Les Olimar 2019

Annotation :

//Jeu de l'année//

Encore une fois, c'est un jeu indépendant qui a marqué mon année. Le titre d'Asobo fait vite oublier le classicisme de son gameplay avec une ambiance sublime, un univers immersif et un rythme maîtrisé. Je me demande vraiment jusqu'où cette équipe peut aller avec davantage de moyens et d'ambition pour un prochain jeu,

//Meilleure Ambiance//

France médiévale fidèle+ Peste avec de gigantesque essaims de rats + graphismes et mise en scènes soignés = combo gagnant.

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//Pire jeu de l'année//

Une année à oublier pour Avalanche, entre un Rage 2 médiocre et ce Génération Zéro sans âme, qui donne l'impression de jouer à un énième jeu de survie comme il en pulule depuis DayZ.

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//Jeu téléchargeable de l'année//

Certains journalistes l'avaient prédit : ce jeu surgissant de nulle part allait faire son petit effet. Complet et accessible pour un jeu d'un genre jugé désuet, Disco Elysium brille dans tout ce qu'il entreprend.

//Meilleur Scénario//

Une écriture brillante et un univers délirant. Une traduction, un jour, on l'espère.

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//Meilleur Gameplay//

Quel dommage qu'il soit passé inaperçu ! Après Quantum Break, un cas d'école de coup d'épée dans l'eau, Remedy nous sort un gameplay partant des mêmes bases, mais le maîtrise bien mieux et le sert dans un cadre très intriguant (quoiqu'à double tranchant).

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//Meilleurs Graphismes//

Une pure invitation au voyage et à l'émerveillement, avec une vision bien claire de la nature sauvage.

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//Meilleure OST//

Un excellent travail de Chipzel, qui nous livre des musiques bien punchy et entraînantes.

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//Meilleur jeu qui méritait un Olimar//

Exodus est le digne successeur de Last Light. Pas moins, mais pas plus, non plus. Quoi qu'il en soit, on a plus parlé de lui pour son exclusivité surprise que pour sa contribution à l'année vidéoludique...

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//Jeu pas si mauvais que ça de l'année//

Peu de jeu ont autant divisé que celui de Patrice Désilets. Même si j'ai été assez décontenancé par l'anti-dirigisme du jeu, il faut avouer que le projet est très intéressant et peut montrer qu'on peut à la fois mettre les moyens et s'affranchir d'un cahier des charges mercantile.

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//Jeu multi de l'année//

Respawn montre encore sa maîtrise des gameplay fun, rapides et facile à exploiter. Un démarrage canon et une copie plus que propre qui a fait des remous chez ses concurrents. Malheureusement, il peine à tenir la distance.

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//Editeur/Développeur de l'année : Epic Games//

Dire qu'Epic a fait son trou cette année est un sacré euphémisme. Non contents d'avoir fait de Fortnite un phénomène de pop-culture, les voilà qui se mettent à défier Steam dans son monopole. Et un concurrent sérieux à Valve, ce n'est pas trop tôt. Le système de code créateur et de jeux régulièrement offerts leur permettent d'avoir un bon point d'appui. Il s'agit maintenant de confirmer, surtout avec le chantier de l'amélioration de l'interface.

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//DLC de l'année//

Un DLC surprise pour faire le lien entre Borderlands 2 et 3 (et aussi pour encourager les gens à tester les textures Ultra HD). Et attention, cela ne se résume pas à une quête de 15 minutes : c'est bien une extension digne de celles déjà développées pour le jeu, et offerte gratuitement à la période de sa sortie !

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//Pire DLC : Les skins Prestige//

Les skins prestige sont des versions "dorées" de skin existants. Pour faire court, il faut beaucoup jouer pour accumuler des points pour les acheter, et de préférence acheter un pass d'évènement ou des lootboxes pour le faire plus vite.

Ce serait a peu près potable si les skins n'étaient pas moches et le système de points confus. De plus, ils avaient promis la rareté des sorties de skins Prestige alors qu'il en sortent un à tous les évènements...

Bref, un très mauvais moyen pour faire dépenser de l'argent à ses joueurs.

Annotation :

//Meilleur jeu auquel je n'ai pas accroché//

Je m'attendais à ce que le projet se casse la gueule à la Yooka-Laylee, et je suis bien content d'avoir eu tort. Le flair est bien présent dans le jeu, mais la manette m'a lâché des mains. Peut-être que le manque de souplesse dans la maniabilité m'a rebuté. Les graphismes, aussi, peuvent y être pour quelque chose.

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//Meilleur jeu joué en retard//

Grâce au magnifique travail de traduction de l'équipe Scarlett Study, j'ai pu enfin plonger dans ce très bon épisode de la saga des Ace Attorney. Les personnages et les affaires sont parmi les meilleurs de la série.

Annotation :

//Pire jeu joué en retard//

Il y a quelques années, j'ai fini Scrapland, aujourd'hui encore un de mes jeux du coeur. C'est pourquoi j'ai tout de suite voulu jouer à ce jeu, du même créateur, et il faut dire que le pitch promettait. Malheureusement, le jeu est une véritable torture à contrôler et son ergonomie est aux abonnés absents, sans oublier son ton cynique raté. Je peux arrêter de me mentir : la presse avait raison.

Annotation :

//Déception de l'année//

Même un gameplay grisant ne peut rattraper ni le monde ouvert le plus pathétique de ces dernières années, ni le manque de satisfaction qui en découle.

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//Déception téléchargeable de l'année//

Je m'attendais à beaucoup de la part du développeur derrière The Next Penelope. Malheureusement, à part son design chatoyant, le jeu n'arrive jamais à nous communiquer le charme auquel il prétend. L'aventure devient corvée, et je n'ai pas signé pour ça.

Annotation :

//Arnaque de l'année//

EA n'a pas compris que quand on parle de Bioware, on parle des storytellers, pas des gens qui designent les armures. L'arnaque, c'est qu'EA a lâché tous ses plans, abandonnant les joueurs qui restent. Bon, apparemment, c'est pour repartir de zéro, mais bon...

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//Succès immérité de l'année//

Une redite d'Hotline Miami. Pas forcément mauvais, juste une impression de déjà-joué.

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//Prix "Apparemment, c'est sorti cette année"//

Enfin. La risée de l'E3 peut enfin tirer sa révérence.

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//Addiction de l'année//

Tetris toque à la porte et nous rappelle pourquoi il est irréprochable. J'attends toujours mon top 1.

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//Plus grosse attente de 2020//

Pas super fan du gameplay de The Witcher, je suis très curieux de voir CD Projekt sur un FPS. L'ambition me plait, l'univers est détaillé, peu de zones d'ombres... S'ils ont bien joué leur coup, on aura sans doute un aperçu de ce que la nouvelle génération peut nous apporter.

Annotation :

//Plus grosse attente téléchargeable de 2020//

Conquis par un trailer E3. Sera t'il un jeu 2D oubliable ou son message est-il aussi subtil qu'il puisse le paraitre ?