Ludothèque 3DS : Du RPG à en vomir, merci Atlus de torturer les immondes êtres humains que nous sommes!

Annotation :

Le meilleur jeu auquel j'ai joué sur ma 3DS, je ne serai pas étonné qu'on me dise que c'est le meilleur jeu tout court sur cette console.
Inoubliable et addictif, tout simplement.

Annotation :

Contempler la fin du monde en faisant l'idiot ça n'a pas de prix, ou plutôt si, celui de revivre encore et encore les trois même jours, mais est ce vraiment un problème? En réalité, non.
L'ambiance est pesante, et même si elle l'est moins que la version 64 d'après certain, on se rend très vite compte que l'on est confronté à quelque chose d'étrange, de déroutant, de malsain.
Pourtant on trouve rapidement nos marques, l'appréhension du début laisse place à une aisance motivé par un appétit toujours plus grand de découvertes. Car oui, même si le monde est limité temporellement, il est d'une grande richesse, les secrets fourmillent silencieusement aussi bien dans l'obscurité inquiétante de ses lieux que dans la routine touchante de ces personnages.
Heureusement le journal des bombers entre autre nous servira de boussole dans notre quête de secret qui semble sans fin.
J'ai adoré cette bizarrerie qu'est Majora's Mask.

Annotation :

Radiant Historia c'est avant tout une histoire prenante à base de voyage dans différents univers, de fatalité et d'espoir. C'est l'histoire de son héros Stocke qui tranche avec ce que l'on a l'habitude de voir.
Il ne tombe pas dans le piège du protagoniste taciturne transparent qui par magie se découvre une personnalité. Son évolution est touchante et crédible, on voit clairement qu'il s'ouvre progressivement aux autres au fur et mesure des épreuves qui lui sont infligées.
Les personnages qui l'accompagnent dans sa quête sont tout autant réussis et mémorables, même les antagonistes ont de la consistance. Le tout est servi par un doublage convaincant.
Le système de combat au tour par tour a la subtilité de prendre en compte la position des ennemis sur une grille, cela pousse le joueur à les regrouper pour les frapper en même temps via des combo à rallonge, ce qui est grisant.
L’aspect globale du jeu est assez mignon avec sa 2D mais sans plus, j'ai par contre bien aimé les artworks des personnages qui sont très soignées.
Radiant historia est donc une somme d'histoire que je n'oublierai pas et qui m'a captivé de bout en bout.

Annotation :

Strange Journey est inférieur en tout point à la version sortie sur DS du fait que l'on puisse sauvegarder n'importe où.
J'avoue, je ne m'en suis jamais servi mais son existence ruine l'immersion. De plus il y a ce nouveau personnage totalement accessoire lié à un nouveau donjon super long et avec beaucoup de contenu.
Puis même si il y a des voix et que c'est moins laid et bien le commandant Gore, LUI, il a été purement et simplement défiguré.
Bref encore un bon gros ratage de merde. Merci Atlus.

Annotation :

Un classique. Tout le monde l'avait fait sauf moi donc au moins maintenant je ne suis plus un hérétique en puissance.
Zelda c'est bien, pas aussi bien que je pensai mais très bien quand même.

Annotation :

Trop bien.

Annotation :

À venir

Annotation :

Malgré le look déroutant du protagoniste et l'existence de son amie d'enfance particulièrement pénible, le reste est assez jouissif, et principalement le système de combat qui est sans doute le plus abouti de la série.
L'histoire n'est pas en reste, bien que les thèmes de l'amitié et de la solidarité pourront en repousser plus d'un, pour ma part j'ai trouvé qu'ils étaient exploités de manière plus habile que de coutume.
Dans le contexte d'un Tokyo ou les rares survivants sont divisés en de multiples factions, au cœur d'une guerre d'influence entre démons de l'ordre, du chaos et d'une autre force tout aussi belliqueuse et bien cela ne choque pas. Car dans un monde divisé, la cohésion et la confiance sont une force à ne pas sous-estimer.
Les événements s’enchaînent à un rythme effréné laissant peu de temps mort, mais plus encore les twists sans être des révélations percutantes, ravivent l'intérêt tout le long de l'aventure qui comme habituellement dans la série compte plusieurs "routes".
Certaine arrivent précipitamment et de façon un peu maladroite c'est vrai, mais globalement elles sont satisfaisantes et étonnamment s'éloigne du "triptyque" canonique ordre/neutre/chaos.
Ne vous laissez donc pas abuser par l'apparence de cet opus, il a énormément à offrir et pourrait bien vous prendre en traître.

