Max Richter : pour le post-classique

2002
Un album parcouru d'une mélancolie puissante s'attardant sur la mémoire européenne.

2004
De cette album on retiendra la vibration déchirante de "On the nature of Daylight" qui traverse l'album et se répercute jusqu'au coeur.

2006
Un album en deça des deux précédents mais qui conserve malgré tout des parties remarquablement intéressantes.

2008
Cette album est essentiellement une redite de "The Blue Notebooks" avec quelques morceaux supplémentaires très dramatiques. Une B.O. d'anthologie.

Poursuite du voyage dans la mémoire avec Max Richter et ses cartes postales musicales. Un voyage très plaisant.

2009
Une B.O. traversée par un thème émouvant.

Assez répétitif dans son genre, Max Richter ne donne pas l'impression de faire l'effort d'être original.

2010
Ennuyeux.

Un score plein de gaieté qui fait la part belle à un instrument bien souvent délaissé : le basson.

Encore une fois : trop peu d'idées dans ce score pour qu'on puisse s'attacher.

Un album assez déroutant qui dépayse et mérite certainement qu'on y revienne.

2011
D'une douceur exquise, une B.O. qui chavire entre ses différents thèmes d'une mélancolie exquise.

2012
D'une part j'adore les 4 saisons de Vivaldi et d'autre part Max Richter montre enfin toute l'étendue de son talent en recomposant de façon moderne les 4 concertos.

Un album qui souligne encore une fois le génie de... Vivaldi.

2013
C'est honnête sans être plus intéressant que ça.

Même Zimmer sur ses scores les plus bourrins est plus intéressant que cette bouillie insipide.

Deux-trois morceaux qui valent le coup, mais pas mal de remplissage encore, en dépit des citations de Schubert et de Chopin. Quant à la chanson de Robin Wright, je n'ai pas été vraiment transporté.

Ennuyeux.

Encore une fois, Max Richter fait le minimum syndical.

Idem

2014
Pour "The Leftovers" il se dépasse enfin et nous offre 3 thèmes d'une immense beauté !

2015
Un score rempli d'une émotion sincère. Max Richter fait à nouveau preuve d'un lyrisme efficace et sans détour.

2016
Même si le score de la 2e saison est moins enlevé

Max Richter reste dans sa zone de confort pour cette épisode de la série "Black Mirror". Rien de bien exceptionnel.

En ce début 2017, Max Richter nous offre enfin une composition à la hauteur de son talent. Allant travailler le son jusqu'à son origine, dépouillant ses mélodies de tout artifice et développant sa mélancolie de la manière la plus pure, il donne à ressentir les émotions que sa composition suggère. Un nouveau tour de force de sa part. On n'en attendait pas moins !

Une B.O. en deça de son aura, largement surévaluée.

Max Richter offre ici un pot-pourri de ces postcards. Ca reste dans sa zone de confort sans y bouger.