Mario & Luigi in Time : mon parcours sur Mario Bros.

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L'Antiquité

L'un des premiers jeux, si ce n'est le premier, auquel je me souviens d'avoir joué, quand j'avais 7 ou 8 ans. C'était sur Amstrad 6128 et autant dire que je balbutiait à l'époque. Considérant mon faible niveau, je ne me souviens pas avoir dépasser le 5ème tableau (ce qui me permettait quand même de faire tomber sur la tête ce pauvre DK une première fois, ce qui me faisait bien marrer).

L'histoire, tout le monde la connaît : personne ne s'intéressait alors à ce petit personnage rouge qui s'attaquait à ce grand gorille (on ne connaissait d'ailleurs même pas son nom d'alors : Jumpman).

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La naissance du jeu vidéo de masse

Super Mario Bros. a cela d'extra-ordinaire qu'il constitue un repère quasi-universel dans la naissance de la culture du jeu vidéo. Amateur, joueur occasionnel ou hardcore gamer, il est difficile de ne pas connaître, même sans y avoir jouer, le personnage de Mario ainsi que ses premières aventures sur NES.

Et il y a bien entendu ce thème éternel, incroyable si on le rapporte aux grandes limitations techniques et audio de la NES.

En ce qui me concerne, l'anecdote rigolote, c'est que j'y ai principalement joué à deux endroits (je n'ai jamais possédé la NES donc je squattais) :
- chez mon cousin sur la fameuse cartouche Super Mario Bros. + Duck Hunt
- chez une amie, dans une version surement un peu pirate, et sur une console dont le nom m'a échappé, qui venait de Corée ou quelque chose comme ça, avec une cartouche qui contenait plus de 80 jeux NES. Et, au dessus du score, le nom du personnage n'était pas "Mario" mais "Mari". Surement une question de droits d'auteurs ... ;-)

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Plomberie

Ne respectant pas la vraie chronologie, c'est après Super Mario Bros. que je découvrais Mario Bros., titre qui voit néanmoins la naissance des personnages de Mario et Luigi tels que nous les connaissons et de leur affinité pour les tuyaux verts.

Mario Bros. reste un titre que je trouve plus anecdotique dans la saga, même s'il reste sympathique et s'il présente l'intérêt (notamment pour l'époque) de pouvoir être joué à deux en local.

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Une douce supercherie

L'histoire de Super Mario Bros. 2 n'est aujourd'hui plus à faire. Titre édité avant tout pour l'Occident, il n'est pas la vraie suite de Super Mario Bros. dont la sortie aura été initialement réservée au seul archipel nippon (ce que nous connaîtrons sur Super Nintendo sous le nom de The Lost Levels). Super Mario Bros. 2 est en fait une repompe (mais alors une sacrée hein ...) d'un autre titre intitulé Yume Kōjō: Doki Doki Panic.

Le concept de l'aventure y est assez différent de l'épisode original, puisqu'on ne retrouve quasiment aucun pilier de la saga. Ici, point de saut sur les ennemis, mais la capacité d'"arracher", que ce soit des légumes à jeter sur les adversaires, ou les adversaires eux-mêmes. Pas de princesse à sauver, ni même de Bowser, pas de blocs au point d'interrogation ... Seules quelques étoiles d'invicibilité et champignons répondent présents.

Bon, autant dire qu'à l'époque, tout ça, je m'en foutais pas mal. Le jeu restait captivant malgré un gameplay sans doute pas aussi calé que nombre de titres de la saga. Je retiens surtout de Super Mario Bros. 2 la capacité de mener l'aventure avec l'un des quatre héros disponibles, disposant chacun de leur petite spécificité (qu'on retrouve aujourd'hui encore dans Super Mario Bros. 3D World), ou quelques thèmes musicaux parmi les plus réussis et les plus mémorables de la saga.

