Misandre, ou le joli mot que personne n'utilise.

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Une fois de plus, la thématique de l'ami ou du petit copain trop possessif revient à dire que l'autre personnage est parfait. Même si Vanelope fait des coups bas à son ami, c'est lui qui empoche tous les torts. Cette dernière peut l'abandonner à la fin et le revoir très rarement. Quelle morale...
Je ne parle même pas des princesses et de leur apparition trop longue, ou bien de la fin où elles disent toutes "Un homme fort a besoin d'aide". Vous sentez le sarcasme ?

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La scène où James Coburn laisse un de ses hommes aux intentions peu louables de se faire déchiqueter par une bande de harpies, est complètement illogique vu le reste du film. Je rappelle qu'on parle d'un régiment qui a été abandonné par leur supérieur, forcé maintenant de survivre en terrain ennemi, James Coburn est censé s'occuper de tout son régiment et non sacrifier l'un d'eux pour la bonne cause.
Je sais que c'est juste une scène mais ne pensez pas que le reste du film se porte mieux... Le tournage a été catastrophique et ça se ressent dans le scénario complètement incompréhensible.

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Mauvaise foi monumentale, montrer les manifestations masculinistes discriminés d'une manière ridicule à l'inverse de la manifestation féministe qui passe pour une révolution.

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Est ce que ça fait encore rire (ou est ce que ça a déjà fait rire une fois ?), la blague du mec qui sous estime une fille physiquement avant de se faire plaquer au sol comme un gros lourdaud.

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J'ai presque déjà tout raconté dans ma critique mais voilà... n'attaquez pas une femme dans la rue, elle risque de vous faire des prises de karaté et vous expliquer ses flashbacks du dojo.

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Non, recharger ton fusil de manière classe ne t'aidera pas à tuer tous les monstres qui vont venir dans la cave. Accepte ta mort.

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Voilà à quoi va ressembler les films de propagandes dans le futur, une série d'intox balancés au visage à des hommes obligés de se travestir pour comprendre la femme. (Oublions tous ensemble qu'on est des êtres humains doués d'empathie).

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Le film féministe où les femmes se font taper dessus pour le plaisir du réalisateur.

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Vision réductrice d'une époque.

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Enfermer un flic dans un coffre brûlant en plein milieu d'un désert, cela ne s'appelle pas être féministe, mais être une enfoiré de féminazi. Ah mais c'est que c'était Jason Beghe, et non Brad Pitt, lui, ses actes sont louables à souhait pour les deux femmes.

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Talons hauts ne veulent pas dire femme émancipée.

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Je peux tuer le méchant principal d'un coup de sabre, je peux défier les soldats les plus entraînés de l'empire, je peux battre Kilo Ren une seconde fois, je peux soulever trentes millions de rochers et je peux faire perdre du temps au film en allant m'entraîner pour rien.

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Regardez, je suis Rey et je suis surpuissante. Je rappelle que c'est le premier film... L'entraînement à ce stade, ne sert strictement à rien.

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En plus de ne respecter en rien les comics, le film se permet de se focaliser sur un seul personnage tandis que les autres restent dans les coulisses (Cyclope est inexistant dans ce film en terme de personnalité, bien qu'il soit le premier concerné par la folie de Dark Phoenix). Je ne parle même pas de Quicksilver et de ses 3 apparitions.
X-men = X-Women.... ??????? A ce que je sache, il n'y a pas que des femmes dans le groupe, et se vanter de sauver des hommes n'a rien d'héroïque, on dirait plutôt une gamine capricieuse.

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Comme les comédies romantiques se ressemblaient trop à l'époque, on a demandé à la scénariste de nous pondre une "comédie" lourde, bourrée de dialogues qui n'en finissent pas, censée décortiquer le simple fait d'aimer quelqu'un. Ouais, les bobos New-Yorkais ont adoré.

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C'est normal à la fin de laisser Emma Stone finaliser son rêve en sacrifiant le rêve de Gosling. Tout est de sa faute alors il a une dette envers elle = FAUX !

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Pas complètement, mais c'était parti pour jusqu'à la moitié du film.

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Plus de femmes, pourquoi pas, je vais pas me plaindre, mais 0 personnage principal masculin ?

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Ouah ! Une Thor femme ! Déjà que le marteau s'est fait peoplekindisé, et qu'on a un personnage LGBTQ. Mon dieu, le progrès va tellement vite que j'en perds mon chapeau.

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Mon petit doigt me dit qu'on va être servi avec ce biopic oublié.

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Le début des quotas au féminin, la fin du monde se profilait déjà à l'horizon...

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On ne change pas une équipe qui gagne au box office, on change juste le sexe. Un changement, certes, négligeable après tout.

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J'ai mal à la prostate rien que d'y penser.

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Et une licence de perdue, et une ! (Bon, on va dire qu'elle était déjà perdue depuis un bon bout de temps)

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Remplacer le terminator méchant en femme, ça a déjà été fait. Néanmoins, là c'est le terminator gentil qui est devenu une femme. Le cerveau est en ébullition !

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Not a crime to smile...

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Décidément, la blague du gros lourdaud est encore recyclée dans ce film là. Mais j'oubliais que Marvel produit des films comme des boîtes en carton, ainsi, je devrai pas m'étonner qu'elle m'arrive vide.

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Remake que personne ne veut. Et au passage, changeons le sexe du personnage joué autrefois par Bill Murray.