Annotation :

Un solide dungeon-rpg qui m'a tenu en haleine pendant au moins une année, il est celui qui m'a donné le goût de ce genre de jeu.
Graphiquement assez faiblard il est vrai, un peu austère aussi, il compense avec un système de jeu et de combat prenant sans oublier un multiclassage maboule qui pousse à l'expérimentation.
La cerise sur le gâteau est qu'il nous transforme en véritable cartographe, cela peut sembler superflu mais je vous assure qu'on s'y fait rapidement et on s'amuse à dessiner les cartes des différents donjons.
Par contre maintenant je ne peux plus rejeter la faute sur les développeurs si la carte est daubée et que je galère à cause d'elle ...

Annotation :

N’étant pas amateur des jeux de rythme je m’étais préparé à détester ce jeu comme jamais, mais après un retournement de situation je peux affirmer avec confiance que j’ai adoré ce Rhythme Paradise Megamix.
Cet univers décalé peuplé de personnages foufous, star de mini-jeux simple à jouer et beaucoup plus complexe à maîtriser. On se laisse entraîner dans d’improbables situations, souvent drôles animé par la puissance du rythme et une histoire prétexte plutôt barrée. Les remix sont pas fou musicalement mais offre un challenge appréciable. Les modes annexes sont sympatoche et complètent une offre déjà bien généreuse en fun immédiat!

Le jeu trouve le moyen d’amuser sans se prendre au sérieux, nous permets de nous impliquer à notre convenance, créant une expérience mémorable tout simplement.

Annotation :

Pour beaucoup ce jeu est trop facile, mais comme je suis nul il m'a semblé suffisamment difficile pour que je prenne mon pied dessus.
Comme quoi, être un joueur médiocre ça a des avantages ...
La nouvelle transformation de Link n'est pas aussi accessoire que j'aurai pu le craindre et est au contraire un apport amusant et intéressant.
Le système de location des objets fait sens, il permet d’abolir un ordre des donjons habituellement imposé dans la série ce qui est appréciable, mais ne doit pas forcément devenir la nouvelle norme je pense.
L'amélioration des divers objets est très efficace, peut-être un peu trop, mais rend l'utilisation de ces derniers très agréable.

Annotation :

La quête d'Alm et de Celica bien que convenue est plaisante, sans coup de génie mais sans prise de tête non plus, les différentes batailles retranscrivent bien l'ampleur du conflit qui évolue à un rythme satisfaisant. Ce duo fonctionne d'ailleurs plutôt bien et leurs compagnons respectifs ne sont pas en reste.
Leur doublage est excellent et les musique sont elles aussi très réussie.
Visuellement les sprites des personnages sont élégants, on évite les fautes de goût honteuses et le fan-service trop écœurant.
Au niveau des mécaniques de jeu les donjons même s'ils sont peu inspirés ajoutent de la consistance à une aventure déjà bien riche, les compétences d'arme et objet sont très utiles mais le meilleur reste la roue de Mila qui octroie la capacité de revenir plusieurs tour en arrière, rendant les affrontements plus agréables et moins frustrants.
Cet ajout n'est pas de trop car les cartes sont parfois trop grandes et ou bordéliques et que les invocateurs sont des véritables plaies à vomir un flot continu de bestioles en tout genre.
Pourtant, j'ai adoré me triturer les méninges durant ces batailles passionnantes, cherchant à tout prix une victoire sans perte.

Annotation :

Luigi est dans l'univers Nintendo un personnage attachant, et à mon avis c'est l'adjectif le plus approprié pour décrire ses aventures.
Entre les nombreux gags faisant mouche et la personnalité même de ce poltron de moustachu, il en ressort un sentiment ambivalent oscillant entre de la bienveillance et une sorte de plaisir sadique à jubiler gentiment de sa trouille constante, un peu comme l’attitude du professeur K.Tastroff à son égard en fait.
Le jeu en lui même est vraiment beau avec la 3D activée ce qui n'est pas forcément une évidence dans la ludothèque 3DS.
L'atmosphère réussie et le design très malin des niveaux rendent la progression dans les différents manoirs très agréables, les fantômes eux remplissent à merveille leur rôle de peste fauteur de trouble, stupidement comique mais souffrent peut-être d'une apparence trop "générique".
Le seul vrai soucis est la maniabilité que je n'ai pas trouvé toujours très intuitive, car le découpage du jeu en mission bien que cassant parfois le rythme ne m'a pas réellement dérangé.
En somme, un jeu loin d'être aboominable!

Annotation :

C'était ma première fois avec la boule rose et honnêtement, j'ai aimé ça.
La 3D et l'effet de "profondeur" dans les niveaux permettent des interactions avec l'arrière plan plutôt astucieuses.
La patte est colorée et adorable, la musique entraînante, tout ça contribuent à faire de ce jeu une expérience très agréable.
Il n'est pas difficile d'en voir le bout, mais cela reste plaisant du début à la fin, fin qui malheureusement arrive assez vite malgré des mini-jeux annexes eux-aussi très réussis.

