Les carottes sont cuites 2018

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Oui c'est un documentaire sur des chats dans les rues d'Istanbul. Non seulement la ville est superbe, mais en plus il y a des chats.

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Et là il y a des rats sur les plages américaines ?
Blague de continuité à part, la caméra suit les divagations incertaines et hésitantes du personnage principal lors d'un été. On assiste à sa formation identitaire au fil de ses erreurs et interactions avec sa famille, ses amis, et des inconnus. L'esthétique est très film indé ricain, ça plaît à l'oeil. Et c'est un film assez calme, finalement.

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Une fanfiction douteuse de Justin Bieber transposée à l'écran. Il va sans dire qu'au vu du contenu de qualité, j'ai bien vomi, après d'incessantes sueurs froides et une constante consternation. Au delà du scénario volé sur internet, le jeu d'acteur nous met mal à l'aise, les répliques n'ont pas d'âme. Bref il n'y a vraiment rien à sauver.
DU. CACA.

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Non non non non non. J'aurais facilement cru que c'est un film tourné par une troupe de théâtre du village, au vu du style plat et sans conviction des "acteurs" qui ont l'air d'avoir été forcés par un prof trop enthousiaste. Ovide peut se retourner dans sa tombe un petit peu.

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Une histoire simple, des personnages tirés de tropes conventionnels, mais on y croit. Le film passe crème car les interactions respirent une certaine authenticité, et la suédoise est bien fascinante. Ç'aurait pu être une oeuvre très lourde mais les ecueils sont évités malgré l'absence de toute surprise dans le déroulement de l'histoire.

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Une première partie assez oubliable et certainement quelques maladresses, avec un personnage principal effronté et haïssable par son comportement, qui pourtant se débrouille pour construire une rampe parallèle où l'empathie finit par se produire.

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Une romance dans les champs. Les faits sont simples, l'histoire ne demandera pas d'efforts quant à sa compréhension. Il y a pourtant ce sujet abordé qui fait de Seule la terre une oeuvre digne d'intérêt: l'asociabilité et le manque d'émotion total du personnage qui se retrouvent en conflit avec le nouvel élément ajouté à sa vie monotone. Le collègue bouscule, subtilement, démonte des barrières infranchissables et pousse l'anglais vers l'inconnu.
La localisation de l'action a pour moi un aspect fascinant, qui porte à la réflexion. C'est par l'isolation, par une étape forcée loin de toute civilisation que John se transforme. Dame Nature lui lance un défi en l'accueillant en son sein, et il doit y faire face avant de retourner vers le monde 'normal'. Les ruines de la ferme isolée agissent comme un espace liminal, un endroit dont le rôle primaire est le changement. Comme la forêt dans les contes de fée, John se doit de ressortir grandi de cette 'épreuve', ou ne pas en ressortir du tout.
BREF Seule la terre est un film plaisant et pas uniquement du fait de son titre très cool.

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Eh bien, je ne me souviens même plus de l'histoire.

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Pas déplaisant. #kamini

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Ce qui est particulièrement dommage dans Black Panther c'est que les gens qui ont écrit le scénar ont décidé de s'en servir comme d'une plateforme politique pour aborder les sujets qui fâchent aux États-Unis. Cool pour vous les gars, mais nous on veut juste un blockbuster avec des super héros, pas un pamphlet revendicatif.

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Mouais mouais mouais, très académique et prévisible

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Moui, oça faisait longtemps que je n'avais pas plongé dans la Finlande. C'était un film simple, bien rythmé, et plaisant. Visuellement acceptable, la caméra fait parfois des mouvements ou des angles douteux; aussi, c'est un film qui n'offre rien de nouveau, pas de surprises.