J'ajoute à cela que Super Mario Bros. 2 inaugure ce que j'appelle l'aspect "mystérieux" de la saga. Je ne saurais pas bien l'expliquer, mais dans pas mal d'anciens titre de la saga Mario, il y a un côté mystérieux et énigmatique dans l'atmosphère, qui participe à son identité, et qui démarre avec ce titre : l'aspect des ennemis, le monde de ténèbres où sont cachés les items, l'histoire du jeu, ...

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La naissance du Mario moderne

Et oui, car même aujourd'hui, on peut considérer qu'une très large partie de ce qui constitue les épisodes de Mario a été inventé à l'occasion de Super Mario Bros. 3, à commencer par cette carte du monde sur laquelle sont dispersés les différents niveaux, la première transformation en raton-laveur qui vous permettra de voler quelques instants, celle en grenouille, le bonus de fin de stage, la jauge d'accélération, ...

Si vous jouiez aujourd'hui à cette épisode, graphismes NES mis à part, vous ne seriez pas perdus et retrouveriez assez facilement vos marques.

A l'époque, Super Mario Bros. 3 était une aventure révolutionnaire, de très grande qualité, et qui figure sans difficulté au panthéon du jeu vidéo.

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Un Mario dans le creux de nos mains

La Game Boy, à l'époque, c'était déjà une petite révolution. Mais pouvoir jouer à un Mario sur portable, ça nous semblait presque inaccessible. Et pourtant sortait la première aventure en niveaux de gris de notre plombier fétiche.

J'ai joué à Super Mario Land avec grand plaisir à l'époque, mais il faut bien reconnaître que l'aventure et le design global du jeu reste très limité comparé à ce qu'on avait l'habitude d'en voir, et même aux opus qui suivront sur la même portable.

Pensez don' : quand on saute sur certains ennemis, pas de carapace mais simplement des bombes qui explosent ... Un blasphème !

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Le nemesis bleu

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH !!!!!!!!!! Mais que fait donc Sonic dans une liste sur Mario ???? Le dislike guette-t-il pour manque de cohérence ???

Et non, car pour chaque héros, il faut un grand adversaire. Sonic et Mario ont été respectivement leur meilleur adversaire à l'amorce des années 1990 dans ce que les anciens considèrent souvent comme la vraie "Guerre des Consoles". Nintendo ou Sega : il fallait choisir son camp.

Du point de vue du jeu, Mario et Sonic, plus que des jeux concurrents, proposaient des gameplay finalement assez complémentaires, notamment pour les jeunes joueurs en phase d'acquisition de compétences en matière de jeux vidéo.

Avec Mario, on avai droit à la de la plate-forme assez traditionnelle dans l'expression (même si l'enrobage savait se faire sophistiqué depuis Super Mario Bros. 3) qui mettait avant tout au premier plan la dextérité du joueur.

Chez Sonic, la vitesse aidant, les notions d'intuition et d'anticipation étaient particulièrement mises en avant.

Un bien beau duel, en tout cas ! Et l'on retrouvera Sonic dans cette liste un peu plus tard.

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Souvenir éphémère

Dans un soucis d'exhaustivité, Super Mario Land 2, je le mets parce que je me souviens définitivement y avoir joué chez ma cousine qui avait la Game Boy. Mes souvenirs restent néanmoins parcellaires ...

Je me souviens d'un jeu qui m'avait bien plus convaincu que l'opus portable n° 1, avec la transformation en lapin et cette petite clochette qu'il fallait faire sonner à la fin de chaque niveau.

Un bon souvenir ... mais flou !

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Un premier héritage

J'ai longuement hésité avec Street Fighter 2, dont j'était un fan absolu, mais c'est bien Super Mario All-Star que j'ai acheté avec ma Super Nintendo en Décembre 1993.

Il faut dire que la frustration avait eu le temps de monter en moi, n'ayant jamais possédé de NES et ayant toujours joué aux premiers épisodes de Mario chez la famille ou les potes (Super Mario Bros. 3, la frustration ultime !!!).

C'est donc dans leurs versions remixées sur Super Nintendo que j'ai pu joué "en propriétaire" au 4 premier opus console de Super Mario.

