Les films qu'il faut avoir vu pour être aware !

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Malgré ses multiples maladresses, ses passages un peu ridicules et l'interprétation parfois limite, Bloodsport reste une œuvre emblématique du genre. En effet, le charisme de JCVD et l'hétérogénéité des combattants participent à l'attractivité d'une œuvre certes un peu kitsch mais qui n'a rien perdu de son efficacité.

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Jean-Claude Van Damme se montre tout à fait convainquant dans un film qui se caractérise d'abord par sa touche romantique. Le promoteur sans scrupule secondé par un Ted Levine impressionnant sont quant à eux les vecteurs de toutes les tensions du récit. Un juste équilibre seulement terni par un final un peu trop mélodramatique.

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Même si JCVD ne nous épargne pas quelques bizarreries d'interprétation dont il a le secret, il assure néanmoins le job dans un film plein de bons sentiment et qui a le mérite de proposer de superbes scènes de combat. Par ailleurs, l'inconnue Deborah Rennard incarne l'une des plus belles garces que l'on ait pu voir sur un écran de cinéma.

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Considéré un peu exagérément comme le meilleur film de JCVD, "Replicant" profite d'une bonne idée dont le potentiel est malheureusement altéré par un scénario médiocre et une musique digne d'une piètre série B. En revanche, en terme d'action, le film envoie du lourd et Van damme est vraiment inquiétant dans le rôle du bad guy.

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Ce 3ème opus officiel va s'écarter totalement de l'esprit mainstream des 2 films précédents pour aller vers une proposition beaucoup plus hardcore. Une orientation qui va être appuyée par la facture très pays de l'est des décors et du caractère désincarné des personnages. Mais si le côté austère du film peut rebuter au 1er abord, certaines cases de mise en scène restent tout de même très intéressantes et les affrontements entre Soldats Unisol dégagent une brutalité assez hors norme.

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Le film de Roland Emmerich se regarde surtout pour la confrontation brutale qui se déroule à l'écran entre Van Damme et Dolph Lundgren. Car en matière de scénario et de développement de personnage, on ne peut pas dire que l'intrigue et les enjeux soient d'un intérêt fondamental. Même la romance avec l'actrice Ally Walker ne procure pas forcément les moments émouvants auxquels le récit à l'air de prétendre. Reste des cascades plutôt bien fichues et l'implication physique des deux stars bodybuildées.

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Avec ses allures de chippendale trop bodybuildé et son interprétation maniérée, il faut un minimum de recul pour vraiment apprécier les frasques d'un JCVD perdu dans un film qui s'est considérablement ringardisé avec les années. Par ailleurs, même si le récit conserve une dimension ludique, le scénario stéréotypé et l'écriture extrêmement basique des personnages ne font pas une seconde illusion. Même le combat final avec ses pauses ridicules sur l'action témoigne du manque de rigueur de l'entreprise.

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En dépit d'un manque de budget évident, Cyborg possède tous les apparats d'un manga live post-apo des plus convainquant. Hyper violence, ambiance de fin du monde, méchant aussi impressionnant que grotesque, et un héros taciturne digne des meilleurs western. Un film culte pour les vrais fans de Jean Claude Van Damme.

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Timecop dispose d'un scénario faiblard où se confronte des scènes réussies avec d'autres beaucoup plus bancales. Même constat pour JCVD dont le jeu alterne le bon et le mauvais. La réalisation de Peter Hyams demeure toutefois professionnelle, mais le sujet est loin de révéler tout son potentiel dans un film qui reste un peu gauche.

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Plus à l'aise dans le rôle du frangin dur à cuir, Van Damme offre une interprétation qui alterne le bon et le mauvais dans un film d'action sans grand prestige mais qui possède néanmoins un certain charme. Sheldon Lettich signe, par ailleurs, une réalisation qui a fière allure, aidée par des jeux d'éclairage plutôt classes.

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Dans ce petit film de prison particulièrement sadique, JCVD va jusqu'à salir son image de karateka en refusant à divers reprise de combattre ses oppresseurs. Pour les fans de l'acteur belge, la déception n'est pas loin, mais la facture tragique et brutale du propos s'avère suffisamment réussie pour maintenir un intérêt constant.

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Pensé au départ comme une saga, la 1ère réalisation de JCVD se montre beaucoup trop ambitieuse et débouche sur un résultat bancal. Quant à JCVD l'acteur, son interprétation naïve ne plaide pas en la faveur d'un personnage déjà assez mal écrit. Heureusement, même si on n'échappe pas à certains stéréotypes, le tournois ne déçoit pas.

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Autant l'avouer, le film est grotesque. Ralentis en veux-tu en voilà, doublures foireuses, la dégaine improbable de Van Damme, Henriksen qui en fait des tonnes etc… Et pourtant la vision de Chasse à l'homme reste toujours aussi jouissive. Ça saute et ça pête de partout, c'est n'importe quoi, mais qu'est-ce que c'est bon !

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Même si ce 2nd épisode passe un peu à côté de son potentiel, les références et autres clins d'œil font vraiment plaisir à voir. Et puis côté action, c'est vrai que l'on en a pour son argent même si à force de vouloir en remontrer, on bascule parfois dans un délire pyrotechnique un peu absurde.

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En jouant son propre rôle, l'acteur belge offre certainement sa meilleure performance à ce jour. En revanche, même si l'hommage est plutôt sympa, le scénario s'avère assez anémique dans un récit qui manque parfois de punch.

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Cette production franco-belge n'apporte rien de nouveau dans le domaine du film noir. En l'occurrence, on pourra même reprocher le manque d'originalité assez flagrante de l'intrigue. Néanmoins, malgré un laïus assez lambda, Julien Leclercq propose une réalisation inspirée (avec un très beau plan séquence) et un Jean Claude Van Damme plutôt bon (même si son jeu a quelquechose de mécanique). Par ailleurs, le dénouement est plutôt inattendu et percutant.

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Malgré l'ambiance "Europe de l'est" dans laquelle baigne le film, la confrontation entre JCVD et Scott Adkins ne démérite pas, notamment grâce à un scénario bien ficelé et à une interprétation solide. On peut toutefois être frustré par la rareté des scènes de combat dans un récit qui ne manque pourtant pas de scènes violentes.