Les films 2019 que je défend

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GROS COUP DE CŒUR
Au travers l'écriture des scénes et des dialogues, Nathan Ambrosioni dresse un portrait réaliste de l'histoire d'un homme qui sorti de prison va trouver refuge cher sa sœur.
Ce point la ma fait ressentir (pendant les 20 premiére minute du film) le besoin d'un jeune cinéaste de vouloir etre aimé et de ne pas perdre ses spectateur en cours de route,mais parait plutot comme sa façons peu commune d'écrire ses films ( c'est a dire que la ou il va tenter une certaine sobriéte certains cinéaste vont quant a eux laisser paraître un coté cinématographique plus "artistique").

En ce qui concerne la globalité de la cinématographie du film, je le trouve trés bon (une réfléxion est dressé a l'éclairage,les acteurs sont douées,les plans caméras et la direction photo sont réfléchis,le travail du montage est considérable,le cadrage est trés bon,les dialogues sont travaillé de façon sobre et efficace...)

Mais je crois que ce que le film a de plus fort avec moi c'est qu'en dehors du fait que le traitement du fond soit travaillé et que la forme soit trés bonne,ce film la ma fait ressentir des émotions que j'avais jusqu'ici peu ressenti lors d'une séance de cinéma.(le découpement technique ma fait serrer le coeur et ma fortement ému.

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En allant voir le film, je pensais que le but pour Bertrand Bonello de faire un Teen-movie était de rassembler le jeune public afin de faire perdurer le cinéma de genre en langue française.
Mais j'en ressort en me disant que si Bonello produit un film pour adolescent, c'est en réalité pour montrer au jeune public un film qu'il n'ont pas l'habitude de voir.

Bonello tente de rassembler les jeunes pour voir un film plus tranquille et sobre, eux qui sont habitués a de la violence gratuite dans des films réalisé avec artificialité.
Peu importe le succès du film, c'est dans sa sobriété que Bonello arrive a s'imposer et a être autant considérable qu'un cinéaste avec seulement 1 Millions d'euros pour faire son film.

J'ai une sorte de fascination pour son travail qu'il dirige en tant que réalisateurs car dans sa recherche la représentation qu'il porte sur l'univers du film est largement réussi.
Dés le début on a l'impression qu'il ne tourne pas a partir de son scénario mais bien que la caméra et nous même plongeons a l’intérieur,et dans la réalité du scénario.
Et c'est la que je vois qu'a travers Zombi Child, Bertrand Bonello s'impose comme un cinéaste car c'est exactement de cette façon la que je différencie les deux.
Par exemple dans l’entièreté de scènes dans les plantations de cannes a sucres ou encore dans la salle de classe on a a la fois l'impression d'étre a l'intérieur d'une réalité qui n'en est en réalité pas une,mais on a aussi l'impression que les personnages sont parfaitement intégré au cadres.
L’intérêt qu'il porte sur l'identification des personnages est aussi particulièrement réussi, par exemple : le langage de jeunes filles, ou même la musique qu'elles écoutent (rappelant la jeunesse actuelle) ou le vocabulaire des adultes (qui essaye d'apprendre a chaque fois des choses au jeunes filles).

Zombi child en résulte un film passionnant qui en plus d’être un grand moment de plaisir et aussi un Bonello qui promet une belle continuité pour sa filmographie, est un des films les plus intéressant de l'année.

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Depuis le Festival de cannes ou le film a fait l'ouverture de la quinzaine des réalisateurs j’ai vu des critiques du film ou d’après eux, Dupieux voulait un film mineur dans sa filmographie qui commence maintenant a se remplir.
D’après moi Le Daim est a la fois un grand film et a la fois un film important pour a la fois sa filmographie et a la fois sa cinématographie.
C'est a dire qu'avec ce nouveau long métrage Dupieux réinvente son cinéma pour laisser d'avantage de réalisme et de profondeur a son film.
Et c'est grasse a ça que je crois avoir compris les valeurs cinématographique du cinéma de Quentin Dupieux, c'est a dire proposer un fond absurde sur une forme réaliste.
Dans ce film, je considère Dupieux comme un cinéaste c'est a dire que la caméra et plonger a l'intérieur du scénario, et ce n'est pas simplement une adaptation.
En effet le spectateur peut croire (avec second degré,Bien-sur) a la globalité de ce qu'il voit et sa grasse a une interprétation de Dujardin fluide avec le personnage, une prise de vue réfléchi et un sentiment que ce que l'on voit n'est pas écrit, la caméra montre plutôt que le film raconte.
Si je devrais reprocher quelque chose au film, je dirais a Mr Quentin Dupieux que le choix de ne plus mettre de sa techno dans ses films est peut etre une bonne chose, surtout quand on sait que c'est pour attirer plus d'émotion,mais le fait dans mettre tant me laisse une touche Américaine ou l’artificialité diu film est dominante et je n'ai pas forcément envie de voir sa dans son cinéma.
Pour résumer ce 6éme long métrage de Quentin Dupieux réinvente et donne de la fraîcheur dans sa filmographie, pour proposer une pièce de qualité aux habitués de Quentin Dupieux qu'ils n'auront pas vu auparavant.

