Marathon marathon, acte 2 : Disney (prod et classique)

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"Hey ho, hey ho, on rentre du boulot."

Ce conte a tellement était repris que j'ai du mal à le voir avec un regard neuf. J'avais notamment l'adapation Blanche neige au pays des soviets, dans le clip de Mylène Farmer, légèrement plus sanglant, qui revenait à chaque scène phare.

Néanmoins, des classique Disney, je pense que c'est le plus vieux qui réussit à éviter les gros clichés.

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Jiminy Cricket doit être un des meilleurs personnages secondaires de chez Disney !
Les scènes ou Pinocchio se fait chahuter et à partir du moment où les ânes débarquent, l'histoire devient un peu trop moraliste pour moi.

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Très bonnes idées de courts-métrages réunis dans une seule et même thématique : la musique. Les compilations suivantes n'auront pas cette chance.
L'idée et belle, mais certains courts sont un peu moins intéressants que d'autres, et une fois qu'on a compris l'idée, les suivants perdent un peu de leur magie.

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Le court en lui même n'est pas intéressant, la bonne idée était de nous faire découvrir les studios Disney et tout le cheminement d'un dessin animé.
On se doutera que la vision est fausse, que ce n'est pas un documentaire, mais ça reste intéressant.

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Tellement méchant qu'on n'a vraiment pas envie de le voir une deuxième. Il n'y a aucune lueur d'espoir dans ce dessin-animé...

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On retient souvent le moment tragique de Bambi, et on finit par oublier qu'il y a deux ou trois scènes absolument ignoble de clichés d'un autre temps, avec au sommet, Bambi qui devient violent et fait le fier devant sa dulcinée...
La reconstruction de Bambi après la mort de sa mère, et l'image du père en font un classique à ne pas louper.

En conclusion, je citerai le plus sensible d'entre nous tous, Chandler Bing qui ne trouve pas ça si dramatique : '- You didn't cry when Bambi's mom died? - Yes, it was so sad when the guy stopped drawing the deer.'

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Enfilade de clichés sur l'Amérique du Sud, très mal introduits ! Le mélange images d'animation et prises de vues réelles n'est pas encore au top.

On dirait un Martine découvre l'Amérique du Sud.

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L'époque est à noté, ce n'est pas un dessin animé comme les autres, c'est de la propagande et à regarder comme tel.
On nous explique comment la seconde guerre mondiale peut être gagnée : uniquement par les airs. Le plus effrayant, c'est de savoir que ce petit film a raison et de savoir ce qu'il va se passer.
Des phrases comme "l'aviation sauve des vies" font froid dans le dos.

Ma note reflète donc uniquement l'objet historique et non pas le discours, précision importante ! Si on oublie, le contexte, leur petit dessin animé pour expliquer la guerre est orienté et n'a aucun intérêt.

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Du mieux par rapport à Saludos Amigos, mais c'est toujours pas ça ! Au lieu de clichés sur les latinos, on a droit à une découverte des différentes danses typiques de l'Amérique du Sud. Pas très inspiré...

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Plus décousu que Fantasia, mais il a la très bonne idée d'inclure Pierre et le loup !

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C'est père castor au pays de la ségrégation ! Assez désagréable à voir aujourd'hui.

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Des courts-métrages qui n'ont aucun rapport. Le problème, c'est que dans un, ils ont eu l'idée de casser les codes entre hommes et femmes {entre ours et ours plutôt, mais ça revient au même, puisqu'il humanise les ours}. Donc on apprend, qu'au pays des ours, il faut frapper sa compagne pour lui signifier qu'on l'aime, et la compagne fait de même. Il faut se rassurer, c'est la tradition...

Même en intégrant Jiminy Cricket dans un autre court, mickey donald et dingo dans un autre, et avec toute la volonté du monde, on ne devrait pas avoir le droit de raconter ce genre d'histoire. C'est même pas une histoire d'époque qu'on pourrait excuser...

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Fantasia est nettement plus intéressant dans le genre.

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Ca m'a un peu rappeler "Grand Champion" dans mon marathon Julia Roberts xD
Celui-ci à l'excuse de l'age mais n'a pas grand chose d'intéressant non plus.

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Le problème avec ces courts qui n'ont rien à voir, c'est qu'on arrive pas du tout à s’intéresser à certains qui pourraient sortir du lot. Le crapaud est plus intéressant que le maitre d'école. Si on voit les deux, on a tendance à oublier le premier.

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"Salagadou, la menchikabou, la Bibidi Bobidi Bou !"

Voilà un classique qui a bien vielli, il y a de très bonne idée avec Lucifère, Gus, mais les demi-soeurs sont trop têtes à claques pour moi. C'est pas possible d'être aussi méchantes.
Mais la formule magique reste en tête pendant une semaine ! #YoureWelcome

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L'histoire se prête parfaitement à Disney et au dessin animé. C'est vraiment un incontournable pour moi.
On dirait la version enfantine d'un David Lynch !

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J'ai un peu de mal avec la partie indienne du DA, mais l'idée originale de Peter Pan est toujours aussi séduisante et il faut en profiter pour regarder l'adaptation de Spielberg juste après qui apporte énormément de choses. A cause du marathon Julia Roberts, j'ai fait l'inverse, le détail le plus changeant, c'est Clochette qui est nettement plus espiègle que peste dans le film ^^

Marrant de voir que les enfants ne veulent pas grandir. En vrai, c'est l'inverse, le syndrome de Peter Pan n'attend que les adultes qui ne cessent de répéter aux enfants qu'il ne faut pas être pressé de grandir.
On voit bien par qui a été écrit l'histoire, avec Clochette des plus séduisante qui est perturbée par ses "rondeurs", et toutes les sirènes qui ont l'air raides dingues de Peter Pan. C'est aussi à cause de tout ça que j'ai plus d'affinité avec l'adaptation de Spielberg, l'univers de Peter Pan est poussé à l'extrême, surtout au pays imaginaire et les clichés disparaissent.

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C'est mignon tout plein, mais la seconde lecture de l'ainé jaloux qui devient rebelle, a du mal à passer. A voir pour la scène culte du plat de spaghetti.

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Une méchante qui surpasse tous les méchants et trois bonnes fées qui dénotent pour donner toute l'originalité à un bon vieux contes de fées comme on les connait bien.

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Un peu décevant si on s'attend à voir la scène de l'affiche rapidement, mais Merlin vaut le détour.