Et quel pied !

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Le meilleur de la plate-forme 2D

Autant je considère que Super Mario Bros. 3 est à l'origine de tout ce qui a suivi dans la saga Mario dans le registre 2D, autant l'épisode Super Mario World reste selon moi le meilleur opus dans ce genre (je précise que je n'ai jamais eu l'occasion de jouer à un Yoshi's Island).

Tout y est maîtrisé : le level design, la jouabilité au poil, les power up, les musiques endiablées, les nombreux passages secrets ... et surtout l'apparition d'un personnage qui m'est cher dans la série, notre petit dragonnet vert : Yoshi !

Encore aujourd'hui, le titre - notamment grâce à ses graphismes 16-Bits - reste tout à fait jouable et il est l'un des rares titres retro que je recommande à tout un chacun.

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Le début d'une franchise à succès

Fort de son statut d'icône du jeu vidéo, Mario a commencé à être bouffé à toutes les sauces. Mais celle-ci est particulièrement bonne. Il s'agit bien entendu de la première incursion du plombier sur les parcours bitumés des jeux de kart.

Super Mario Kart va inventer un genre à lui tout seul. Pour être honnête, je n'ai qu'à moitié goûté cet épisode SNES. En fait je ne possédais pas le jeu et je n'ai pu y jouer que par période, et je n'avais pas du tout capté (on ne rigole pas) l'histoire des virages en glissade.

Super Mario Kart reste néanmoins un titre phare dans l'histoire de la saga.

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Paint ! Avec Mario ...

Que voila un OVNI dans l'immense saga Mario. Lorsque le jeu (enfin, "jeu" ...) a été annoncé sur Super Nintendo, j'avais une grande attirance ! C'était, en quelque sorte, incroyable. Nous, joueurs consoleux, allions pouvoir rivaliser avec les créations artistiques de nos cousins de chez Windows, et dessiner ... sur notre télé !!! Qui plus est avec une SOURIS spécialement éditée pour l'occasion.

Et ce n'était pas tout, car Mario Paint nous permettait également de donner un semblant d'animation à nos productions, et de bénéficier d'un expandeur musical.

Alors sur le papier et en tant que concept, Mario Paint, c'est bien. Malheureusement, le titre s'avère engoncé dans ses propres limitations : outils de dessin limités, outils d'animation encore plus limités, expandeur tenant plus du gadget pas très ergonomique (bien que YouTube ait aujourd'hui popularisé les productions sur ce support), et surtout l'impossibilité de sauvegarder ses oeuvres sur la cartouche !!!

Une expérience, quoi ...

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Le rendez-vous manqué

Ce fut une révolution pour beaucoup, un rendez-vous manqué pour moi. Le fait d'avoir été happé par la nouvelle PlayStation et Final Fantasy VII m'a fait loupé, à titre principal, 2 choses : Ocarina of Time et Super Mario 64.

Bon, j'y ai quand même joué, mais sur le tard sur Console Virtuelle de la Wii.

Alors autant le gameplay reste au top, avec une transcription incroyable de l'univers de Mario en 3D, autant je trouve que le volet technique a assez rapidement pris de l'âge. Ce n'est pas propre à ce jeu mais plutôt aux premiers titres 3D qui vieillissent globalement assez vite, au contraire des derniers jeux 2D qui restent assez accessibles.

Je tiens néanmoins à souligner l'aspect aventure / exploration assez présent dans ce titre, ce qu'on ne retrouvera finalement pas si souvent que ça dans les aventures du plombier.

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Un retour lumineux

Vu que j'ai un peu loupé le coche de Super Mario 64, il s'est passé plus de 10 ans entre mon dernier Mario et l'acquisition de l'épisode Sushine sur la GameCube.

Alors oui, après 64, on attendais encore mieux de Mario : plus d'inventivité, plus de découverte de ce monde en 3D, plus de qualité dans le level design. Même s'il répond en partie à ces demandes, Super Mario Sunshine reste un épisode assez injustement mal aimé de la série.

