Les meilleurs albums live de King Crimson

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Tout simplement "le" live définitif de KC avec tous les morceaux de "Larks' Tongues" en version surdopée, quelques compositions issues de "Starless & Bible Black" et plein d'impros. Le groupe au sommet de son art.

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Concert stupéfiant qui représente une période de KC si peu aimée, il contient la meilleure performance existante de Cirkus et près de 28 minutes d'impro où l'on voit déjà s'esquisser des morceaux à venir comme Easy Money. Le groupe a rarement été aussi jazz qu'ici, et la qualité de l'enregistrement est plutôt bonne en dépit du volume trop bas. Si comme beaucoup vous n'aimiez pas "Islands" avant vous allez probablement changer d'avis après ce live.

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Ce "live en studio" contient une sélection intéressante de compositions des 4 premiers albums + une performance inattendue de The Creator Has a Masterplan de Pharoah Sanders, preuve s'il en était besoin des fortes influences jazz de cette formation.

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Deux CD qui puisent dans les 3 albums des années 1980 ("Discipline", "Beat" et "Three of a Perfect Pair") qui sonnent ici par beaucoup bien plus puissants et plus agréables que dans la version originale. Red et Larks' Tongues Part 2 sont surprenants aussi. Meilleur album pour découvrir le Crimson reformé avec Belew et Levin, à condition de ne pas être allergique au son léché de l'époque.

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Tâche ardue que de trouver un enregistrement en bonne qualité de la toute première formation de Crimson ; "Epitaph Vol. 1 & 2" est ce qui de mieux on peut avoir à ce sujet. Sauf la première piste, les autres sont d'un niveau suffisant pour apprécier l'énergie et la puissance d'imagination du groupe dès ses premiers pas que l'on voit ici plongé à fond dans le jazz. Plein d'inédits célèbres (Mars, Travel Weary Capricorn ou la reprise de Get Thy Bearings de Donovan), des ébauches de futurs morceaux comme The Letters ou Pictures of a City, des impros... Tout ce qu'on aimerait y voir, quoi.
Les plus gourmands pourront acheter aussi les volumes 3 et 4, parce qu'écouter pour la 4ème fois d'affilée 21st Century Schizoid Man ou Epitaph ça peut être cool à la fin. Sachez cependant que la qualité du son est nettement inférieure à celle des vol. 1 et 2.

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Album live canonique de la période "double trio" (2 batteurs, 2 bassistes et 2 guitaristes) où l'on joue la quasi totalité de "THRAK", une bonne partie de "Discipline" et quelques morceaux des années 70 et 80.

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Pour ceux qui n'en ont vraiment jamais assez des Crims, voici un coffret de 4 CD qui se concentrent essentiellement sur "Larks' Tongues in Aspic" et "Starless and Bible Black" plus un certain nombre de bonus étonnants comme Cat Food, l'inédit Doctor Diamond et plein, plein d'impros. Y'a à boire et à manger.

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EP assez sombre qui anticipe "The Power to Believe" (dont il contient deux morceaux) avec le morceau homonyme de "The ConstruKction of Light", un issu des ProjeKcts et un inédit. Si on devait retenir quelque chose de cette formation ce serait celui-là.

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Le deuxième live de la dernière incarnation de KC tient ses promesses : revenant à des sonorités plus symphoniques et plus délicates déjà annoncé il y a 2 ans par le remarquable "A Scarcity of Miracles", le brio avec lequel ils reviennent sur l'ensemble de leur carrière est impressionnant. Si le sax de Collins est au top de sa forme avec le puissant combo classique The Letters/Sailor's Tale ou encore le mélancolique Epitaph, le Roi ne se prive pas non plus de clins d'oeil plutôt appuyés vers l'époque (révolue) de Belew avec les nouveaux morceaux comme Meltdown. On nous réserve indiscutablement un glorieux avenir.

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Les ProjeKcts ont été une série de petites formations comprenant des membres du "double trio" dans le but de ne pas dissoudre une fois de plus le groupe à cause du perfectionnisme de Fripp. Le concert du 4ème sous-groupe est à mon avis le plus convaincant, mais pour ceux qui aiment se faire leur propre opinion il y a toujours le coffret "The ProjeKcts" avec un live pour chacun des 4 premiers ProjeKcts (les moins téméraires pourront commencer avec la compilation "The Deception of the Thrush").

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"Bremen 1972" est surtout connu pour les 26 minutes d'impro de "The Rich Tapestry of Life" qui ouvrent l'album. D'ailleurs il se termine peu après avec, Exiles, Larks' Tongues Part 1 et c'est tout... Mais ça reste néanmoins culte.

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Un live qui a toujours divisé les fans. Premier publié par le groupe, la qualité du son est par des moments vraiment affreuse, mais il est le seul à contenir Peoria et Earthbound, deux morceaux funky assez insolites pour KC qui valent le détour. Ca reste un objet pour les collectionneurs.