Mes BD en 2019

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Deux ans après avoir reçu le tome 2, le papa Noël m’a enfin amené le tome 3, le dernier. Certes, j’aurais pu l’acheter, mais j’ai trop de séries à compléter (et je suis assez con pour en commencer d’autres)…
Une relecture complète des deux précédents a donc été nécessaire. Je reste sur mon idée que le premier est relativement classique et lorgne trop, sur la forme, sur du Walking dead. L’univers de Lemire prend pleinement son sens dans le tome 2. Ce tome 3 offre à ce récit une conclusion forte et surtout singulière, bien qu’en partie prévisible.
Malgré ce contexte désespéré et de grande violence, Lemire tisse des relations et des situations nuancées. La véritable surprise vient finalement des rapports humains. Enfin, pour ce qu’il reste de l’humanité.
Un Comics dont je conseille largement la lecture.

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The Wicked + The Divine a ce petit mélange d'American Gods et Promethea, mais dans une version beaucoup plus pop.
Il y a un fond intéressant, mais je reste sur ma faim. Peut-être qu'une relecture ou le tome 2 relèvera mon intérêt.

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D'apparence naïve, cette BD est particulièrement intéressante par son contexte. Elle sort en pleine Allemagne nazie et Ohser est dans le viseur du pouvoir. Père et fils forme une résistance douce en prônant la tendresse, l'irrespect et la désobéissance dans une société qui cherche à promouvoir la race supérieur. Cette BD met à bas le manichéisme en présentant une Allemagne qui ne se reconnaît pas dans l'image du parfait Aryen.

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Une BD chorale qui a un peu de mal à se lancer. La fin vient radicaliser un peu ça. Tant mieux. Le mystère reste entier et cela reste intéressant. Une histoire qui, j'espère, va se confirmer sur le tome 2.

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L'univers est bon et les persos intéressants, mais je trouve que la BD peine un peu à s'affirmer au bout de deux tomes.

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Cela faisait un moment que je voyais les conséquences de House of M sans en avoir lu les origines. Le récit est intéressant et les conséquences gigantesques pour la suite.
Content de m’être mis à la page sur l’univers Marvel et X-Men en particuliers.

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Je crois que je vieillais, car je me lasse un peu de ces grands récits cataclysmiques qui n'apportent pas grand chose. Surtout que ce récit-là est particulièrement brouillon. Ou est-ce moi qui n'est plus à la page ?

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Même constat que le tome 1. D'autant que la conclusion m'a laissé de marbre (la jumelle maléfique, sans déconner ?).
Et le récit de Wolverine ne m'a guère plus convaincu.

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Je les achète un peu dans le désordre, du coup, je mélange un peu les histoires.

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Un combat dantesque. Et si vous croyez qu'il existe de l'espoir dans BPRD, passez votre chemin. C'est sombre, très sombre.

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L'histoire à Berlin est captivante. Cette série Origins offre une réelle cohérence à la série. Sans compter l'évocation de la jeunesse d'Hellboy.
Découvert d'abord dans Enfer sur terre, le personnage de Varvara est une des plus grandes réussites.

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Moins captivant que le tome 1, cette suite offre une réelle profondeur au personnage clé du professeur Brutteenholm.
Et puis, quel plaisr de retrouer le tandem Gabriel Bà et Fábio Moon, que j'avais découvert avec l'incroyable Daytripper.

Annotation :

Le premier tome m'avait passablement agacé. J'ai beaucoup de mal avec le mode de narration de Sattouf et, même si le fond documentaire était intéressant, je ne m'intéressais pas beaucoup à son histoire familiale. Pour ne pas dire pas du tout.
Je ne comprends pas tout l’excitation médiatique autour de ce bonhomme (qui préside le jury du livre Inter en plus).
Peut-être que l'agacement est passé, car j'ai trouvé ce deuxième tome moins pénible (c'est un cadeau, je n'aurais jamais acheté ça) (d'ailleurs, j'ai trois Sattouf, les trois m'ont été offert) (j'y pense, cela fait presque deux ans que cette BD est dans ma bibliothèque et je ne l'avais toujours pas ouverte). Le fond reste intéressant, mais je n'accroche toujours pas.

Annotation :

Bon, cette histoire convoque d'autres séries annexes d'Hellboy. Mignola va être ma ruine...
Sinon, l'histoire avance de plus en plus dans le désespoir. Et ce qui fait la force de cette série (et des autres), c'est que l'intérêt ne vient pas des situations, mais des personnages face à ces situations.

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Mais que DC retire le personnage de Batman à Scott Snyder !
Il n'en fait rien de bon. La cour des hiboux était passable, mais avait des gros relents de Knightfall.
Avec cette série Batman Metal, il touche le fond. Cela se veut épique, gigantesque et mémorable, mais c'est surtout ennuyeux et presque pathétique. Il arrive même à faire le lien avec la cour des hiboux, mais n'est pas Grant Morrisson qui veut.
Il a des idées qui font des belles couvertures, mais pas de bonnes histoires. Et dire que le prochain jeu Batman risque parler de la cour des hiboux (l'ajout était déjà assez ridicule dans la série Gotham, qui a elle-même viré au ridicule)...
DC, foutez-le sur Aquaman ou Green lantern !

(Seul American vampire arrive à le sauver des flammes de l'enfer)

PS : ce commentaire vaut pour les deux autres volumes.

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Un récit ambitieux, original. Un beau dessin. Du bon Marvel, dont j'ai raté quelques subtilités car j'ai ce volume en anglais.

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Petite relecture avant d'entamer l'intégrale. Un mythe de la BD, en partie mérité. Sur un sujet relativement simple, Vicomte nous transporte véritablement.

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L'album de la douleur pour Vicomte qui a eu besoin de l'aide de Pelet pour enfin terminer ce second tome si attendu (c'est un euphémisme).
Ce tome emporte tout autant que le premier tome.

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Trop d'attente, c'est douloureux. Mais l'impatience n'est pas meilleure conseillère. Un tome trop bavard, trop détaché. Et des personnages ont disparu entretemps.

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La conclusion, enfin. Un cran en dessous des premiers tomes, mais tout de même une bonne conclusion.

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Malgré le brio du dessin, j'ai trouvé ce premier tome brouillon, navigant d'un personnage à l'autre sans réel port d'attache. Une seconde lecture lui rendra peut-être grâce.

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Cet album là, je l'ai beaucoup plus savouré. Peut-être parce que les pirates déploient toute leur splendeur en pleine mer.
Un dessin et une histoire sombres comme la poudre à canon. Explosif.

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Lu après la série, j'ai été défloré. Mais pas assez pour considérer que la BD est supérieure à la série, même si les deux développent des qualités très différentes.
L'histoire est originale, directe et sans concession. Une histoire qui confirme le talent graphique de Gabriel Bà.

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Une excellente continuité du tome 1. Je réitère les qualités évoquées précédemment.

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Il y a un goût de trop peu, des répétitions et un peu trop de nombrilisme avec Plast et Astérix, mais plaisir de retrouver les Ravenelles et ses habitants. Un grand et réel plaisir.

Annotation :

Sans grand intérêt.