C'est vrai qu'il s'agit d'un épisode un peu à part, avec un univers beaucoup plus chatoyant et coloré, et qui va initier la tendance "Happy" de la saga Mario, celle avec des couleurs très saturée, des musiques très caribean et une ambiance festive à presque tous les étages.

La vraie spécificité de SMS reste de disposer d'un volet exploration / aventure un peu plus marqué avec toute une île à découvrir et à nettoyer d'un mystérieux ennemi.

Alors toutes les innovations ne sont pas inoubliables (comme le fameux jet d'eau qui était sensé mettre en valeur les gachettes analogiques de la manette), mais Super Mario Sunshine reste définitivement un bon Mario, très attachant !

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La décélération de la franchise

Comme sur l'ensemble de ses machines et fidèle à sa stratégie commerciale, Nintendo décline les apparitions de son héros favori. L'épisode Double Dash de Mario Kart, après un épisode 64 porté aux nues (je suis pas sur de l'orhtographe), est un épisode finalement assez critiqué, notamment en raison du très faible apport de l'innovation principale de cet opus : la capacité à conduire nos karts à deux personnages, avec en conséquence la possibilité de gérer un peu plus ses bonus.

C'est pas tout à fait faux même si ça ne mérite pas un procès ...

En ce qui me concerne, cet épisode reste l'un de ceux auxquels je reste le plus attaché. Pour une simple et bonne raison : c'est un des seuls, ou sinon le seul, à proposer la possibilité de jouer pleinement au mode campagne à 2 (ou plus) en local.

Et autant dire qu'avec mon pote Wal (qui se reconnaitra s'il lit un jour ces lignes), on y a passer du bon temps. Une petite pensée également pour les musiques de cet épisode, assez inspirées !

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Pour une fois que Mario et Bowser peuvent vraiment se latter la tronche !

C'est un peu plus qu'un jeu Mario, car Nintendo a décidé de regrouper tout son roster pour se mettre sur la gueule. Bien qu'il s'agisse du 2ème opus de la série Smash Bros., Melee est ma première expérience du jeu de combat (enfin ... combat ...) de Nintendo.

Honnêtement, j'étais curieux mais un peu dubitatif à l'achat, mais Smash Bros. Melee s'avère définitivement un jeu très fun à jouer, disposant d'une certaine profondeur dans le gameplay, mais surtout rempli de petits clin d'oeil à l'attention des connaisseurs de l'éditeur.

Mon plus grand regret restera de ne pas avoir trouver grand monde avec qui y jouer à l'époque ...

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Dans le RPG, Mario aussi se démocratise

Bien que la série Paper Mario existe depuis bien longtemps, l'épisode "La Porte Millénaire" est pour moi le premier à bénéficier d'une sortie médiatisée sur le vieux continent. Ben oui ... Plus de 15 ans après le succès de Final Fantasy VII, Nintendo s'est convaincu que finalement, les Européens pouvaient finalement être assez intelligents pour être intéressés par cette énième variation des aventures du plombier.

Et comme souvent chez Big N, la recette fonctionne. Bien sur, le caractère enfantin des aventures du plombier est toujours présent et rebutera les joueurs désireux de scénarios matures, mais SMLPM se démarque par un humour et un aspect décalé des plus délicieux pour une aventures très plaisante à jouer sur notre bonne vieille GameCube.

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Le fantasme du Online

Avant Mario Kart DS, qui n'a jamais révé de pouvoir défier les joueurs du monde entier sur les circuits endiablés de Mario Kart. Profitant de la connectivité de la nouvelle portable de Nintendo, MKDS concrétise enfin ce rêve ... Enfin, à moitié.

Car le jeu en ligne vous limitera grandement dans le choix des circuits et ne permettra pas plus de 4 pilotes pour chaque course. Bon, après, il faut bien démarrer par quelque chose ...

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Un peu de paresse ?

