Mon Festival La Rochelle 2021

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soirée d'ouverture du festival. Superbe rareté, deux thèmes de prédilection de Clément : la résistance (le père tranquille) et le rail (la bataille du rail); superbement filmé (les scènes dans le train sont mémorables) Excellente Simone Signoret. Comme quoi le cinéma français avait traité de la collaboration et de certains comportements peu brillants pendant l'occupation avant "Le chagrin et la pitié"

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très académique, convenu. se traîne en longueur ! belles images de la nature filmée au rythme des saisons mais cela reste très superficiel sur le fond (aspects sociologiques, historiques) ; le seul enjeu semble être de ne pas salir l’image de respectabilité de la propriété dirigée par Nathalie Baye. Sur un thème voisin je préfère « Le semeur », plus concis et direct dans son propos

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thriller politique consacré aux tentatives de révolution en Syrie; ambiance tendue, position complexe des personnages (qui est qui ?) Faut il rester fidèle à ses convictions, ne pas se renier au détriment de pouvoir accéder à ce que l'on souhaite le plus ? thématiquement émouvant, moyennement convaincant cinématographiquement

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Ah...Ida !! Celui ci manquait à la rétrospective que le Festival avait proposé dans une version réduite en octobre 2020. l'exploitation d'une joueuse de tennis par une mère cupide et un entraîneur sans scrupules. Pas le meilleur de Lupino, mais bien joué, bien rythmé, et toujours féministe. (pour amateurs : de longs échanges de tennis !)

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Le charme de Gérard Philippe, l’humour anglais, une caméra vivante dans les rues de Londres. scénario bien construit, dialogues enlevés ; c’est léger, pétillant, pas toujours moral ; mais quel plaisir. Pépite

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Documentaire scénarisé. Histoires construites à partir de la réalité : gigantesque barrage construit par une fourmilière d'hommes, cornac et éléphants comme animaux domestiques, troupes de marionnettistes et cirques ambulants…quelques aspects de la réalité indienne à la fin des années 50’ alors pays de tolérance, acceptant toutes les races, les religions, les ethnies…

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deux heures d'ennui. pas de scénario, quasi pas de dialogue. Résumé au mieux cela donne : Un enfant berger avec son grand père baguenaude dans les prés. Engagé dans la marine il se prend de passion pour les goélands. Vieillard il est berger, seul, il fait froid, on est en février. D'où le titre.

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Destin d’une fratrie rurale de l’Artois, campagne crue, agressive, sans pittoresque, où se mélange jalousie, rancœur, désirs, non-dits familiaux, amour fraternel. Un film fort auquel Jean François Stévenin et Sandrine Bonnaire extraordinaires, procurent une énergie brute. Belle restauration de ce film qui n’a pas vieillit.

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Révoltant et désespérant. Documentaire sur la corruption en Roumanie dans le domaine de la santé gangrénée du sol au plafond. Façon thriller journalistique américain, la première partie suit efficacement l’enquête de la rédaction du journal qui met à jour les malversations. La deuxième partie suit le nouveau ministre de la santé à priori intègre qui voudrait mettre à bas ce système, mais se heurte aux pressions, immobilismes et pesanteurs.

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Un charlatan se fait passer pour astrologue dans le but d’escroquer les clientes du salon de beauté où travaille sa femme. Celle-ci est chargée de les faire parler pendant leur mise en beauté. Ça facilite les prédictions ! Hitchcock à la sauce mexicaine : chantage, manipulation, boule de cristal, jeu très théâtral dans des décors baroco-kitsch.

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Maria Felix en femme fatale, dominatrice, démunie de scrupules, chanteuse et nue… (Statufiée, c’est la Déesse agenouillée du titre). Pour célébrer son anniversaire de mariage, un riche industriel donne une fête au cours de laquelle il offre à sa femme, la statue d'une femme nue agenouillée. Le modèle est sa maîtresse invitée à la fête. Mélodrame noir caractéristique de Gavaldon. De l’excès, du charme, des déchirements, des personnages corrompus, des décors kitchissimes et surchargés. Ca ne lésine pas sur l’emphase !

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Mon coup de cœur du festival.

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adaptation au cinéma du livre de G. Bruno, où deux enfants alsaciens orphelins partaient à pied à la découverte de la France. Visait après la perte de l'Alsace et de la Moselle en 1870, à maintenir et valoriser un "Esprit français", soutenir les valeurs de patriotisme, courage, sens du travail, d'entraide, d'honnêteté... . Une manière également de présenter les paysages de France, les spécificités et savoir faire des régions.
L'intérêt est historique; le style et le propos amusants.

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Plaisir de revoir ce film sur grand écran. Polanski excelle vraiment dans les Huis Clos (Carnage, Vénus à la fourrure..) autour des thèmes de l'oppression psychologique ou l'ambiguïté du rapport entre victime et bourreau

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Longues séquences de pelote basque dont le héros de ce film mélo/noir est le champion national. Personnage grossier, veule, violent qui multiplie les conquêtes de manière intéressée dans une sombre histoire de trafic de paris. Nombreux personnages mal dessinés ce qui fait qu'on se perd un peu