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Quelle joie de voir une palme d'or aussi réussi !
Pendant une bonne parti du film je pensais avoir une technique cinématographique qui s'éléve a un level de chef d'oeuvre.
(En dehors des plans séquences le désir du DEFI du placement de caméras était réussi tout au long du film).
De plus on peut dire certainement qu'au niveau de son histoire ce film peut étre comparé a un OZU moderne ce qui lui fait sa singularité,et entre autre le fait qu'il est gagné la palme.
La nouvelle oeuvre de KORE EDA HIROKAZU a une narration,mise en scéne,écriture comme un corsica ferries un soir de vent. et des personnages qui pour l'ensemble son intéréssant et bien écrit pour de bonne interprétations (Kirin Kiki par exemple a un super role dans le film).

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J'aime cher Benoit Forgeard la façon dont il peut enrichir et apporter de l'originalité dans un cinéma dans lequel il passe.
Sur papier Yves paraissait être un film dont l'originalité faisait toute la force et j'étais impatient de voir le résultat final.
Du coup ce n'est pas seulement une piéce de cinéma singuliére mais une véritable réfléxion sur la nouvelle et peut etre la futur technologie, c'est un film qui mélange les genres : Comédie/Drame/Science-Fiction pour un résultat qui dégage beaucoup d'émotion et qui grace a par exemple les acteurs qui sont fluide avec le cinéma de Forgeard,le montage énérgique qui laisse le temp de regarder une image avant de directement cuté et l'image asser belle sont des points qui permettent a Yves de pénétrer avec classe dans la jeune filmographie de Forgeard.

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A travers ce film Jim Jarmusch nous décrit son amour pour le cinéma de genre (a travers des références tel que: Nosferatu,vidéodrum,the thing, star wars... , mais aussi la mise en scéne et tout ce qui constitue une oeuvre de cinéma considérable ) ainsi il dirige un long métrage de réalisation réfléchit, et un travail réalisé avec soin autant sur son fond ( la pate d'auteur qui impact le film) , sa forme (dans le cinéma d'épouvante et d'horreur américain actuel beaucoup de film implante son scénario avant de créer le decors du film, et The dead don't die l'implante avec maitrise et soin). , que sa technique (comme entre autre l'utilisation de la caméra et du montage, bien que je ne soit pas en accord constant avec ce dernier).
Je trouve la production de ce film magnifique ( c'est comme si le film me faisait un clin d'oeil et me disait ne penses pas que le cinéma de genre américain est en déclin , on peut encore contrer et produire des oeuvres de qualité).

PETIT BONUS : Pour moi le film trouve sa place place sur 2 points différents
1.Le cinéma de genre des années 2010, en allant a l'encontre de la quasi totalité des films d'horreur américain produit par les studios, et fait de son film une oeuvre personnelle (ce qui est un signe de singularité).
2 La filmographie de Jim Jarmusch ( en dressant une oeuvre personnel qui exprime son amour pour le cinéma de genre) .

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Manta Ray est un film atmosphérique thaïlandais dont la presque absence des dialogues, le jeu des couleurs, et les propositions musicales font de ce film une piéce brillante, spirituelle et magnifique

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Je trouve le but et l'efficacité du film trés intelligent car pour faire peur au spectateur on va l'enfermé dans un festival de rassemblement sectaire durant prés de 2h et c'est le manque d'ouverture d'esprit qui va posé probléme a chaque spectateur.
Puisque cette secte est imaginaire, personne ne pourra être en accord avec ce qui est dit et fait a l'intérieur du festival, et étant donné que les deux personnages principaux travaille sur la psychologie des êtres humains, eux vont dans un premier temps être ouvert a cela.
Cette technique fonctionne car aucun spectateur qui aurait pénétrer le festival aurait voulu y rester en entier, mais puisque dans un film un temp est réparti sur maximum 2h alors le spectateur sera obligé d'assister au plus important.
J'ai commencé a m'intéresser a 100% au déroulé du film a partir du moment ou il rentre dans le festival, mais durant tout le premier acte, ils n'y étaient pas et j'ai donc pu être attentif a la réalisation que je trouve extraordinaire.
En effet au montage,l'accumulation de plan fixe sur un mixage son flippant sur le jeu d'acteur fluide avec les personnages donne une fluidité dingue a la cinématographie.

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J'ai bien aimé le film qui d'aprés moi est vraiment bon et est une oeuvre méritant beaucoup de mérite puisque Lanthimos dirige et travaille son ambiance come il aime le faire ,tout en le rendant plus simple d'accés (par exemple l'écriture du film est plus réaliste est moins décalé que ses autres films).
De plus il cadre son film de sorte a ce que tout ses éléments rentre dans l'oeuvre ET/OU le genre du film.

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Pour sa premiére oeuvre distribué en France, SHIN'ichiro Ueda surprend le public du premier au dernier moment.
Avec la promotion qui dévoile une bande annonce gore sur globalité du premier acte, le spectateur se trompe complétement et a en fait aucune idée de ce qu'il s'appréte a voir.
Le montage du film a partir de la fin du premier acte, tout comme l'écriture des 3 actes prouve que Ne couper pas de Schin'ichiro Ueda est une piéce innovante qui est asser importante pour la diversité cinématographique, et que Shin'ichiro Ueda peut s'avérer étre un espoir du futur cinéma Japonais.