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Une oeuvre intéressante sur plusieurs points. Malgré son caractère fictif, Inexba apporte beaucoup d'éléments culturels de l'Afrique du Sud, servis sur le grand plateau du conflit entre tradition et le monde contemporain. On a un univers masculin, aucune femme devant la caméra et si quelques unes sont brièvement mentionnées c'est en relation avec justement la relation qu'elles ont avec ces hommes. Ce camp de formation aux rites des tribus dont la première étape est la circoncision n'est pas un stage culturel pour autant. Ces quelques jeunes hommes y sont envoyés afin d'affirmer leur masculinité, ou en l'occurence pour celui que l'on suit de plus près, de le "remettre sur le droit chemin". Effectivement, Inexba aborde dans ce contexte particulier l'homosexualité et surtout l'homophobie au coeur de ces traditions de virilité. Le monde contemporain sait que la virilité ou plutôt le concept de virilité n'est pas inhérent à l'idée de l'homme ultra hétéro, et le personnage envoyé depuis la ville dans ce camp en est conscient. Cependant ce n'est pas nécessairement le cas de l'instructeur qui s'occupe de lui. Ce dernier a également une préférence pour les hommes, mais il est engoncé dans la tradition et la question se pose jusqu'à la toute fin, est-il capable d'aller de l'avant ou pas. La fin justement en dit assez sur la pression de l'homophobie sous-jacente délivrée par ce contexte de tradition. Je ne peux pas vraiment m'avancer sur la pertinence réelle de cette dénonciation puisque je ne sais presque rien de la société sudafricaine, cependant Inexba nous délivre son message avec efficacité. Le film est bien rythmé, pas trop bavard, et un brin cruel.

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Essaie de donner de la fraîcheur à un genre surexploité.
Y arrive plus ou moins.
Et ensuite on oublie le film au bout d'une semaine. Woops.

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Un commentaire est il réellement nécessaire, lolilol.

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Eh, un film grec récent qui n'est pas malsain! Il est sorti dans le plus grand des silences et pourtant il est très bon. Chevalier nous propose un groupe d'amis en vacances qui décident de faire un jeu pour voir qui est le meilleur, comprendre par là qu'on assiste à un gros concours tournant autour de l'idée préconçue de l'homme parfait. Vulgairement on pourrait présenter ça comme des papas sur yacht en mer qui délibèrent sur qui a la plus grosse. Mais ce n'est pas une orgie de cuir et de sueur, ce n'est pas Fast and Furious et nous n'avons ni Vin Diesel ni explosions. En fin de compte, j'ai envie de dire que c'est un film sur l'amitié, même si à la surface tout n'est que compétitivité.

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Pas dégueu dégueu, le mystère est dévoilé très progressivement. On n'est pas physiquement tenus en haleine mais la curiosité est piquée, parce que (pour ma part) l'explication de la situation des personnages n'est pas totalement prévisible. Après, le film en lui-même nous apporte des éléments classiques du film d'horreur un peu gothique, avec son lot de bougies qui s'éteignent et de portes qui claquent.

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Alors oui, certes, c'est Ben Wheatley, fallait s'y attendre. Mais tout de même quel bric à brac ce film, tout est en vrac. J'ai un peu somnolé sur la fin mais cette peinture grotesque en noir et blanc est toute une expérience dans l'absurde.

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Les pépés irlandais.

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C'est bien fait, bien rythmé, bien animé. La Tortue Rouge est extrêmement onirique, et c'est bien sympa; mais j'ai un souci avec les histoires de naufragés sur un île déserte, ça me les brise, donc mon appréciation a été présente mais le film ne m'a pas transportée.

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EDINBURGH RPZ
Et sinon je vais rien dire si ce n'est qu'ils ont bien géré les trente mille personnages, que Thor est toujours badass donc tout va bien, et surtout que ce film va engendrer beaucoup de spéculations et de théories fumeuses.

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Bel effort

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Wow. Le titre qui vend du rêve. Une production australienne qui finalement n'offre rien de renversant.

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Le tueur avait un masque super flippant et le film était bien parti. Puis au bout de cinq minutes il l'a enlevé putaing, ça a tout ruiné.