Les pires délires sexuels de Stephen King.

Annotation :

Que dire ? C'est le plus gros WTF de l'histoire du monde ! La scène où Beverly se fait pénétrer par 5 gamins dans les égoûts de Derry est juste épouvantable ! Déjà qu'elle rallonge l'histoire avec une scène trop longue, puis elle n'a aucun sens remis dans le contexte (Eddie qui se perd, la solution baiser !) et elle bafoue le seul personnage féminin, chapeau ! La drogue, c'est mal Stephen !

Annotation :

Merci Stephen King, pour une des plus belles images de la branlette féminine que j'ai pu garder de ma vie, merci. Un portrait d'Elvis peut servir de godemiché les enfants souvenez vous en ! Parfaitement inutile si on sait à l'avance qu'elles sont toutes les deux folles d'Elvis.

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Non, je ne veux pas avoir de scènes où deux enfants se masturbent, ni dans la même scène, un gamin lui propose un plan cul entre homos.

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Des élèves qui racontent leurs expériences sexuelles n'a rien d'intéressant, surtout si ces derniers sont sous la menace d'un revolver, et qu'ils ont l'air bien posay pour des otages. Nous sommes des otages et nous allons bien !

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L'élevé doué : Le rêve n'arrive pas à être effacé de ma mémoire, j'essaye mais rien n'y fait.

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Ok, la déesse de l'ère informatique peut facilement exciter (vu la description qu'il en fait) mais dans la logique du personnage elle ne vaut rien. Bennie Richards, l'homme qui ne veut pas passer pour un citoyen de bas étage en rut comme tout le monde le pense et pourtant cela ne le dérange pas de la lorgner, de lui dire qu'elle a de beaux seins et de l'approcher d'un peu trop près.

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Dédicaces : L'une des pires nouvelles du King, c'est quoi cette histoire pourrie ? Surtout que le pire n'a pas été l'histoire ennuyeuse au possible, mais plutôt la noire qui bouffe du sperme. Dégueulasse.
Ça vous pousse dessus : Cora qui montre son pubis, en fait quelqu'un m'a dit qu'on se fout et que ça sert à rien, scène suivante !

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Le personnage de Norman Daniels est tellement représenté comme un personnage immonde dans tous les sens du terme, que rajouter un nouveau sévice où ce dernier viole sa femme avec une batte de tennis, reste purement anecdotique.

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Un plan à quatre ?

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Ce n'est relativement pas intéressant la scène ou Kemp (?) éjacule sur le lit des Trenton. Il a foutu le bazar dans la maison, c'est pas suffisant ?

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Edgar Freemantle qui lorgne sur sa fille à la fin du livre, m'a particulièrement dérangé, alors peut être que j'ai l'esprit déplacé, mais tout de même.

Annotation :

La grand-mère qui se met à rajeunir (mais pas de trop) me questionne, le fait qu'elle perd sa culotte a t-il de l'importance ? Pas trop, par contre je voudrais savoir si il a pris son pied à écrire un personnage sexy alors qu'elle a 30 ans de plus que lui, dans les faits en tout cas.