Les films qui ont révolutionné les effets visuels

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Willis O'Brien fit régner la terreur dans les salles de cinéma avec son gorille en stop-motion.

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Ray Harryhausen et ses légendaires créatures en stop-motion : Talos, l'armée de squelettes finale, l'hydre...

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Super boulot de Gordon Jennings un peu épaulé dans sa tâche par George Pal, le futur réalisateur de "la machine à explorer le temps" sans oublier Haskin lui-même ayant oeuvré dans les effets spéciaux auparavant. Résultat : dévastateur à l'image des destructions dans le film! Oscar ultra mérité.

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Ernst Kunstmann et son équipe proposent des transparences et des effets optiques inédits jusqu'alors. Un film-précurseur dans bien des domaines.

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John P.Fulton rend Claude Rains invisible de manière magistrale, un choc à l'époque.

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L'art de la miniaturisation et de la surdimension par Gordon Jennings, encore lui. OK il bossait aussi avec Farciot Edouart (un peu à l'oeuvre sur "la guerre des mondes" de Haskin lui aussi!)

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Everett H. Broussard pour les effets optiques, Russell A. Gausman pour les décors surdimensionnés, il impressionne encore aujourd'hui. La séquence de l'araignée et celle du chat sont gravées dans toutes les mémoires...

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Lawrence W. Butler aura l'oscar cette année-là pour ces effets plein de poésie surréaliste dans ses incrustations inédites alors par leur ampleur et leur qualité.

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Un sujet inabordé à l'époque bercé des prouesses visuelles d'Art Cruickshank, justement récompensé par l'oscar. "L'aventure intérieure" de Joe Dante sur le même postulat remportera lui aussi la statuette 20 ans plus tard!

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Le titre majeur du grand John P. Fulton, avec ses fabuleux fonds bleus et sa mer rouge ouverte en deux. Un classique, oscar bien-sûr.

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Gene Warren, Tim Baar et Pal bien-sûr aux commandes visuelles de ce classique de la SF récompensé par un oscar, on oubliera le look bien kitch des Morlocks!

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Des effets spectaculaires pour l'époque par le réalisateur de "King Kong" qui décidemment aimait bien les gorilles. Linwood Dunn à l'oeuvre épaulé par un jeune technicien nommé Ray Harryhausen! Oscar...

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Jennings encore et Edouart dans ce petit classique bientôt remaké par Stephen Sommers. Oscar en 1952.

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Si le film n'a jamais brillé, les effets visuels eux, firent grande impression. John Andrew Berton Jr et son staff n'ont pas eu l'oscar...

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On ne présente plus cette fine équipe depuis devenue légendaire le duo Dykstra/Edlund. Oscar obligatoire ainsi que pour ses deux suites, du jamais vu!

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Un péplum dont le gigantisme et les nombreux effets "invisibles" ont valu à Arnold Gillespie et Robert MacDonald la satuette hollywoodienne

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Un spectacle dantesque orchestré par les effets de Douglas Trumbull et Kubrick himself, révolution? Parfaitement et agrémentée d'un oscar siouplai.

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Si la fusion réel/animation n'est pas nouvelle, elle trouve ici ses lettres de noblesse grâce à Peter Ellenshaw. Oscar 1965.

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Parvenir à rafler l'oscar à "La menace fantôme" en 2000 fut un exploit mais les effets visuels de John Gaeta, Janek Sirrs, Steve Courtley et Jon Thum explosèrent les rétines et l'imaginaire des spectateurs. Le "Bullet-time" était né.

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Peter Ellenshaw et ses matte-painting sans oublier des incrustations fabuleuses et la séquence culte du calamar géant. Et un oscar, un!

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Maquettes impeccables, fonds bleus judicieusement utilisés et la séquence du paquebot retourné est désormais passée à la postérité. Oscar en 1973 pour L. B. Abbott et A. D. Flowers.

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Des effets bluffants par ordinateur pour les apparitions spectrales, le film offre un spectacle visuel étonnant mais pas assez pour avoir l'oscar obtenu par un certain Indiana Jones aux effets bien moins novateurs!

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Dennis Muren et son équipe dans leurs grands travaux, en prime un Ed Harris au visage scanné par ordinateur dans la scène révolutionnaire du pseudopode numérique.

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Douglas Trumbull évincé de l'oscar par "E.T.". Injuste au vu du travail de titan réalisé dont tous les plans respirent l'essence même de la SF moderne.

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Dennis Murren encore, cette fois assisté de Michael Lantieri, les animatroniques de Winston et Tippett complétant judicieusement les effets numériques incroyables du T-rex et d'autres bébêtes préhistoriques. Un oscar déjà prévu avant la sortie du film!

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Lawrence Butler donne corps et âme au roman de Kipling.

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Lee Zavitz aidé du producteur George Pal donne corps à cet exploit alors inconcevable dans un film réaliste sur la conquête de notre satellite.

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Un mélange de toutes les techniques d'effets visuels de l'époque pour donner vie à l'homme d'acier et l'invention du fameux procédé Zoran qui fait voler Superman. Culte!

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Le film qui allait propulser définitivement les effets numériques comme incontournables dans les blockbusters contemporains, un oscar mérité pour Dennis Murren d'ILM.

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Mêler horreur, chronique familiale et effets par ordinateurs redoutables : il fallait oser. Un travail d'orfèvre par Richard Edlund, Michael Wood et Bruce Nicholson.