Personnellement, je n'ai jamais vu d'un mauvais oeil ce principe de relancer la jouabilité 2D de la saga Mario. Certes, la 3D avait fait immersion dans la vie de notre plombier, mais le retour aux sources, ça a également du bon.

C'est donc avec une relative bienveillance que j'ai accueilli l'épisode intitulé New Super Mario Bros. sur DS (et oui, c'est à partir de cette époque que Nintendo va lancer une série de jeux Mario aux noms qui commencent à être un peu stupides voire ringards).

Franchement, j'y ai joué avec plaisir, même s'il faut bien admettre que ce jeu - peut-être plus qu'un autre - repose vraiment sur les lauriers de la saga. Un peu comme un bon plat de pâtes au beurre, c'est bon, mais c'est d'un commun ...

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Une révolution planétaire

Sur ce coup, j'avoue avoir été un peu cueilli ! En effet, il faut être lucide : joueur de Mario depuis les premiers temps, je me suis fait une raison sur la capacité de Nintendo à faire évoluer l'une de ses franchises phare. Certes il y avait eu la 3D, mais cet apport avait principalement pour but, selon mon analyse, de donner une nouvelle dimension (haha !!!) à un univers de Mario qui restait, lui, constant.

Avec Super Mario Galaxy, Nintendo réussit le tour de force à rebattre les cartes de la franchise et à nous offrir une expérience de jeu assez nouvelle, innovante et attractive, sans trahir l'esprit de la série.

Une vraie réussite, donc, avec quelques imperfections qui seront, plus tard, gommées !

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La convergence

Décidément, la fin des années 2000 aura particulièrement réussi à Nintendo et à sa mascotte Mario. En 2007 sort en effet Super Paper Mario, qui faut l'un des épisodes de la série que j'aurais le plus attendu et anticipé.

Il réussi selon moi le tour de force de proposer une synthèse réussi d'une très large part de l'héritage culturel porté par la saga. Car Super Paper Mario, c'est avant tout une aventure avec un soupçon de RPG, utilisant de façon idéale et parfois assez parodique l'univers le Mario. C'est mignon, c'est drôle, c'est léger, c'est intelligent, et surtout le concept du mélange entre les représentations 2D et 3D des mondes traversés est très ingénieuse et constitue un clin d'oeil intéressant à ce changement de perspective qui a particulièrement marqué l'histoire de la saga.

Bref, c'est rigolo, original, plaisant, bien monté : c'est du Mario et c'est très bon !

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All-Star Game

Le principe des épisode de Smash Bros, en tout cas depuis que je les connais, c'est la surenchère. Parce que, épisode après épisode, c'est toujours la même chose, mais en toujours plus.

Toujours plus de personnages, toujours plus de décors, toujours plus de partenariats, toujours plus de beaux graphismes ! Ainsi, sans jamais renouveler la recette, Brawl enfonce Melee avec, notamment, l'apparition de Sonic dans le roster, ainsi que Solid Snake. Plus anecdotique, on notera également l'apparition d'un mode scénario qui m'a laissé, lui, relativement sceptique.

Mention spéciale pour la qualité "Fan Service" du titre, avec des détails infinis dans les différents décors, comme autant de rappels aux différents titres d'où sont tirés les personnages, et une tonne de musiques présentes pour autant de thèmes connus, parfois en version originale, parfois remixés !

Tout n'est pas parfait pour autant : on est sur Wii, donc le online est plutôt pourri ...

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L'apogée du online

On nous avait vendu un volant, et effectivement l'accessoire permettait de tirer parti avantageusement du hardware de la Wii, mais il tenait clairement plus du gadget que d'autre chose.

L'essentiel de Mario Kart Wii n'est pas là. Il tient dans le jeu online qui constitue la première expérience concluante du genre pour la série, avec la possibilité de s'envoyer des carapaces à la figure jusqu'à 12 pilotes par courses.

Dommage que la Wii soit si rugueuse dans sa gestion du online et que cet épisode ne soit pas le plus inspiré du point de vue des circuits, comme des différents modes de jeu offline ...