Annotation :

Portage de bonne facture de l’épisode wii du même nom il est un ajout solide à la ludothèque 3ds. Ce jeu est bourré de charme et exigeant sans être injuste ce qui n’est forcément un acquis dans le monde impitoyable des jeux vidéo.
La musique est simplement excellente et vient sublimer une expérience déjà fantastique riche de nombreuses heures de jeu.
Je n’ai jamais autant suer des mains mais c’est avec joie que je suis venu à bout des épreuves sur mon chemin, alors maintenant j’ai la banane :)

Annotation :

Après notre réveil dans le corps du pokemon de notre choix nous voici lâché dans leur monde, traqué immédiatement pas d'étranges créatures. Ainsi commence notre aventure.
L'histoire aidé par un poke-partenaire très attachant et des personnages haut en couleur est donc assez bon enfant mais pas sans intérêts ni instant émotion. Cependant c'est bien l'exploration des donjons qui constitue la majeure partie du jeu. Qu'ils soient obligatoires à l'avancement de l'intrigue ou optionnels et permettent de recruter de nouveaux pokemons, les raisons d'explorer ne manquent pas.
Pour survivre, il n'y a pas de secret, la préparation est la clé de la réussite. Anticiper le pire et y remédier grâce à la composition de notre équipe de trois pokemons et avec les divers objets pouvant être amené en donjon deviendra vite un réflexe salvateur.
Mais bien que notre inventaire puisse être agrandi il reste assez limité, la prévoyance se fera donc au détriment d'un éventuel butin ou se paiera par le gaspillage pur et simple d'objets.
A vous de trouver le juste milieu entre sécurité et avidité.
Car chaque sortie en donjon est imprévisible, en l'espace de quelques secondes la situation peut réellement basculer pour virer au cauchemar.
D'ailleurs visuellement les donjons sont à l'image du reste du jeu c'est à dire assez beaux et colorés, mais surtout embellis par un nombre impressionnant de musiques, très réussies, insufflant ce panache de vie et de sentiment dans le jeu.
En définitive ce premier contact avec la série des "Mystery Dungeon" était enrichissant, plus exigeante que difficile cette aventure ne manque pas de charme et je vous invite à lui laisser sa chance.

Annotation :

Ce fût un très long voyage à travers les mers et le temps.
Je l'ai d'ailleurs interrompu à plusieurs reprises, découragé par les allers-retours incessants, harcelé par une myriade de monstres dans les grottes et donjons, intimidé par l'immensité de la tâche que je devais accomplir. Ce n'était pas toujours plaisant malgré le plaisir de la découverte et les affrontements épiques.
Pourtant au cours de celui-ci j'ai vraiment eu l'impression de vivre d'excitantes aventures, j'ai croisé le chemin de personnages qui m'ont touchés, et leur histoire m'a parut digne du plus grand intérêt pour beaucoup d'entre eux. Je pense que c'est l'essentiel.

Annotation :

J'ai passé un bon moment même si il y avait un peu trop d'aller-retour à mon goût. Luke est un personnage assez clivant, on peut soit le considérer comme un protagoniste travaillé qui amène des interactions intéressantes avec les autres membre de l'équipe (qui eux-même puent la classe), ou bien on peut le voir comme une brêle geignarde qui passe son temps à s’apitoyer sur son sort et à nous casser les oreilles.
Bref, une aventure sympathique avec des combats très appréciables et une histoire prenantes le plus souvent.

Annotation :

C’est l’histoire d’un jeu qui aurait mérité un vrai remaster et pas un simple portage + tant il avait à offrir. Parce que son ambiance virtuo-retro-techno-gothique est dingue et c’est un crime de ne pas la mettre plus en valeur. Car oui! Les musiques déchirent, les nouveaux doublages sont bons et mettent en valeur des personnages un peu trop discret alors qu’ils sont intéressants, par contre niveau gameplay c’est dans son jus et ça suinte de partout.
Les spécificités des combats, personnalités des démons et le système de gestion de macca fonctionnent mais on sent passer l’aridité de l’expérience.
Le jeu et ses donjons sont donc pas toujours très agréable à parcourir, mais globalement j’ai passé un excellent moment.

Annotation :

[Veuillez insérer un comparatif haineux avec le jeu Papier Mario: La porte de Milan si vous avez un problème avec ce jeu sinon lisez ci dessous]

Le jeu aurait pu être bien meilleur si les combats n’étaient pas aussi calamiteux.

Annotation :

En cours!