travaillé quand il était remplacé...

Triple salaire
Ces dernières années, le quadragénaire gagnait trois fois plus que l'infirmier breton moyen.

Et pour cause : la CPAM mais aussi la Mutualité sociale agricole (MSA) et le Régime social des indépendants (RSI) s'estiment lésés à hauteur respectivement de 381 001 €, 47 441 € et 3 585 €.

"J'étais endetté"
« Vous saviez que vous alliez vous faire piquer », l'interroge encore le président.

« J'étais endetté et plus je travaillais, plus je payais d'impôts, se justifie le prévenu. Je commençais à couler, alors j'ai fait des facturations fictives. »

"Train de vie excessif"
Pour autant, il ne reconnaît avoir détourné « que » 150 000 €. Son avocat dresse le portrait d'un stakhanoviste, « spécialiste des cas lourds », sur le pont de 5 h à 22 h.

Le vice-procureur dénonce « une fuite en avant, un train de vie excessif » alimenté par « l'argent de la solidarité nationale ».

Ses biens, et notamment un bateau à 97 000 € saisi depuis, « n'étaient pas vraiment à lui. Il ne vivait qu'à crédit », oppose encore son avocat.

Trente mois avec sursis requis
Une peine de trente mois de prison avec sursis a été requise. Elle est assortie d'une obligation d'indemniser et d'une interdiction définitive d'exercer la profession d'infirmier en tant que libéral.

Le jugement a été mis en délibéré au 23 mars.

Ouest-France, le 24/02/15