Les films mineurs de cinéastes majeurs

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une passion tardive pour le foot, l'envie de voir Stallone en short ou de rencontrer Pelé ? Incompréhensible même pour un Huston vieux. Heureusement, il se rattrape en livrant ensuite ces trois excellents derniers films (Au-dessous du volcan, l'honneur des Prizzis et les Gens de Dublin)

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la rencontre entre Cronenberg et De Lillo était évidente mais l'écrivain est sans doute inadaptable. Le film fait donc dans la symbolique lourdingue.

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Rien d'indigne mais de la part de celui qui a fait Little Big Man, La Poursuite impitoyable ou le Gaucher, ce thriller parait un peu palôt

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Altman le sardonique voulait se moquer du monde de la mode. Il en tire un film caricatural et lourdingue. dans le genre, revoir plutôt The Player ou Un Mariage

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Petite série B un peu grasse, remake d'un film de 1962 (nettement meilleur). Les acteurs sont bons (Juliette Lewis très ambigue) mais le côté gloubiboulga crypto-démoniaque rajouté par Scorcese sur le personnage de De Niro tire le film vers le grotesque

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Hitch fait dans la comédie. Il aurait pu s'abstenir

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LE ratage d'Hitchcock. Film bancal auquel on n'y croit pas une seconde...Heureusement, dans sa filmo, juste après, il y a Frenzy

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Ce qui est bien chez Lynch c'est quand la distorsion entre réalité et fantasme/fiction s'opère progressivement. Là, on est dans le grand n'importe quoi au bout de 3'.

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C'est la Movida, c'est sympa, on s'amuse, on peut tout dire, on peut tout faire et même un film (sans que l'on soit vraiment cinéaste). Pepi a donc le professionnalisme d'un épisode du Collaro Show.

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vite la sortie...

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Almodovar, toujours dans ses années d'apprentissage, croit toujours que le transgression seule peut faire un film. Erreur surtout quand le scénario fait dans le grand n'importe quoi

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c'est moche de vieillir. Dommage que Preminger soit parti sur ce truc

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Fleischer a été un bon faiseur et a même réalisé de grands films 'Les Vickings', L'étrangleur de Boston'....alors pourquoi aller se fourvoyer dans ça !!

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mouais....

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Curtiz a fait 160 films, commençant au temps du muet (il a donc des excuses). Mais là, moins, car il a déjà fait Casablanca, Robin des Bois ou le roman de Mildred Pierce. Préfère encore écouter Walk like an Egyptian, c'est dire

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Chabrol a fait trop de films et dans le lot, il y en a des mauvais. Lucide, il le disait lui-même, notamment pour Folies Bourgeoises. Ce demoiselle d'honneur est limite nanar avec une Laura Smet insupportable

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Chabrol coupe surtout les cheveux en 4, en refusant de traiter un sujet éminemment sexuel. Chabrol un peu trop prude et Magimel un peu trop caricatural dans le rôle du beau gosse

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Resnais avoue sa passion pour la BD. Soit. A la vue du film, j'ai aussi envie de dire "I want to go home"

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un chef op' sans doute sous acide et une fin ridicule. aurais mieux fait de ne pas l'ouvrir celle-là.

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pseudo polar-erotisant avec Meg Ryan (cherchez l'erreur). Raté

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Kate Winslet nue se pissant dessus pour affirmer son animalité devant un Keitel rampant tel le lombric. Sur le papier, on craint le pire et on a raison. Dommage car le film a aussi ses qualités.

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dire que je ne suis pas entré dans le film relève de l'euphémisme

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Ford fait son premier film en couleurs. A part ça rien : film mineur. Point.

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allez on pardonne à Hawks, c'est un film de jeunesse

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Allez on pardonne à Dino, c'est un film de jeunesse : une commande qui sent le rance en plus

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Alors, là non on ne pardonne pas ! A part vouloir montrer quelques charmantes donzelles à poil, je cherche toujours l'attrait de Risi pour un scénar pareil.

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Entre deux films, Woody a un peu de temps pour faire un autre film. Mouais...moi je me dis qu'il peut aussi aller à la pêche.

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Woody Allen avoue avoir été fasciné par Barcelone où il sentait le sexe partout dans la ville. Un film-viagra en somme (tant mieux pour lui) mais un ramassis de clichés dans cette espagnolade aussi sexy qu'un film de cul de M6.

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pas vraiment fan de ce film

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alambiqué, bancal, De Palma s'auto-parodie. Raté.