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2ème chance, en multi

Quand Nintendo a un concept, il le rentabilise. Après le succès du bon mais très traditionnel New Super Mario Bros., on décline le concept, sur Wii cette fois. Au menu, rien de nouveau, si ce n'est l'ajout bienvenu de la possibilité de jouer l'aventure en coopération locale jusqu'à 4 joueurs.

Bon, dans "rien de nouveau", il y a toujours "c'est agréable à jouer". Ils sont forts chez Nintendo !!!

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Regardez, y'a Yoshi !!! (ou "Décidement, chez Nintendo, ils sont forts")

J'ai dit un peu plus haut tout le bien que je pensais de la nouvelle déclinaison des aventures de Mario a travers le premier épisode Galaxy. Tradition chez Nintendo (également déjà évoquée plus haut) : ça fonctionne, donc on rempile.

Pour le coup, avec Super Mario Galaxy 2, c'est pour notre plus grand bonheur, car, avec quelques petits ajouts et ajustements bien sentis, le second épisode - sans inventer la poudre ou la gravité - réussit pour moi à être encore meilleur que son aîné.

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New ? Really ?

Le problème, dans le titre de New Super Mario Bros., c'est le "New". Pour une série d'épisode déjà très largement inspirée du Super Mario Bros. initial, on commence à connaître ...

La petite nouveauté de cet épisode, c'est tout le concept autour des fameuses pièces de monnaie qu'il faudra récolter à outrance, jusqu'à plus soif. Ok ... mais dans quel but ?...........

Sympathique mais tournant un peu en rond, New Super Mario Bros. 2 aura au sein de mon foyer eu un succès certain auprès de la jeune génération qui y aura passé du temps !

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Sauvé par le multi

Au premier abord, New Super Mario Bros. U, c'est avant tout encore un épisode de Mario avec le gameplay 2D, avec encore la même construction de niveaux, les mêmes musiques, les mêmes boss, mais cette fois-ci - et c'est historique - en 1080p !!!

Outre cette révolution éternelle de la série, New Super Mario Bros. U reste un titre agréable à jouer grâce à son contenu multi-joueur, qu'il s'agisse de l'aventure principale ou des différents modes annexes.

Bref, New Super Mario Bros. U c'est comme cet élève brillant à l'école mais paresseux, qui parvient à avoir la moyenne sans travailler ...

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Luigi Time !

De l'innovation dans le banal ... Une aventure de Mario, sans Mario, mais avec Luigi et sa physique bien particulière au premier plan. Un add-on sympathique et original au titre initial New Super Mario Bros. U, qui pêche néanmoins par un rapport qualité / prix discutable.

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Une discrète excellence

L'air de rien, Mario Kart 7 regroupe sur une même cartouche énormément de qualités glanées sur les précédents épisodes : un contenu très honnêtes, des circuits plutôt inspirés, du online qui marche bien et une intégration StreetPass intelligente. Même le petit effet de profondeur de la 3DS apporte un petit plus.

Un très très bon épisode, dont le seul et principal défaut est d'être la ènième déclinaison d'une saga que l'on commence à trop connaître ...

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Comme un frémissement

C'est marrant cette histoire de Super Mario 3D Land ...

Voir débouler un nouveau Mario sur 3DS, ce n'était pas vraiment une surprise, après le succès des New Super Mario Bros., mais là c'était un épisode 3D. Lassée par la paresse de Nintendo pour la sortie des derniers opus des aventures du plombier, la communauté a attendue la sortie de ce jeu avec un certain scepticisme ...

Et à la sortie, l'accueil fut honnête mais pas incroyablement chaleureux. On sentait un retour aux sources, cet esprit joyeux de la série. Mais le vent nouveau relevait plutôt de la brise que du coup de mistral.

Avec le recul, Super Mario 3D Land se révèle comme une préfiguration de l'épisode Wii U qui sortira 2 ans plus tard ...