Les plus mauvais films de 2014

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Emmanuelle Chriqui à baffer, des dialogues beaufs sans idées, une histoire insignifiante, une réal anonyme... Cerise sur le gâteau, ça confond misogynie et complicité virile. Au secours.

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Je kiffe Alexandre Aja. Il considère que "Horns" est son meilleur film. Pourtant, après 20mn amusantes, ce mélange des genres m'a consterné. En prime, un discours moralisateur qui dévitalise ses pauvres tentatives horrifiques, jusqu'à un climax incroyablement nul. Au secours...

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Là, j'ai vraiment cru crever d'ennui. C'était mon premier Frederick Wiseman, j'y allais plein d'enthousiasme. Où est le grand documentariste qu'on m'a vanté ? C'était très chiant et même prétentieux à multiplier les captations de cours magistraux. Elles m'ont tué ces 4h... A plusieurs reprises, croyant le film fini, des gens se sont levés puis rassis dans un soupir. J'ai acquiescé dans l'ombre.

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Tellement sous-exposé qu'on n'y voit pas toujours grand chose. Vu comme le film est hideux, on réalise trop tard que c'était une bénédiction. Heureusement, c'est court...

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La preuve que tendre vers l'abstraction n'est pas donné à tout le monde. Ennuyeux à mourir malgré de superbes décors, le film fait l'effet d'un court-métrage rallongé jusqu'à l'absurde. Vide d'émotion, le film souffre en prime de l'interprétation caricaturale de Robert Pattinson.

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L'intro de l'opus 1 est superbe. Passé ça, l'humour provoc' de Lars et sa vision de la femme m'ont irrité, en plus de ses piques auteurisantes en forme de branlette analytique. Rendez-moi "Melancholia" et "Dogville"...

N'ayant pas vu le director's cut, ce commentaire vaut pour la version cinéma uniquement.

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L'intro de l'opus 1 est superbe. Passé ça, l'humour provoc' de Lars et sa vision de la femme m'ont irrité, en plus de ses piques auteurisantes en forme de branlette analytique. Rendez-moi "Melancholia" et "Dogville"...

N'ayant pas vu le director's cut, ce commentaire vaut pour la version cinéma uniquement.

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Les errances nocturnes et amoureuses d'une poignée de jeunes ados. De quoi faire une jolie balade mais la pauvreté du traitement rend le film soporifique. Vu le titre et le concept, c'est quand même un comble.

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Un ratage du grand Tsui Hark, qui comme à son habitude veut trop en faire. Quand ça marche, c'est exaltant. Là, j'en pouvais plus de cette interminable intrigue, de ce monstre pathétique et de ces scènes d'action saccadées.

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La lie du blockbuster actuel, hideux et lourd à s'en faire péter le slip. Même pas un plaisir coupable, juste un pauvre dépliant beauf, mais assez consternant pour maintenir éveillé.

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C'est pas humain de faire un film aussi naze avec un pitch aussi cool. Sale caprice d'auteur qui aurait pas dû dépasser le court-métrage, tu ris quatre fois, et sinon tu luttes pour pas couper avant la fin. Bonus : c'est laid.

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Un sujet excitant qui aurait pu donner lieu à un chouette divertissement SF. A la place, on se retrouve avec un mashup de "Taxi" et de "Samsara", avec tout ce que ça sous-entend de raccourcis opportunistes. Très court mais très lourd.

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Jolie photo et début intéressant pour ce remake idiot (les méchants sont insupportables) et finalement dénué d'intérêt alors même qu'il n'élude qu'à moitié la violence de l'original.

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Le film à cause duquel je me sens coupé de ma génération. Je ne comprends pas ce cinéma, je le trouve irritant, tire-larmes au possible et esthétiquement lourdingue. Le visage crispé d'Antoine-Olivier Pilon et ses "Tabernacle !" en guise de virgule, ça ne m'émeut pas, j'y crois pas une seconde...

Restent Anne Dorval et les vingt dernières minutes, assez puissantes. Mais après 4 films, j'en suis maintenant sûr : Xavier Dolan, j'y suis allergique.

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Le précédent était naze, celui-ci l'est plus encore à force de tourner en rond sur un script de sitcom. Les méchants sont moisis, le suspense absent, le personnage de Gwen fait regretter celui de "Spider-Man 3"... Beaucoup de bruit pour rien, once again.

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Une définition assez parfaite du brassage de vent. Quel ennui...

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Ex aequo avec "Enemy"

Des trous scénaristiques ahurissants, des dialogues sans relief, un humour honteux, des exploits physiques qui flinguent la précieuse suspension d'incrédulité nécessaire à l'immersion, et la fin du précédent film en guise d'intro... LA grosse déception de cette fin d'année.

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Ex aequo avec "Le Hobbit : La Bataille des cinq armées"

Denis Villeuve m'a cette fois perdu avec ses filtres jaunasses et ses symboles pesants. Oh, et le héros qui veut passer incognito en enfilant des lunettes de soleil à monture dorée, please...