Les jeux de la gen (2005-2013)

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Parce que Rock Band. Des instruments en plastique, jouer à la rock star, au chanteur, au guitariste, au batteur (bon, moins au bassiste on avouera), le plaisir des potes et potesses retrouvés pour un délire collectif qui fait tripper TOUT LE MONDE - excepté sur le choix des morceaux, bien sûr. Le jeu vidéo dans ce qu'il a de plus "jeu", du plaisir immédiat à plusieurs dans un grand karaoké qui n'oublie pourtant ni le skill ni la replay value. Mon jeu de la gen pour tout ce qu'il représente, et pour les heures passées seul ou en groupe à faire du potin sur des fûts en plastoque à coup de baguettes rageuses.

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Une leçon d'open world, de design, de structure, de richesse, de qualité.

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Que 35 heures de jeu, et déjà l'un des titres les plus marquants auxquels il m'ait été donné de jouer que ce soit sur cette génération ou toutes les autres. Une réputation absolument pas usurpée, et le bonheur jeu vidéo à l'état le plus pur. Du bonheur pour le jeu, pas pour le portage PC de la honte, nous sommes bien d'accord.

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150 heures plus tard, il se dit "non mais sans déconner, c'est n'importe quoi ce succès des 53.594 zombies"

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Le retour de Rayman, le retour de la plate-forme fun et inventive (fans de Mario, taisez-vous), et un bonheur absolu pour les yeux comme pour les oreilles.

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Le jeu de la polémique, le jeu de la discorde, le jeu de la honte, mais un des jeux qui m'a le plus occupé et fait marrer de cette gen.

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Parce qu'il faut bien un Gears dans la liste, que le premier fut pour beaucoup la "vraie" apparition de la next-gen (dat Unreal Engine), que le gameplay bien que très orienté console fait impeccablement bien le job qui lui est demandé, et parce que dans le genre le 2 est incontestablement le meilleur.

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Il existe peu de jeux parfaits, on n'en est pas loin.

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Imparfait, buggué, pas toujours bien écrit ni très bien dialogué, techniquement inégal, mais ne se lasser d'un jeu qu'au bout de 170 heures , c'est tout de même un signe.

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Parce qu'il fallait obligatoirement un représentant de la franchise Bioshock, surtout pour un fan comme moi des productions de Ken Levine et plus particulièrement de System Shock 2. Et contre toute attente, malgré un Infinite que je trouve plus réussi et surtout plus ambitieux scénaristiquement parlant, ça sera Bioschock 2 pour l'ambiance, pour une Rapture plus immersive que jamais, pour le gameplay affiné, et pour ce moment assez inoubliable que fut Minerva's Den.

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Même si le second est meilleur, le retour du coop et une bonne raison de jouer à plusieurs sur PC.

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1000 heures plus tard, il posa sa dernière carte, et se dit "ah tiens, ils ont sorti une suite".

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Non seulement c'est le jeu de l'explosion des indés sur console (et de la scène indé tout court, en termes d'exposition médiatique s'entend), non seulement c'est le moment où on a enfin entraperçu un vague souffle de liberté au milieu d'une succession assommante de sorties "triple A", mais c'est aussi et surtout un excellent jeu.

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Le vilain petit canard (putain que c'est moche), mais le RPG qui marque. Pourtant pas super fan de la licence Fallout, je dois dire qu'après un début assez pénible ("bordel mais c'est Fallout 3") et quelques suées dues aux bugs en tout genre, difficile de ne pas citer FNV comme exemple réussi des RPG open world.

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Alors oui c'est un peu le RPG casu de la honte, je vais me faire défoncer mais bon j'ai aussi mis Dark Souls, hein ? Je suis croque des ambiances med fan du genre (ni trop sérieux, ni trop grave), de l'humour anglais, de ces personnages rigolos et même si c'est super facile et super répétitif, JE M'A BIEN AMUSER